Le 07 Juillet 2021 par IEN

Je ne connaissais pas cette version Deluxe, ça a l'air intéressant.
Excellent album en tout cas avec pas mal de classiques de Bob Marley.


Pourquoi ne pas l'avoir classifié avec les autres albums de Bob Marley and the Wailers. ?

Le 07 Juillet 2021 par METALPROG84

Plutôt éloigné des 2 albums précédents, "Drones" ressemble plus aux premiers albums du groupe et c'est tant mieux. Les 9 premiers morceaux sont vraiment bons et pêchus, même si on pourra toujours reprocher au groupe d'être assez formaté. Dommage effectivement que la fin (les 3 derniers titres) soit aussi molle (passe encore pour "Aftermath" mais "The globalist" est décevante et que dire de "Drones" avec ce chant religieux qui dénote complétement avec le reste).
4.5/5 pour les 3 premiers quart de l'album, 1.5/5 pour le dernier quart.

Le 06 Juillet 2021 par SGT JAKKU

@Alex Labrique : je suis d'accord, heureusement que l'album suivant de Gilmour a été le suivant des PF.

Le 06 Juillet 2021 par AXEL LABRIQUE

Effectivement, STO... Heureusement que son album suivant a fini par devenir l'album suivant du Floyd. Ce simple fait a dû certainement le pousser à remettre en question certains arrangements et mixages, à se creuser un peu plus.

Cela dit, après avoir écouté le désastre du remix de "Delicate Sound of Thunder" sans les effets années 80, je me demande s'il n'est pas préférable de laisser "About Face" tel quel à jamais, avec tant de défauts, oui, mais des défauts qui ont tout de même leur charme.

Le 06 Juillet 2021 par AXEL LABRIQUE

Enorme coup de coeur pour "Alice"... Que d'intensité avec tant de minimalisme dans l'interprétation...
Seul Bob Dylan arriverait à faire mieux (et encore, je préfère Peter).

Le 06 Juillet 2021 par LE MOUNGEPEDOUN

Bien vu Erwin, j'ai compris que celui-ci, tu as dû l'écouter souvent d'une main. Il est vrai qu'à l'époque, cette chanteuse avait l'habitude de se dandiner à foison dans les émissions de feu Guy Lux en 'prime-time' avec son look de Lolita sexy-disco pratiqué aussi par Sheila, même si c'était moins joli. Et puis, n'oublions pas que Karen Cheryl est aussi l'interprète du cultissime "A l'envers à l'endroit" pour lequel Ardisson fit avouer à la demoiselle, à l'époque, dans une interview nocturne et trash qu'elle avait déjà pratiqué 'à l'envers'. D'ailleurs, Foucault dans 'Sacrée Soirée' avait commis un lapsus révélateur en baptisant le titre 'par devant par derr... '. Merci Erwin encore pour cette chro' disco-nostalgique, un avant-goût des 80's, des Madonna, Sabrina, Samantha Fox et consorts.
Ah cette pop-culture !

	Par Forces Parallèles Hey ! Rien de tel bien au contraire. Karen représente pour moi un premier émoi d'enfance, absolument rien de sexuel. C'était très pur et quelques années avant que les brunettes n'envahissent ma vie. Quand à la télé, je t'avoue ma totale ignorance des faits que tu évoques. Et je trouve d'ailleurs que Isabelle à magnifiquement réussi sa reconversion en intervieweuse, qui plus est mariée à un journaliste intello et non un people quelconque. Respectable sinon admirable. Bien à toi Erwin

Le 06 Juillet 2021 par LE STO

Ouah..., je viens d'écouter cet album... je trouve qu'il passe aussi bien que Radio KAOS! Total 80's, caisse claire, synthés, voix lointaine, orchestre symphonique, rythmique pataude, rock lourdeau...

On oscille entre Phil Collins ("Blue Light"), Elton John ("Out of the Blue") ou des trucs qu'on pourrait mettre dans les BO de Top Gun ou Retour vers le futur ("All Lovers are Deranged") ou dans un album de UB40 ("Cruise").

