Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 ...>...>>... 1005
Comment poster un commentaire ?


Camila CABELLO
I LUV IT (FEAT PLAYBOI CARTI)


Le 21 Avril 2024 par RICHARD

@MR TINKERTRAIN, on est d'accord, Wikipédia est loin d'être une source solide, mais comme je ne connaissais pas non plus ce terme, je suis allé au plus simple (c'est dimanche, il ne faut pas exagérer non plus). Et il est dit que "l''Avant-pop' est un terme utilisé pour cataloguer de la musique qui mélange musique expérimentale ou d'avant-garde et éléments stylistiques de la pop, et qui explore les structures et formes de la musique 'mainstream'. Pourquoi pas? Mais il cite quand même en exemple Björk, Kate Bush ou Bowie entre autres. C'est peut-être ici qu'il y a matière à s'interroger avec Camilla Cabello.





REM
DOCUMENT


Le 20 Avril 2024 par MASTERFAN


Cinquième et dernier album de la période IRS en 1987, DOCUMENT est très certainement l’album le plus radical de R.E.M. Il est construit à la manière de War (U2), ou encore de Songs From the Big Chair (Tears for Fears) : deux méga-classiques à destination de la masse et toute une série de morceaux plus secondaires à destination de la base. La puissance des deux blockbusters ne trompe pas la Warner : le survitaminé "It’s the End of the World as We Know It" et le superbe "The One I Love" emmènent définitivement le groupe vers une autre dimension. A des milliers de kilomètres, la France passe comme d’habitude complètement à côté et rattrapera le train en marche plus tard. Je dois avouer qu’à l’époque des repiquages sur K7 audio, la tentation était souvent forte pour moi aussi de passer directement de "Finest Worksong" au sixième titre ; c’était chiant, il fallait avancer le truc manuellement. Si LIFES RICH PAGEANT s’enfilait comme un alcool doux, DOCUMENT me faisait plutôt penser au brut du fermier du coin.

Mais, aujourd’hui, plus question de passer un titre. "Finest Worksong" est une belle réussite. Les morceaux militants passent bien mieux qu’à l’époque. La reprise réussie de "Strange" a le mérite de donner une perspective complètement différente de la version originale de Wire. Je n’aime pas les cuivres mais bizarrement ceux qui clôturent "Fireplace" ne me dérangent pas trop. Les hooo-ho-ooh-oh-ho-ho de "Lightnin’ Hopkins" sont par contre un peu gonflants à la longue. George Harrison n’aurait pas renié l’ambiance de “King of Birds”. L’album ne se termine pas vraiment dans l’allégresse avec l’entêtant "Oddfellows Local 151". Je comprends qu’on aime cet album, je comprends aussi qu’on puisse ne pas l’aimer car il ne se laisse pas facilement apprivoiser. Par contre, impossible de passer à côté des deux trésors du disque, auxquels on pourrait ajouter "Finest Worksong".

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT : "It’s the End of the World As We Know It". DELECTABLE (4,5) : "The One I Love". SEDUISANT (4) : "Finest Worksong". PLAISANT (3,5) : "King of Birds", "Fireplace", "Exhuming Mac Carthy", "Strange", "Welcome to the Occupation", "Oddfellows Local 151", "Disturbance at the Heron House". INTERESSANT (3) "Lightnin’ Hopkins". EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. AUCUNE EMOTION (2) : Néant. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant.

Bilan 3,73 et Top 5 à 4,10 : DOCUMENT cote pour moi 3,92 et arrive en 12ème position dans mon classement personnel des albums de R.E.M.

DOCUMENT conserve toujours une place particulière dans le cœur des fans, classé 5ème sur le sondage de 2017. Sans grande surprise, "It’s the End of the World As We Know It" termine à la 6ème place, "The One I Love" à la 11ème. "Finest Worksong" vient juste derrière (13ème). Belle résistance de toutes les autres chansons : "Exhuming Mac Carthy" émarge 39ème, "Disturbance at the Heron House" 42ème, "Welcome to the Occupation" 58 ème, alors que le titre le plus mal classé est "Lightin’Hopkins" 123ème (juste derrière "Strange").

