Le 29 Avril 2024 par CORNELIUS

Rien que pour la première piste ; et quelle première piste...
Tout ce que les années 80 contenaient de plus noble et aérien est concentré ici.

Le 29 Avril 2024 par BLUEMASK

Un album franchement mineur de Dylan. Deja 27 min, ça ne sent pas l’overdose d’inspiration. Inspiration en berne aussi dans pas mal de titres (‘Nashville skyline rag’, quelle plaie..), but car il y a un mais: ‘Girl from north country’ avec Cash, ‘ Tonight, I’ll be…’ et ´Lay lady lay’. C’est quand meme 30% du disque

Le 28 Avril 2024 par ALEX F

Le meilleur album de Chaka Khan. Il n'y a pratiquement que des super morceaux et la production est très bonne. C'est simple, dans le genre pop funky c'est mon disque préféré. Et que dire de cette reprise de "Night In Tunisia" ? Tout bonnement superbe ! Avec en prime quelques invités de renom dont Dizzy Gillespie lui-même. Du travail de pro. Le seul titre que je trouve un peu plus faible que les autres c'est "Any Old Sunday". J'hésite entre 4 et 5 étoiles... allez 5 étoiles car on n'est pas si loin du chef-d’œuvre.

Le 28 Avril 2024 par THIERRY RAOULT

Titre très agréable avec un clip magnifique.

Le 28 Avril 2024 par BLUEMASK

Un bon disque de rock, classique, sans pretention, stonien en diable. Trop parfois, avec ce ´Rocks’ aux allures de pastiche, mais stonien aussi dans sa volonté de se la jouer soul (´Free’, plus soul tu meurs), funk (´Funky jam’ forcement… ), bluesy et d’embrasser toute la musique noire.
Finalement, ce disque vieillit mieux que ´Screamadelica’, ou ´Xtrmmtr’.

Le 28 Avril 2024 par NICOLAS DE BERGERAC

C'est une belle chanson d'ici et d'ailleurs. Au temps des single, le top 50 aurait accueilli cette belle Chanson. Merci pour tout, Nicolas.

Le 28 Avril 2024 par ARCHANGEL

@CLOVIS_DU_67 : merci d'avoir posté les liens :)

@SAUMON : l'idée était de donner du contexte à certaines des paroles de l'album qui visent la communauté juive, j'espère que c'est un peu plus clair grâce aux articles

Le 27 Avril 2024 par MASTERFAN

Les critiques élogieuses ont toujours accompagné l’exceptionnel AUTOMATIC FOR THE PEOPLE, 8ème album et comme par hasard celui central de la discographie de R.EM. Juste un petit bémol quand même, j’ai ressenti clairement, dès la première écoute, un petit coup de mou entre le début de l’album, impressionnant, et son issue, magnifique. Ce sentiment ne m’a jamais quitté. De « New Orleans Instrumental n°1 », jusqu’à « Star Me Kitten » inclus, l’émotion baisse. Mais les extrémités étant tellement hors-norme, on ne leur en voudra pas. Ils auraient juste dû retirer ces deux morceaux et mieux répartir les blockbusters : cela serait passé complètement inaperçu.

Je me rappelle la découverte de deux titres à l’époque où les Inrocks était une simple émission musicale underground en non la grosse machine multimédias actuelle. Post-enregistrement, j’ai dû directement user «The sidewinder sleeps tonight», avant même que l’album ne soit sorti. J’étais persuadé qu’il serait en France le nouveau Losing my religion et je m’étais trompé, Everybody hurts ayant finalement remporté la timbale. Le succès de «Drive» (qui me semble avoir réussi là ou «Low» avait échoué), tout en retenue, m’a surpris. La triplette «Man on the Moon» / «Nightswimming» / «Find the river» est l’une des fins d’albums les plus puissantes que je connaisse. S’il fallait donner mon morceau préféré de l’album aujourd’hui, je pense que je dirais «Find the river». AUTOMATIC FOR THE PEOPLE est une étape obligée pour une première découverte de R.E.M, mais il n’est pas absolument pas interdit d’y éviter le ventre mou et de passer directement des 4 premiers titres aux 3 derniers.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Find the river, Nightswimming. DELECTABLE (4,5) : Everybody hurts, Man on the moon, The sidewinder sleeps tonight. SEDUISANT (4) : Drive, Try not to breathe. PLAISANT (3,5) : Monty got a raw deal, Sweetness follows. INTERESSANT (3) : Ignoreland, Star me kitten. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. AUCUNE EMOTION (2) : New Orleans instrumental n°1. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan : 3,88 et Top 5 à 4.70 : AUTOMATIC FOR THE PEOPLE cote pour moi 4,29 et arrive en 3ème position dans mon classement personnel des albums de R.E.M.