De loin le plus mauvais album de Gilmour, avec ou sans le floyd. Très difficile à écouter et les solos de gratte, patte Gilmourienne par excellence sont noyés dans ce maelström trop Michael Kamenien ("You Know I'm Right").

Mais au vu de ce qu'a fait DG pour la musique, tout est pardonné!

Le 06 Juillet 2021 par FEELGOOD

Welcome To My Nightmare demeure l'un des incontournables de 1975. C'est l'un des meilleurs albums conceptuels de l'histoire du rock.
Dès le morceau-titre, on est plongé dans une ambiance poisseuse de film d'horreur. Suit le brillant « Devil's Food », futur cheval de bataille scénique, puis c'est la rencontre avec un sinistre conservateur (incarné par l'acteur de films d'horreur Vincent Price) qui se lance dans un monologue à la gloire de la fascinante Veuve Noire. « The Black Widow » demeure un excellent spécimen du hard rock des années 70, transcendé par les guitares de Dick Wagner et Steve Hunter.
Cooper se lance ensuite dans « Some Folks », numéro musical inspiré de Broadway, avec piano, cuivres et claquettes, popularisé sur scène par la célèbre danse des squelettes, l'un des sommets du show Welcome To My Nightmare.
Mais la véritable surprise de l'album demeure la ballade « Only Women Bleed ». L'un des cadres de la compagnie de disques fit écouter cette dernière à un groupe de personnes en leur demandant de deviner qui en était l'interprète : personne ne devina que c'était le Coop', certains crurent même qu'il s'agissait de James Taylor (!!!). Composée par D.Wagner en 1968, c'est une splendide chanson traitant de la violence conjugale. Il s'agit du titre le plus repris du répertoire d'Alice Cooper, notamment par feu Patrick Juvet (« J'ai Peur de la Nuit »).
La face B est tout aussi réussie et apporte son lot de nouveautés même si elle débute de manière classique par l'entraînant « Department Of Youth », hymne nous renvoyant au Coop' de naguère et des refrains simplistes à la « School's Out ». Alice se prend ici pour le porte-parole de la jeunesse et le morceau met en avant la chorale des gosses de Summerhill.
« Cold Ethyl », furieux hard rock, porté par les guitares perverses et assassines de Wagner et Hunter constitue la déflagration la plus violente de l'album et ses références à la nécrophilie firent grincer bien des dents.
Le milieu de cette face nous propose un voyage glaçant et halluciné au cœur du monde terrifiant des cauchemars enfantins, Alice au pays des horreurs, traumatisant triptyque s'articulant autour du troublant « Years Ago », de « Steven », peut-être le plus effrayant titre du Coop', et de « The Awakening », progressif retour à la réalité, quand les ténèbres ne se sont pas encore dissipées et que l'on se réveille tremblant et hébété après un cauchemar poisseux...
La fuite demeure la seule issue et c'est ce que nous propose l'énergique et positif « Escape », lumineuse conclusion de cet album marquant.
Pour finir, Vincent Price n'apparaît pas dans « The Number Of The Beast ». C'est un certain Barry Clayton que l'on entend au début du titre de Maiden. Le groupe avait certes envisagé de faire appel à Price mais celui-ci demandait trop. Cf. Wikipedia : « According to Dickinson, the band originally approached Vincent Price to record the passage, but were unwilling to pay Price's fee of £25,000. »

Le 06 Juillet 2021 par MARTIN LA BOTTE

2 petites étoiles, surtout pour "Show me you're man enough", de très loin ce que je préfère sur ce disque, même si "Liars beware" ou "Tonight in Hollywood" ne me déplaisent pas. Jamais été fan de "Tchoo Tchoo" qui reste quand même moins pénible à mes oreilles que "Ready for love" ou "Lady Luck"... En fait, celle que j'aimais plutôt bien, c'était "Making up, making love", le single suivant de Karen qui ne figure pas sur ce 33t et dont l'insuccès en 80 a dû pousser Ibach à stopper net les velléités de carrière internationale pour sa pouliche. Un retour gagnant à la variété française sur le plan économique et en terme de forte popularité sur le territoire pendant encore 2 ou 3 ans. Mais Jeanne Mas arrive et les (pré)teenagers vont déjà remplacer la remplaçante de Sheila qui se fera remplacer à son tour par Mylène...