Du côté des bonus tracks, c’est un peu la dèche avec le plutôt agréable instrumental "Last Date" (3), reprise d’un standard des années 60, qui figure sur la dernière version CD, les autres titres étant du live. Après ces débuts 'alternatifs', la fusée R.E.M est désormais prête à décoller.





Camila CABELLO
I LUV IT (FEAT PLAYBOI CARTI)


Le 20 Avril 2024 par MR TINKERTRAIN

Heu vu la note il faudrait plutôt mettre Arrière Pop, non? Et puis avant Pop ça signifie quoi, c'est très gentil de mettre une étiquette mais si ça parle à personne c'est un coup dans l'eau....





BRUIT NOIR
IV / III


Le 20 Avril 2024 par K-ZEN

En effet, très bien vu ! Ils m'ont eu moi aussi…
Erratum à venir.





DEPECHE MODE
MEMENTO MORI


Le 20 Avril 2024 par LE VIEUNE

Le problème avec Depeche Mode, comme pour U2 depuis deux décennies et quelques années, est que ce groupe ne me touche plus après "Ultra". J'avais acheté "Sounds Of The Universe", je n'ai dû l'écouter que deux fois en entier. J'ai penché une oreille sur ce dernier album, "Memento Mori" et il n'y a rien à faire, je ne suis plus réceptif à la pop électronique du désormais duo anglais. Tant pis.





BRUIT NOIR
IV / III


Le 20 Avril 2024 par LE VIEUNE

PS : Le bruit noir, scientifiquement, il me semble qu'il s'agit du son de l'univers ou du fond de l'espace. Je crois avoir lu ça quelque part.





Steve SWINDELLS
FRESH BLOOD


Le 20 Avril 2024 par NONO


Album aussi excellent qu'il est notoirement inconnu.
Bien que le mec soit anglais ainsi que son groupe, je trouve que ça sonne assez west-coast par moments. La chanson titre ressemblerait vaguement à du Toto période "Turn Back" je trouve... ce qui n'est pas pour me déplaire !





MANASSAS
MANASSAS


Le 20 Avril 2024 par TOMMY_CALE


Groupe fondé par les pointures Stills (Buffalo Springfield et CSN&Y) et Hillman (Byrds et Flying Burrito Bros), Manassas nous offre cette excellente oeuvre dans laquelle sont explorés les styles définissants le terme americana. Avec des musiciens talentueux et de renom (Dallas Taylor, Joe Lala, Al Perkins, Paul Harris, 'Fuzzy' Samuels), cet album se divise ainsi en 4 parties, toutes abouties et ne faisant perdre en rien l'unicité de l'album.

- The Raven : Rock, aux colorations cubaines ponctuées par les congas du sieur Lala ("Anyway et "Both of us"). "Song of Love" ouvre avec énergie et efficacité le bal, on a aussi un trés bon "Jet Set" qui lorgne vers le blues-rock.

- The Wilderness : Country-rock joué avec beaucoup de qualité, "Fallen Eagle" et son fiddle (Byron Berline) sa pedal steel (Perkins) et sa mandoline (Hillman) aurait pu se trouver sur un album des Burrito, tout comme "Hide It Do Deep".
"Don't Look At My Shadow" se dirige vers du western swing à la Commander Cody.
"Jesus Gave Love" ressemble au "Wallflower" de Dylan sur l'album "Doug Sahm and Friends" réalisé la même année.
"So Begins The Task" est pour moi le meilleur morceau de l'album entier, mélodie d'une grande sensibilité magnifié par ces belles harmonies vocales.