Du côté des fans, l’album arrive en 4ème position du sondage de 2017. Côté morceaux, «Nightswimming» fait le meilleur score et arrive 9ème, «Man on the Moon» 17ème, «Drive» 29ème, «Everybody hurts» 30ème, «Find the river» 31ème, «The sidewinder sleeps tonight» 43ème, «Try not to breathe» 46ème. Sans surprise, le morceau ayant recueilli le moins de suffrages, «New Orleans instrumental n°1» est 181ème.

Pour les complétistes, ne pas rater sur cette même période 1992-1993 le classieux « Photograph » (4), duo avec Natalie Merchant pour un album caritatif. En dehors de cela, « It’s a free world baby” (3,5) tient son rang. Les reprises du morceau punk « Where’s Captain Kirk ? » (2,5) (de Spizzenergi) ou du racé « Arms of love » (3) (de Robyn Hitchcock) sont inférieures aux versions originales. Celle de « The lion sleeps tonight » (2,5) ne contribuera pas non plus à la postérité du groupe, tout comme l’instrumental « Fruit organ » (2.5) ou « Winged Mammal theme » (2,5). « New Orleans instrumental n°2 » (2) a presque autant d’intérêt que le n°1, c’est-à-dire aucun. De même que « Mandolin strum » (2) et le disque de Noël des fans « Toyland » (2).

Le 27 Avril 2024 par BLUEMASK

Le meilleur album des Talking Heads, à cheval entre leur début et leur developpement plus world et arty de la suite. Toujours dansant et rigide, la recette est épatante. ´Heaven’ est une belle chanson mélodique assez inhabituelle, ´Memories can’t wait’ a été repris par Living Colour, je ne sais quelle version choisir…

Le 26 Avril 2024 par FOUDROCK

Chose curieuse, j'ai toujours aimé cet album. Ce fut mon premier Dylan, je l'ai choisi en connaissance de cause (je le connaissais de réputation), j'avais envie de découvrir Dylan par le biais d'un disque polémique et considéré comme nul (il a fait bien, bien pire, le Barde, au passage : écoutez ses albums sortis entre 1986 et 1992, "Oh Mercy" mis à part parce que lui est excellent, et vous déchanterez. Ecoutez aussi l'albm de 73 sorti sans son accord et constitué de chutes de studio de "Self Portrait" et "New Morning", "Dylan", c'est horrible aussi, et en comparaison, "Self Portrait" est bien).
Résultat des courses, je n'ai jamais réussi à détester ce disque, certes pas génial, mais je ne peux pas le dénigrer, je ne peux pas l'enfoncer. Ma note est trop élevée d'un point, je pense, mais que diable, je suis en congés ce soir pour 15 jours, c'est la fête, donc je la conserve.

Le 26 Avril 2024 par TOOOLDTOROCK

Tous ces vieillards qui continuent à jouer la même pièce de théâtre jusqu'à la mort ne démontrent qu'une seule chose : leur motivation essentielle est le business.

Tout d'abord, cela étonnera les plus jeunes, bien que Judas Priest aient apporté leur pierre à l'histoire de métal, leur importance est aujourd'hui bien largement exagérée. Mais puisque les morts ne peuvent pas protester et que c'est à l'aune du succès c o m m e r c i a l que l'on écrit désormais l'histoire de la musique, je me tais.

Ensuite, cette façon bête de radoter les mêmes rythmes et les mêmes gammes, de publier un opus comme on change de dentier ne mérite ni encouragements ni bravos. Qu'ils passent à la production, l'écriture, qu'ils explorent de nouvelles voies, prennent des risques, passent le flambeau, se reposent... Oui je sais, je parle de trucs que même jeunes ils n'auraient pas osé faire. Breaking The Law, c'était pour rire !

Pour ceux qui ont un peu de recul : n'avez-vous pas remarqué que les artistes qui vieillissent le mieux sont ceux qui n'ont jamais atteint un trop grand succès commercial ?

J'ai entendu l'opus... Comme aurait dit Zappa : il a une drôle d'odeur.