En fait, 1,5/5 parce que j'appréciais tellement plus le précédent album.

Le 05 Juillet 2021 par CSAMSA

Le meilleur album de Huey Lewis à mon goût. Album de la maturité après deux disques réussis au succès mérité. L'ascension se poursuit et le sommet est atteint. Ensuite, logiquement, ça redescend. Varié, très bien arrangé, l'ensemble s'écoute toujours très bien plus de 30 ans plus tard, c'est léger, festif et déplombant au possible. Quelques sonorités aux synthés très 80's ont vieilli mais l'ensemble de la production passe bien, notamment avec un son de batterie resté naturel. Pas d'édition remasterisée à ma connaissance, c'est dommage. Et dommage aussi qu'aucun live officiel de cette période dorée ne soit sorti pour synthétiser cette réussite exemplaire (le live at 25 de 2005 est trop tardif).

Le 05 Juillet 2021 par RICHARD

Sans conteste le meilleur album de LSD. Il est comme un monde en apesanteur. Ardor est la parfaite symbiose entre les ambiances cristallines et vaporeuses des derniers COCTEAU TWINS et les récentes tensions noisy de l'époque. C'est aussi peut-être la raison de sa trop grande discrétion. Entre deux styles, deux mondes. Il n'en demeure pas moins un classique dream pop de haute tenue.

Le 04 Juillet 2021 par FRANçOIS

"Quelques légères touches électro" ? Il n'y a que de ça !
Ses influences ? Jacques Brel, Serge Gainsbourg, Catherine Ringer, Les Rita Mitsouko, Noir Désir, Léo Ferré (!), The Cranberries, Patti Smith, Janis Joplin (!), Izïa Higelin et Nirvana. Elle a dû mal écouter alors car moi j'entend plutôt du Stromae... Et ce n'est pas un compliment.

Le 04 Juillet 2021 par BAKER

Hors sujet, mais c'est marrant... la seule et unique chose que je retiendrais d'Hoshi, c'est bien son physique. Et RIEN d'autre.

Quant à ce Lecoeuvre, je découvre son existence ce midi et d'ailleurs je la recouvre, de chaux vive.

Le 04 Juillet 2021 par MARTIN LA BOTTE

Ah non, Erwin, j'aime beaucoup "Sing to me Mama" mais le must sur cet album (le seul que je n'ai jamais acheté de Karen Cheryl, chanteuse qui ne m'a jamais véritablement convaincu, ni séduit), c'est incontestablement "There's a sweet melody" ! Ce morceau tentateur, je lui jalouse au nom de toutes ses aînées françaises qui se sont risquées au disco avec plus ou moins de réussite. Je retrouve des intonations pré-Kim Wilde sur cette sensuelle mélodie qui me parait plus adulte que tout le reste. Et j'accroche assez à la ballade "Hold on" de très bonne facture aussi. Le reste m'indiffère, d'autant qu'il y a des morceaux comme "Like a movie" où je me demande si elle était présente pendant l'enregistrement ou si on l'a juste priée de bien bosser la choré, exercice où je l'ai toujours trouvée plutôt gauche et poussive...

Après avoir lu cette chronique (extrêmement bien troussée au demeurant), je suis mitigé. J'étais assez agréablement surpris et curieux de tomber ici sur une critique d'album de Karen Cheryl (même si Dorothée y avait précédemment eu droit) et finalement, ça a eu l'effet inverse sur moi et donné plutôt l'envie de moins m'attarder sur la disco de Sheila.
Trop de précautions d'usage, de mises en garde rhétoriques ici et là et de second degré comme si le lecteur ne pouvait que s'affliger ou se bidonner de voir un Erwin avouer un amour honteux et contre-nature de jeunesse, jeunesse qui en serait bien sûr la seule responsable. La grosse différence avec Marco et sa Dorothée, c'est que lui ne me semble pas avoir ressenti le besoin de recourir à l'autodérision pour justifier sa petite faiblesse qui, du coup, n'en est plus une. Mais je me dis que beaucoup doivent partager le sentiment d'Erwin, "ok pour répertorier MÊME Karen Cheryl dans la base de données à condition de bien la distinguer de ce qui est légitime et noble". Du coup, je me demande si dire du bien des albums de Sheila sans détour la réhabilite un peu ou ne la plombe pas davantage auprès de ses éternels et très suffisants détracteurs... ;)

Le 04 Juillet 2021 par NANA

Radio Mirabelle : reprise Française de "Rockin' Roll baby" du groupe The Stylistics (1973)
Excellent !!!