- Consider : Folk Rock, à la Buffalo et CSN&Y. Les harmonies vocales et parties de guitares plus en exergue, donc.
"It Doesn't Matter" excellente compo et brillant solo de guitare et "The Love Gangster" co-écrit par Bill Wyman et donc présent sur le morceau à la basse avec la wah de Stills sont les grands moment de cette partie. On a cependant du moog sur "Move Around" qui gâche à mon avis le morceau.

Enfin le 'Rock & Roll is Here to Stay' est comme son l'indique : Rock. Avec des accents folk, "Right Now" et ces envolées de guitares chères a Stills qui se partage le chant avec Hillman, que du bonheur.
Sur "Treasure" Stills nous gratifie d'un solo de wah magnifique et avec "Blues Man", Stephen clôt l'album seul en acoustique, rendant de façon poignante hommage à Jimi Hendrix, Al Wilson et Duane Allman.

Pour faire bref, on tient là une oeuvre atypique qui offre une grande richesse musicale. Celle-ci aurait pu tomber dans le piège de son ambition à marier différents styles mais il n'en est rien : tout est cohérent, homogène et c'est là le genie de Stills et des virtuoses musiciens qui composent le groupe.

Du grand art pendant 72 minutes.





BRUIT NOIR
IV / III


Le 20 Avril 2024 par LE VIEUNE

N'est-ce pas plutôt Jean-Michel Pires à côté de Wonder Woman ?

Oui, ça dézingue et ça fait du bien quand passent par exemple "Chanteur Engagé" et "Artistes" comme deux exutoires éclatants. Je n'ai pas attentivement tout écouté du disque pour l'instant sauf les deux titres précités qui m'ont particulièrement marqué.





REM
LIFES RICH PAGEANT


Le 20 Avril 2024 par MASTERFAN


Comment dire du mal de l’exceptionnel LIFES RICH PAGEANT, déjà le 4ème album de R.E.M en 1986 ? M’en fiche, je vais le faire : la pochette, recto comme verso, est ratée, l’idée 'Buffalo Bill' (le batteur Bill Berry en haut et deux bisons en bas) carrément tordue, tout comme l’ordre des morceaux sur le CD qui très longtemps n’a pas correspondu à ce qui était annoncé sur le verso.
Mais, c’est aussi un album rare pour une autre raison et c’est plus heureux. J’ai beau l’écouter et l’écouter encore, année après année, il ne s’use pas. Je peux même l’écouter trois fois de suite, c’est assez incroyable. Avec un son plus dense qu’à l’habitude, "Begin the Begin" débute efficacement l’album, comme le survolté "These Days" qui suit : tout cela est autrement rentre-dedans que les productions précédentes. On est déjà éreinté et voilà que tombe "Fall On Me", peut-être mon morceau préféré des 15 albums de R.E.M. Mais où Mike Mills a-t-il été pêcher ce p… de choeur ? Uppercut.
Un peu de répit avec le morceau suivant ? On le pense un temps, avant de se remettre à chanter, Cuyahoooga ! S’en suit "Hyena" qui met également bien le rythme avec ses motifs rythmiques à la Cure. "Underneath the Bunker" n’a rien à faire là, mais je m’y suis tellement habitué que s’il n’était pas là, il me manquerait presque. On reprend avec les arpèges de "Flowers of Guatemala" au joli couplet apaisé. Le refrain n’en fait pas des tonnes, mais le pont fait le boulot à sa place et on termine séduit.
Ensuite, ne pas se fier au clin d’œil trompeur introductif, ce n’est pas ici la fête de l’asso des joyeux trappeurs, c’est simplement l’intro de l’incroyable "I Believe", second sommet du disque. Que dire? Rien, on ne peut qu’écouter et se régaler avec ce morceau qui ne vous lâche pas une seule seconde. "What if we give it away" ne donne pas sa part aux autres alors que le fou furieux «"Just a Touch" a juste un petit défaut à mes oreilles, l’insupportable pianiste (ils ont pris le même que celui d’"Exile", ou quoi ?) mais il envoie sec quand même. Le magnifique "Swan Swan H" préfigure l’âge d’or de R.E.M qui ne débutera pourtant que cinq ans plus tard. Ils auraient pu s’arrêter là mais hop, un petit coup de Beatles ou de Byrds (au choix) pour remettre en relief un nanar oublié des seventies, et miracle, ça fonctionne !
Merci les gars pour ce grand moment. Impossible de faire un raccourci ici, l’album entier est le trésor, il faut y aller franchement.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : "Fall On Me", "I Believe". DELECTABLE (4,5) : "Swan Swan H", "Begin the Begin", "These Days", "Cuyahoga". SEDUISANT (4) : "Flowers or Guatemala", "What If We Give It Away", "Just a Touch". PLAISANT (3,5) : "Hyena", "Superman". INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : "Underneath the Bunker". AUCUNE EMOTION (2) : Néant. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant.
Bilan 4,12 et Top 5 à 4,70 : LIFES RICH PAGEANT cote pour moi 4,41 et arrive en 1ère position dans mon classement personnel des albums de R.E.M.