Le 26 Avril 2024 par BLUEMASK

J'aime pas vraiment Renaud. J'aime pas son accent 'titi' forcé, j'aime pas quand il verse dans la musette, j'aime pas beaucoup ses chansons. J'aime pas sa façon de dévoyer le rock&folk par un côté 'loubard' 70's vraiment naze, et qui était déjà naze à la sortie (enfin... je crois). Plus il vieillit, moins je l'aime quand il verse dans la mélancolie de supermarché, jusqu'à ces 20/30 dernières années pathétiques à coup de fausse pudeur/vrai exhibitionnisme sur fond de variétoche indigne.
Mais, j'écoute parfois en zappant, c'est le seul artiste pour lequel je pratique ce sport parce que certaines chansons sont bien écrites, touchent juste, textes et mélodies.
Sa première partie de carrière est finalement la plus intéressante et ce live fait office de bon best-of de cette période, avant la pêche à la ligne, le mistral, et la nausée consécutive. Il faut quand même se fader des trucs du genre 'Gerard Lambert', mais au global l'énergie, la simplicité, l'humour et une certaine 'tendresse' pas encore sous forme de sirop pour prime-time remportent la mise.

Le 25 Avril 2024 par BLUEMASK

Disque 'culte' de Funkadelic, il est un peu occulté par son morceau-titre. Oui, ce long morceau de guitare quasi solo, le moins funk du groupe de funk est très bon, s'étirant tout en sensibilité dans une ambiance torturé, mais il est un poil surestimé à mon goût. Le reste est plus varié et me semble plus intéressant, avec ce melting-pot funk-rock-folk, alimenté d'un psychédélisme d'époque. 2 titres sortent du lot, 'Super Stupid', gros morceau de heavy funk qui ne dépareillerait pas sur 'Mother's Milk' des RHCP, et 'Wars of Armageddon', génial jam funk dadaïste.

Le 25 Avril 2024 par MASTERFAN

Il faut pouvoir s’imaginer ce qu’a pu ressentir un fan de R.E.M période 'campus' lorsqu’il a compris, dès la première écoute d’OUT OF TIME, ce 7ème album de R.E.M, que son groupe risquait de lui 'échapper' et de devenir énorme. Cela n’a dû durer que quelques secondes, déjà l’album introduit par un rappeur (Oh my God !), puis cette intro qui envoyait la norme 'basse-guitare-batterie' des années IRS aux oubliettes - on croise ici, comme sur l’album suivant, toute une myriade d’instruments - avant ce "The wooorld is collapsiiiiing" flamboyant et clairement à la sauce 'major', ce à quoi le déjà lucratif GREEN avait quand même réussi à échapper. Se rendre compte qu’on va devoir partager son groupe souterrain fétiche avec les afficionados du Top ' kleenex' 50. Ne reste plus à espérer que le fan en question ne soit pas en même temps un fan de Nirvana période ' underground', sinon il n’aura plus qu’à se foutre une balle (oups pas fait exprès, désolé).

Très souvent en course avec AUTOMATIC FOR THE PEOPLE pour le titre de meilleur album de R.E.M, OUT OF TIME a fait en 1991 l’objet d’un consensus généralisé. Belle période. En réaction aux respectifs courants House, New Beat, techno et bien sûr rap, la fin des années 80 voit émerger un vent de fraîcheur indé (Pixies, Stones Roses, House of love, Ride…), mais de là à ce qu’un des plus dignes et plus anciens représentants de la culture 'alternative' vienne s’inviter au festin des ventes, personne ne s’y attendait, pas même les producteurs du combo géorgien ! Je veux bien croire effectivement qu’il y a eu une part de chance, les planètes alignées, le CD qui se démocratisait, les diffuseurs à l’unisson avec le matraquage radio généralisé dont a bénéficié "Losing My Religion". Le groupe ne l’aura pas toujours par la suite, notamment en France. C’est certainement le doublé avec l’autre tube, "Shiny Happy People », qui a décidé beaucoup à l’achat de cet album.

On remerciera KRS1 de n’avoir pas trop gâché l’excellent morceau introductif "Radio Song" (ce sera moins évident treize ans plus tard avec Q-tip pour "The Outsiders" sur AROUND THE SUN). J’ai dû à l’époque (comme beaucoup de monde) épuiser "Losing My Religion" jusqu’à la moëlle. Lassé par un certain côté 'mou-du-genou répétitif', j’ai longtemps considéré la trilogie des morceaux impairs "Low" / "Endgame" / "Belong" comme un point faible, jugement atténué depuis (surtout pour le premier), avec le temps ils m’apparaissent une composante plutôt cohérente de l’album. Jamais lassé par contre par les interventions vocales de Mike Mills, que ce soit en solo ("Near Wild Heaven") ou en trio avec Michael Stipe et Kate Pierson ("Shiny Happy People"). Je trouve moi aussi la fin de l’album particulièrement réussie avec en point d’orgue l’immense "Half the World Away" et le magnifique "Country Feedback", avec juste un bémol pour le final "Me in Honey", le motif récurrent du morceau étant un peu lassant à la longue.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : "Half the World Away". DELECTABLE (4,5) : "Country Feedback", "Shiny Happy People", "Losing My Religion". SEDUISANT (4) : "Radio Song", "Near Wild Heaven", "Texarkana". PLAISANT (3,5) : "Low, Me in Honey". INTERESSANT (3) : "Endgame", "Belong". EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. AUCUNE EMOTION (2) : Néant. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan : 3,95 / Top 5 : 4,50 : OUT OF TIME cote pour moi 4,23 et arrive en 4ème position dans mon classement personnel des albums de R.E.M.
Et chez les 65 000 fans ? Eh bien curieusement, l’album n’arrive que 7ème. Le sondage donne en tête "Losing My Religion" (12ème) devant "Country Feedback" (25ème), "Half the World Away" (38ème), "Near Wild Heaven" (41ème), "Texarkana" (52ème), "Me in Honey" (54ème), "Low" (60ème), "Shiny Happy People" (65ème), "Radio Song" (73ème), "Belong" (76ème) et "Endgame" (166ème).

Pour les complétistes, impossible de louper l’excellent "Fretless" (4), retiré de l’album pour figurer sur la B.O "Until the End of the World" de Wim Wenders. 1991 est aussi l’année du non moins excellent "First we take Manhattan" (4), sûrement l’une des meilleures reprises du groupe, mais aussi l’une des plus belles reprises d’une chanson de Leonard Cohen (avec le magnifique "I’m Your Man" de Bill Pritchard, l’enthousiasmant "So long Marianne" des James, et bien sûr l’inévitable "Hallelujah" de Jeff Buckley). La reprise des Troggs, "Love is all around me" (3) chantée par Mick Mills (voir la vidéo de l’Unplugged 1991) est bien sympathique. Les autres morceaux annexes ne cassent pas trois pattes à un canard : "Forty Second Song" (2) dure en fait 1 minute 22 et c’est déjà largement suffisant. La reprise du Velvet Underground ("After Hours") fait vraiment bouche-trou (2), autant que "Rotary Eleven" (1,5). Pas mieux pour les singles du fan club, "Baby Baby" (2.5) au refrain gentillet, et le petit délire sans intérêt "Christmas Griping" (2).

Le 24 Avril 2024 par @CLOVIS_DU_67

@SAUMON

www.lefigaro.fr/musique/kanye-west-fait-scandale-en-affichant-son-admiration-pour-hitler-20221201

www.liberation.fr/culture/musique/jadore-les-nazis-kanye-west-presente-ses-excuses-un-an-apres-des-propos-antisemites-20231227_NC6SJSSHONFVHLA3ELCXHJL5XI/

C’est fait :)

Le 24 Avril 2024 par MASTERFAN

Concernant R.E.M, on trouve bien souvent trois sortes d’auditeurs : ceux qui ont découvert le groupe lors des années IRS (autant dire, excepté aux States, pas grand monde), ceux qui l’ont découvert tôt ou tard à la radio avec "Losing My Religion" (autant dire pas mal de monde) et ceux dont je fais partie qui ont été sensibles vers la fin des années 80 au charme du 6ème album GREEN. Ce n’était pas hier, R.E.M était perçu à l’époque comme un groupe d’étudiants attardés réacs et écolos, et Michael Stipe avait encore des cheveux.

Ce premier album sorti sous major est réputé pour la belle homogénéité de ses morceaux et une constance globale dans la qualité des compos. On lui reproche parfois à l’inverse une absence de réels points d’orgue. Pas faux.

Rien à dire sur les deux morceaux impeccables et très mélodiques qui ouvrent l’album, "Pop song 89" et "Get up" me mettent toujours de bonne humeur. Mandoline acte 1 : "You are the Everything", sûrement mon préféré des trois, qui enchaîne avec "Stand", belle sucrerie, le niveau ne faiblit pas. S’ensuit pour moi le meilleur titre de GREEN et trésor de ce disque, l’inusable "World leader pretend". Mandoline acte 2 : "The wrong child", beau sujet mais un résultat qui m’a toujours laissé sur ma faim, comme l’impression que les mecs n'arrivent jamais à contrôler le morceau et veulent trop en faire. Ouf, voilà le bien aimé des fans "Orange crush", suivi par un "Turn you inside out" qui n’a jamais réussi à pleinement me foudroyer. Mandoline acte 3 : "Hairshirt" a réussi sur la longueur à me dompter, tout comme le lancinant "I remember California". C’est moins le cas du morceau sans titre final, avec un Mike Mills pour une fois pas super-inspiré sur sa partie vocale. Une seconde partie d’album beaucoup moins prenante que la première, quand même.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT : Néant. DELECTABLE (4,5) : "World leader pretend". SEDUISANT (4) : "Pop song 89", "Get up", "You are the everything", "Stand", "Orange crush". PLAISANT (3,5) : "Hairshirt", "I remember California", "Turn you inside out". INTERESSANT (3) : "Untitled song". EMOTION LIMITEE (2,5) : "The wrong child". AUCUNE EMOTION (2) : Néant. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan : 3,68 et Top 5 à 4,10 : GREEN cote pour moi 3,89 et arrive en 13ème position dans mon classement personnel des albums de R.E.M.

Côté fans et malgré l’arrivée sur une major, l’album a toujours relativement bonne cote (classé en 8ème position sur 15). Pour les morceaux, "Orange crush" mène la danse (9ème) devant "World leader pretend" (24ème) puis "You are the everything" (27ème). Viennent ensuite "Pop song 89" (32ème), "Turn you inside out" (51ème) et "Stand" (53ème).
Les chansons ayant récolté le moins de suffrages sont "The wrong child" (119ème) et "Untitled song" (120ème).

Pour les complétistes, enfin un peu plus de boulot désormais avec le succès venant et les fameux 'disques pour les fans', le plus souvent des reprises. 1989 apporte un gros lot de curiosités. On passe très vite sur le traditionnel "Good King Wenceslas" (2) qui relève plus de la mauvaise farce qu’autre chose, de même que "Memphis train Blues" (2) qui n’a pas plus d’intérêt. "Academy fight song" (3), le disque de Noël, ne surpasse pas l’originale de Mission of Burma. "See no evil" (3) est plutôt sympa, même si de même ça ne transcende pas la version originale de Television. Idem pour "Fun time" (3) par rapport au morceau d’Iggy Pop. Le plus intéressant est sûrement la reprise de l’hypnotique "Ghostrider" (3,5) de Suicide et celle encore plus surprenante de "Dark Globe" (3,5) de Syd Barrett. Ambiance western l’année suivante avec une reprise de "Ghost reindeer in the sky" (3), morceau datant de 1948 puis "Halloween" avec le très écoutable mais trop répétitif "I walked with a zombie" (3) de Roky Erickson. Tout cela reste très anecdotique, évidemment.

Le 22 Avril 2024 par BLUEMASK

Sur mon podium des albums d’Elton John, ce disque est porté par 3 titres sublimes : le mid-tempo "Daniele" d’une élégance démente, la ballade croonisante "Have Mercy" d’une noire beauté et le tube intemporel aux choeurs doo-wop "Crocodile Rock". Rien que cela en ferait un album important quoi que soit le reste. Mais le reste est très bon. Un essentiel d’un mec qui a été essentiel quelques années.

Le 22 Avril 2024 par STANKEY

Quel plaisir d'avoir des nouvelles de cette formation ! Entièrement d'accord pour le côté délicat de certaines compositions dans cette modeste discographie (7 years after à fond aaargghh), un groupe mineur certes, mais assurément une surprise que je vais de ce pas acheter les yeux fermés.
Merci Riri d'en avoir parlé en ces pages. Au plaisir.

Le 22 Avril 2024 par SAUMON

"Le rappeur se revendique ouvertement nazi, idolâtre le dirigeant du Troisième Reich et dénie la Shoah."

Euh, tant que ça ?
Une source en bas de page aurait été éclairante.

Le 22 Avril 2024 par ARP2600

Bah je dois quand même m'insurger un peu... Sur le "On se demande pourquoi" surtout... Mais enfin, je passe une page entière à l'expliquer.

Je confirme en tout cas, après l'avoir écouté aujourd'hui (sauf Hymn et Visions in blue, faut pas dec, j'ai l'estomac fragile), onze ans plus tard et dans une partie totalement différente de ma vie, tout ce que j'avais affirmé en 2013. Les singles me font pitié, la prod de George Martin est lamentable, les autres chansons pas mauvaises mais n'apportent rien par rapport aux albums précédents. Je n'en retiens décidément que "The song (We Go)", très beau final à la hauteur de "We stood still" et "A friend I call desire".