Le 04 Juillet 2021 par RICHARD

Tu n'es pas seul patron. Moi, au milieu des années 80 et du haut de mes 8-9 ans, c'était Lio :)

Le 04 Juillet 2021 par CLANSMAN57

Mon précédent message te visait en effet, Martin.
Allez, va pour une mauvaise interprétation de ma part. Parait que c'est courant par le biais du net. Je prends sur moi.
En ce qui concerne la dernière partie de mon message, disons que je sais que trop bien que mes avis en dérangent certains, ceci expliquant cela.
Je ne connais pas Lecoeuvre et ce qu'il dit ne me donne absolument pas envie de le connaitre.
C'est tellement facile d'attaquer les gens sur leur physique.
Pour revenir à ce que j'ai cru être mal pris, disons qu'une chanteuse, peu importe son nom, avec des textes dignes de ceux de Barbara et qui possède une voix aussi belle que celle de Dalida, j'aurais en effet été comblé.

Bonne soirée à toi:)

Le 03 Juillet 2021 par MARTIN LA BOTTE

@Clansman57 : je ne sais pas à qui tu adresses ton dernier commentaire courroucé. Si c'est, comme je le pense, probablement à moi, je suppose que c'est parce que le mien t'a froissé pour je ne ne sais quelle raison, sans doute pour mauvaise interprétation. Comme je l'ai dit, j'ai seulement trouvé ta réflexion "singulière" et "singulier" n'est pas forcément un défaut. Et ça m'a rappelé Fabien Lecoeuvre qui déclarait il n'y a pas si longtemps que Hoshi devrait passer par des chanteuses moins "moches" qu'elle pour faire connaître ses chansons. Un rapprochement lointain qui s'arrêtait là et qui m'a permis d'user d'un peu de second degré. J'avais parfaitement compris ton point de vue qui n'était nullement une attaque envers la créatrice de "Dis quand reviendras-tu ?" Tu aimes les chansons de Barbara et la voix de Dalida, tu aurais été comblé de les entendre créées ou reprises par cette dernière. Pourquoi pas...
En tout cas, tu ne risquais certainement pas de me voir "le prendre mal", puisque je suis un auditeur très modéré du répertoire de Dalida et encore plus de celui de Barbara.
Mais comme tu as l'air particulièrement "vindicatif" avec tes " je ne vais pas me gêner de dire ce que je pense, n'en déplaise à certains", eh bien, venge-toi si ça te fait du bien !

Et comme tu veux qu'on parle du disque, j'aime bien "Ce matin-là" en dehors des 2 titres phares.

Le 03 Juillet 2021 par CLANSMAN57

Il n'y a rien à modifier ni chez l'une, ni chez l'autre, c'est une simple idée qui a germée dans mon esprit car l'une a écrit les meilleurs textes parmi les chanteuses françaises et l'autre possède la meilleure voix dans cette catégorie. Bien entendu, par "meilleure", ça n'engage que moi.
Idée singulière que de déformer les propos d'autrui, juste parce qu'on le prend mal en vérité, alors qu'il n'y a absolument rien à prendre de haut.
Pourquoi ne pas commenter le disque au lieu de mal réagir aux idées des autres?

M'enfin, pour les quelques disques que j'ai encore à commenter, je ne vais pas me gêner de dire ce que je pense, n'en déplaise à certains.
Je vais me gêner:)

Le 03 Juillet 2021 par LE MOUNGEPEDOUN

Je l'aime bien celui-ci avec des relents prog' à la Dream Theater, jamais eu de problème avec, disque très agréable de bout en bout, le summum étant la ballade-single 'bottom of your soul'.