Pour une fois, je suis d’accord avec l’avis des fans, c’est LIFES RICH PAGEANT qui arrive également largement en tête de leur vote pour les albums alors que "Fall On Me" remporte aussi la palme des morceaux tous albums confondus, avec 160 votes d’avance sur les deux seconds.
Encore un beau carton : "Begin the Begin" 8ème, "Superman" 15ème, "Cuyahoga" 18ème, "I Believe" (que) 22ème (comment est-ce possible ?), "Swan Swan H" 34ème, "These Days” 36ème, "The Flowers of Guatemala" 62ème.
A l’opposé évidemment, "Underneath the bunker" trouve je ne sais comment le moyen de finir quand même 147ème.

En revanche pour les complétistes, ce sont les vaches maigres, je ne jetterai pas spécialement de fleurs aux bonus tracks, l’incompréhensible "Tired of Singing Trouble" (1,5), ni à l’inutile "Rotary Ten" (2), ni à la reprise assez convenue de "Toys In the Attic" (3) d’Aerosmith. Quant à "Dream" (2), c’était sûrement un bœuf d’anniversaire pour la grand-mère d’un des quatre, mais lequel ?





JUDAS PRIEST
INVINCIBLE SHIELD


Le 19 Avril 2024 par CULTOSAURUS


C'est la première fois que je lis une chronique aussi négative sur cet album (sauf sur NIME, vous vous êtes donné le mot? ). Moi, je le trouve excellent comme la plupart des personnes qui l'ont écouté, fans "die hard" ou pas ! Bon, c'est la liberté éditoriale comme on dit.





The Alan PARSONS PROJECT
FREUDIANA


Le 19 Avril 2024 par ALEX F


Assez bon album. Cela dit je zappe la plupart des morceaux qui se la jouent un peu trop comédie musicale, opéra bouffe ou je ne sais quoi de ce genre, ça me gonfle un peu. Certaines orchestrations sont également assez indigestes, le côté en grandes pompes ça va deux minutes. Il y a tout de même de très bons titres sur cet album comme "Freudiana", "Let Yourself Go", "Beyond The Pleasure Principle", "The Ring"ou "Upper Me". "Little Hans" ne me plaît pas du tout avec son côté pop niaise façon Beatles. "I Am A Mirror" est plutôt sympa, tout comme "You're On Your Own", bien que ce soit assez cliché et générique.





The CARS
HEARTBEAT CITY


Le 19 Avril 2024 par RUDY M


Heartbeat City... C'est comme de rentrer dans une bijouterie ou tout est si beau qu'on ne sait que choisir.
En 84, les fêtes ne finissaient jamais... Mais se terminaient quand même toujours par "Drive".

Un album phare, qui a marqué toute une génération, avec ses mélodies apparemment si "faciles", mais allez en faire autant !

Magique, c'est le cas de le dire...





The SEX PISTOLS
NEVER MIND THE BOLLOCKS : HERE'S THE SEX PISTOLS


Le 19 Avril 2024 par RUDY M


Les Sex Pistols, c'est un peu comme tout : il y a ceux qui en parlent et ceux qui l'ont vécu.
Pour ces derniers, aucun doute (et d'ailleurs pourquoi y en aurait-il ?) : Ce disque résonne comme l'un des dix plus importants de l'histoire parce qu'il l'a marquée, tout simplement.

Et ceux qui n'y étaient pas, ou pour qui cette époque des années de plomb ne dit rien (les fameux t-shirts de Joe Strummer des Clash à cette époque !), ne parleront forcément que de leurs goûts musicaux par rapport à ce que délivre le disque, ce qui est tout à fait légitime.

Never Mind a capté l'air de son temps et pour qui ne m'intéresse pas/plus à ce temps-là, il n'a que la valeur musicale que chacun lui accordera.

Pour le reste, ils auront fait partie des derniers, chronologiquement parlant, à secouer le cocotier, une dernière tentative avant d'envoyer se faire foutre toute cette fange intéressée à les mythifier pour en tirer de plus juteux bénéfices.

Cela a dû les amuser un temps, surtout Malcolm qui gérait bien tout ça, et s'ils l'avaient voulu, ils seraient devenus aussi grands et célèbres que les Stones ou les Beatles, finissant sur une plage de Malibu, à 50 ans, bien repus et riches à millions. Sûr qu'ils en avaient conscience...

Mais, leur jusqu'au-boutisme ne permettait pas ça, sans parler du Sid devenu célèbre parce qu'il est allé jusqu'au bout justement du délire, ne sachant pas, ne voulant plus, s'arrêter.
Des rockers, à la fois misérables et déterminés, un peu pathétiques mais terriblement vivants. Le rock les retiendra comme Hendrix, Joplin, Jones, et tant d'autres qui jouaient leur musique comme un soldat va à la guerre, et c'est pour ca que "Never Mind" restera, comme le "Raw Power" des Stooges ou le "Kick out the jams" du MC5. Cela dépasse le côté simplement musical car ces œuvres, qu'on aime ou pas, jalonneront toujours l'histoire du rock, du vrai.





Céline DION
DES MOTS QUI SONNENT


Le 19 Avril 2024 par HUG

Vous n'aimez pas "Le fils de Superman" ? Pourtant, elle est super joyeuse cette chanson. Je vous conseille de l'écouter après une chanson très joyeuse des années 80 : "C'est pas facile" de Carol Arnauld, chanson autobiographique sortie en 1986, écrite par cette chanteuse et se confiant sur la mort de son frère survenue lors d'un accident de voiture, l'intégralité des chansons de Phil Barney, de Françoise Hardy et encore la chanson "C'était l'hiver" de Francis Cabrel. Je plaisante bien sûr ! Le problème avec cette chanson écrite par Luc Plamondon sur apparemment un fait divers réel et tragique : La mort d'un enfant par chute dans un hôtel gratte-ciel parce que ses parents lui ont acheté un costume de Superman dont il était fan et qu'il voulait voler comme son héros, c'est qu'en pourtant seulement trois minutes et quelques, Luc Plamondon ne nous épargne malheureusement aucun détail sur cette histoire tristounette. Accessoirement, dans le texte de "Lili voulait aller danser" écrit pour Julien Clerc, il ne nous épargne pas tellement non plus les différents détails sur une histoire de fâcherie entre une jeune femme et son amoureux jaloux qu'elle préfère aller danser le rock plutôt que de faire l'amour avec lui, et qui en deviendrait presque violent, sortant un couteau pour la dissuader d'aller danser le rock, mais comme la musique de Julien est rock et entraînante, on en oublierait presque le côté légèrement sordide des paroles. Là, c'est tout l'inverse, dans "Le fils de Superman", la mélodie en plus, est terriblement banale et si lente, qu'on est obligé d'écouter les paroles à déconseiller aux sujets dépressifs !





The Alan PARSONS PROJECT
FREUDIANA


Le 19 Avril 2024 par BAKER

Bien d'accord avec Nono. Sublime chanson qui marque la fin de l'APP. Je pense que le petit détail qui en fait une énorme chanson, c'est cette section de trombones très grave qui souligne le refrain sur la dernière partie. Un vieux truc de renard signé Parsons qu'il a déjà utilisé sur Lucifer et The Turn part 2, et qui évidemment en ce qui me concerne n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd.





The BLACK CROWES
HAPPINESS BASTARDS


Le 19 Avril 2024 par BLUEMASK


La fable du come-back en forme de retour aux sources et de retour de forme est un classique du rock. Les Black Crowes ont déjà fait le coup avec "By your side", qui était quand même un pétard certes pétaradant mais bien mouillé. Le come-back 2 avec "Warpaint" et "Until it freezes" était plus intéressant, mais pas vraiment marqué du sceau du retour aux sources.
Avec ce "Happiness Bastard", clairement, c'est Manon des Sources, le disque étant à l'exact milieu de "Shake your money..." et de "The Southern..." : on y retrouve la vibe hard n' roll du premier, et les élans sudistes version soul du second. La question est donc sur le niveau d'écriture et l'inspiration et in fine, la balance penche du bon côté. Ca riffe velu et dur ("Rats & Clowns" est terrible en la matière) très souvent, les influences soul et funk s'imbriquent parfaitement dans le noyau rock du groupe et le tout est compact, serré tout en étant ample et chaud.
Par contre, oui, je ne sais pas, il manque un peu de magie. Je ne sais à quoi cela tient. Peut être une ou 2 grands refrains. Certainement aussi les ballades, morceaux les plus faibles du disque. Et plus certainement aussi, le fait qu'en tant qu'auditeur ayant vieilli, ces come-back ne peuvent avoir le sel de la jeunesse. C'est Proustien, la musique...





The Alan PARSONS PROJECT
AMMONIA AVENUE


Le 19 Avril 2024 par NONO


Mouais... ici on entame le virage caractéristique d'un grand nombre de groupes et artistes en 1984 : celui de la pop/rock "FM", à base de "tubes", de "hits"... et plus du tout de progressif pour un sou.
Exit les morceaux de plus de 3 minutes 30 ! C'est ce que je craignais quand j'entendais débouler "Don't answer me", de la grosse pop assez pompière, s'il en est !
J'aime, malgré tout "Prime Time" ainsi que la chanson-titre, qui sont dans la continuité des albums précédents. "One Good Reason" est vraiment bien aussi, même si on passe franchement à de la production synth-pop, mais le morceau est original.
Pas vraiment de mauvais morceaux ici... même si la voix du type qui chante "Let Me Go Home" (je ne sais pas qui c'est), me saoule. Mais, à partir de cet album, APP deviendra de plus en plus formaté pop et de moins en moins créatif à mon avis.





The Alan PARSONS PROJECT
FREUDIANA


Le 18 Avril 2024 par NONO


Je ne connaissais pas cet album, je viens de découvrir la chanson-titre. QUELLE MERVEILLE !
Une des plus belles chansons que j'ai entendues de ma vie entière.
Le refrain, particulièrement, me donne des frissons. Cette mélodie subtile toute en pastels me rappelle un peu les compos de Voulzy (que j'adore aussi), époque "Caché derrière".





The BLACK KEYS
OHIO PLAYERS


Le 18 Avril 2024 par FOUDROCK


Pour moi, leur meilleur depuis 10 ans, depuis "Turn Blue". Les albums sortis dans l'intervalle m'ont tous franchement déçu (pas nuls, mais pas transcendants), celui-ci est tout de même d'un autre niveau, on sent le duo revenu avec la gniaque. La maestria de l'ère 2010/2011 n'est pas encore retrouvée, mais on s'en approche. Excellent.







Commentaires :  1 ...<<...<... 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 ...>...>>... 1005






1999 - 2024 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod