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EMINEM
ENCORE


Le 08 Mai 2021 par THE NEW ANGEL D


Ah, c'est clair qu'après des albums comme "The Slim Shady Lp", "The Marshall Mathers Lp", "8 miles soundtrack", "The Eminem Show" ou ses deux albums avec D12, on en voulait encore.

"Encore" était attendu, il allait être de qualité, c'est sûr. Comment pouvait-il en être autrement ? Sauf que non. L'album fut une terrible déception.

"Evil Deeds" ouvre l'album timidement. C'est mou et quelconque. Ça ne décolle pas. Idem de "Never Enough" où Nate Dogg vient ronronner sur le refrain.
Il faut attendre le refrain de "Yellow Brick Road" pour qu'il y ait une (petite) étincelle. On commence à y croire, surtout qu'arrive ensuite "Like toy soldiers". C'est loin d’être son meilleur tube, mais le titre est bon.

Ensuite, on à "Mosh". Ouais ça passe. Après, silence radio. On ferme le rideau.
Bon, il y a bien "Ass Like That" qui sort du lot et j'avoue que je trouve sympas "Crazy in Love" et le titre "encore" mais c'est presque tout.

Purée, "One shot 2 shot' avec ses potes de D12 est un truc déjà entendu 2000 fois.
La très quelconque "Just Lose It", sortie en single, essaye de nous refaire musicalement le coup de "Without Me", l'inspiration en moins.

Mais alors, que s'est-il passé ? Eminem est toujours le même pourtant. Son "flow" à cette période est encore au top, les prods sont toujours concoctées par Dre et lui-même. Il est toujours taquin, il s'attaque toujours à son pote Bush. Alors merde, que s'est-il passé ?

En réalité, il est facile de comprendre pourquoi "Encore" est un assemblage de titres bouche-trous. C'est l'album d'un artiste fatigué. Ça se ressent à tous les niveaux tant c'est uniforme, sans énergie et répétitif. Même Dr Dre n'est pas en forme.

L'inspiration n'est plus là, tout comme la prise de risque. On a entendu tout en mieux ailleurs, sur les six albums qui le précèdent (on y trouvait aussi des titres bouche-trous mais en plus petite quantité qu'ici).

"Encore" est donc malheureusement un album médiocre. Seuls les fans hardcore d'Eminem peuvent en dire le contraire.





IRON MAIDEN
SOMEWHERE IN TIME


Le 08 Mai 2021 par THE NEW ANGEL D


Tout le monde le sait : Iron Maiden est à son apogée en 1984 avec le blockbuster du heavy métal, "Powerslave", et la tournée mondiale qui s'en est suivie.

On pouvait légitimement craindre une baisse de régime par la suite mais que nenni.
Plus que ça : c'est encore meilleur. Avec "Powerslave", il y a les sommets et les titres moins bons. Avec "Somewhere In Time", les sommets sont peut-être moins monstrueux mais tout les titres sont bons.

Comme on le sait, le groupe reste toujours fidèle au Heavy Métal de tradition, mais il y injecte des sonorités et ingrédients dans l'air du temps.

Ah les années 80 ! : (quasi) Personne n'échappe aux nappes de claviers. On en trouve presque partout : dans le hard, dans la new-wave, dans le funk, dans le hip-hop. Iron Maiden utilise ici des guitare synthé avec intelligence : on n'en trouve pas systématiquement. Et c'est le plus souvent en fond sonore pour donner une ambiance plus aérienne, plus atmosphérique et spatiale à la musique. Et ça marche !

C'est bien vu, d'autant plus que le son est monstrueux : c'est la meilleure prod' de Martin Birch. A part les personnes complétement allergiques à la réverb' et au claviers, il est facile de reconnaitre que l'album sonne d'enfer et qu'à ce niveau-là, c'est leur meilleure production.

Harris toujours à son maximum enchaine les titres épiques. "The Looneliness of the Long Distance Runner" avec ses couplets qui pulsent sévère, "Alexander the Great" et son milieu de morceau magique, le fameux "Heaven Can Wait" et ses "ho ho ho" taillés pour le live.
C'est du Heavy Métal de haut niveau, mélodique, maidenien et on ne s'en lasse jamais, même si à part l'introduction des claviers, on est en terrain connu.

Heureusement, Adrian Smith signe 3 titres qui vdonnent une autre couleur à la musique. Il y a "Sea of Madness" qui alterne passages couillus et atmosphériques, avec un Mc Brain qui envoie le bois sur sa batterie. Vraiment, un très bon titre avec des couplets quasi trash !

Mais ce sont surtout les deux autres titres qui se démarquent.
"Wasted years" sent le tube à plein nez avec son feeling plus rock et son refrain accrocheur. Adrian Smith propose une intro' de ouf à la guitare et nous concocte peut-être son meilleur solo.
Il y a un petit quelque chose de mélancolique dans ce titre qui nous prend aux tripes. A mon avis le meilleur "single" de Maiden.

Enfin, "Stranger in a Strange Land" ne sonne pas trop comme du Maiden. Il sonne surtout comme du Adrian Smith en fait. Un petit ovni, un titre archi-mélodique, aérien, avec de magnifiques arpèges de guitare synthé.

Pour conclure, il est évident que ce disque est un vrai bonheur. Les titres sont bons, le son au top, les musiciens au meilleur de leur forme. D'ailleurs, on sent qu'ils se font (et nous font) plaisir, notamment sur certains passages instrumentaux assez longs sans être redondants.

Mais on se doute que le groupe ne pourra pas maintenir un tel niveau pendant très longtemps. Peut importe, "Somewhere In Time" est grand, c'est mon 2em album favori du groupe.
Quant à leur meilleur disque (et mon préféré), ils vont réussir à le sortir 2 ans plus tard.

Incroyable quand même, non ?





The BLACK EYED PEAS
ELEPHUNK


Le 08 Mai 2021 par THE NEW ANGEL D


Il est facile de critiquer ce disque. Oui, c'est vrai que c'est de la musique commerciale, que les paroles sont bidons. Pourtant, c'est le genre d'album qui fait du bien. Il nous montre que le rap, c'est autre chose que du bruit, du dégueulis à l'auto tune et des moulinets de bras .

On revient ici à l'essence même du hip hop : de la musique festive avec du funk et du fun, du swing et du groove, mais aussi des mélodies, des instruments et du chant .

C'est palpable dès le départ avec ce "Hands Up" très jazzy et accrocheur. Et le groupe embraye et confirme sur le puissant et funky " Labor Day" avec son sample de James Brown .

Il est vrai que l'album est très éclectique. Le groupe arrive même à me faire aimer le néo métal (autant j'adore le heavy métal, autant le néo pas franchement) sur le titre "Anxiety" avec la présence du groupe Papa Roach . Une très bonne surprise.

Idem avec le single "Where Is The love" qui invite Justin Timberlake sur le refrain, titre qui lorgne sur la pop et le Rn"B contemporain. C'est pas non plus mon style favoris mais j'aime beaucoup ce morceau, indéniablement réussi.

Quand au singles, parlons-en . Il y en a 4 sur "Elephunk .
"Shut Up" est tout simplement excellant (le meilleur titre de l'album?), le funky "Let's Get Retarded", "Hey Mama" et ses influences dance hall et 'Where Is The Love" donc. Ils sont tous de qualités.

Tous les morceaux ne se valent pas sur ce disque mais je ne vois pas de mauvais titres.
J'aime bien "The Apl Song", titre posé et mélancolique où le sobre et purement hip hop "Third Eyes" .

On va dire que je trouve "Smell like funk" un peu redondante, je ne suis pas trop fan du latino "latin girls" et de "sexy".

Quand on fait le bilan, il est évident que l'album est réussi. Il n'est pas si fréquent que réussite commerciale et artistique coïncident mais c'est le cas sur "Elephunk".
La "hype" Black Eyed Peas est passé depuis longtemps maintenant mais je continue d'écouter cette album avec plaisir .

Note : 3,5 arrondi à 4





TAÏ PHONG
RETURN OF THE SAMURAI


Le 08 Mai 2021 par NONO

Ca alors ! J'avais toujours eu un a-priori plutôt négatif sur TAI PHONG tout simplement car j'avais cru comprendre (par le biais d'une interview ou d'un article ?) que Goldman trouvait le groupe calamiteux, qu'il n'en avait pas un bon souvenir... Or, apparemment cet album est très bon... Je vais donc y faire un tour par curiosité.





Lou REED
SALLY CAN'T DANCE


Le 08 Mai 2021 par FEELGOOD


Lou Reed n'aimait pas ce disque. C'est plutôt bon signe. Sally... est peut-être son meilleur album studio, en tout cas le plus chantant, le plus 'groovy' (la fameuse 'seventies vibe'). Reed se voyait sans doute en 'Artiste' avec un grand A alors qu'il n'était qu'un rocker mal léché. Et c'est justement parce que Sally... ne prétend pas être autre chose qu'un vulgaire disque de rock décadent qu'il est aussi bon. Les prétentions symphonico-opératiques de Berlin sont loin, Bob Ezrin aussi.
On imagine mal l'auteur de Sally... donner dans les mondanités et être fait chevalier des Arts et des Lettres par Jack Lang.
Sally... est un disque putassier et excitant comme peuvent l'être certaines racoleuses. Avec ses cuivres clinquants et sa basse 'badass' (Prakash John qu'on retrouvera ensuite avec Alice Cooper), il constituerait la bande sonore idéale d'un film Grindhouse. Seul album de Reed à avoir atteint le Top 10 américain, Sally... est bourré de vraies bonnes chansons accrocheuses et de parties de guitare excitantes. "Kill Your Sons", "Sally Can't Dance" et l'intégralité de la face A font de cet album un essentiel des années 70.





Tori AMOS
NIGHT OF HUNTERS


Le 07 Mai 2021 par LEO

@ STEPHANE :

Je faisais la comparaison avec Kate Bush non forcément du point de vue du style (bien que Tori fut souvent comparée à Kate à ses débuts) mais bien au niveau qualitatif dans leurs discographies respectives, car de mon point de vue l'inspiration a sacrément décliné pour l'une comme pour l'autre depuis plusieurs années !





SMITH/KOTZEN
SMITH/KOTZEN


Le 07 Mai 2021 par JASPER LEE POP

@ BRADFLOYD
Peut-on encore rentrer dans les annales en pratiquant ce genre de musique? J'ai de gros doutes et ça fait bien longtemps que je n'ai plus d'attente aussi élevée. Reste comme tu le soulignes un album très agréable avec notamment un travail sur les voix plus complexe qu'il n'y paraît et qui se dévoile au fil des écoutes.





The YOUNG GODS
THE YOUNG GODS


Le 06 Mai 2021 par MAGNU

Les jeunes dieux...les biens nommés





Tori AMOS
NIGHT OF HUNTERS


Le 06 Mai 2021 par STEPHANE


Je ne suis pas très objectif, je suis un grand fan de Tori, même si, depuis quelque temps, certainement dû au fait de son absence plutôt longue, je ne l'écoute plus trop.
Je n'écris pas ce commentaire pour la défendre, les goûts et les couleurs ne se discutent pas et je ne suis pas là pour forcer quelqu'un à aimer cette artiste ou cet album.
Mais le commentaire précédent me "choque" un peu. Tori n'a rien à dire ? C'est ennuyeux ? Inutile ? Pour vous, oui (et vous avez le droit). Personnellement, je l'adore (et non, je n'adore pas tout ce qu'elle fait, il y a effectivement des titres d'elle que je n'aime pas, voire des bouses monumentales pourtant appréciées par la majorité des fans).
On lui a proposé ce projet, elle l'a accepté. Elle aurait pu se casser les dents, je trouve qu'elle s'en sort honorablement.
Qu'on n'aime pas, OK, no souci, je n'irai pas plus loin, mais de là à aller jusqu'à dire qu'elle ne fait plus rien de bon. Empruntez son chemin et montrez-nous ce que vous savez faire si c'est si facile.

Et franchement, cette comparaison avec Kate Bush. On peut changer de disque ? J'écoute Kate également et je ne vois des similitudes qu'en de très rares occasions.
Bravo aux chroniqueurs de ce site, j'adore vous lire.





Miles DAVIS
WATER BABIES


Le 06 Mai 2021 par LE MERLE MOQUEUR


Le vinyle :

Cet album fut une demande de ma part il y a déjà un certain temps. Je me répète en avouant aimer ce disque qui est, et j'exagère peu, un patchwork dont le matelassage offre aux inconditionnels de Miles un relief musical des plus réussis. C'est, toujours pour rester dans la couture, un quilting qui, justifiant mes goûts, ficelle avec succès tous les morceaux ainsi rassemblés.

La pochette :

Entre-temps, j'ai fini par remettre la main sur le livre et un nom sur le photographe qui durant un an arpenta avec sa caméra le South Bronx afin d'être admis par sa population qui accepta d'être fixée pour une postérité anonyme sur les pellicules qu'il trimbalait dans sa sacoche.
C'est en 1980 qu'il photographia ces gosses que l'on peut, si on le veut, retrouver sur la pochette de Water Babies. Le lieu, par un été torride et poussiéreux, la Street Shower à deux pas du Mullaly Park à New York. Ce photographe engagé avait pour nom Walter Rosenblum né en 1919 et décédé en 2006.





SMITH/KOTZEN
SMITH/KOTZEN


Le 06 Mai 2021 par BRADFLOYD


Salut JASPER LEE POP,
Désolé, mais je n'adhèrerai pas à ton mouvement : un solo, des soli, e basta.
Sinon, chronique qui m'a donné envie d'écouter. Résultat : bon album, sympa. Blues rock assez brut de décoffrage, très éloigné de la Vierge de Fer, avec beaucoup de groove. Les deux compères ne se tirent pas la bourre et semblent complémentaires, sur une musique dans la lignée de ce que font ou faisaient des gars comme Glenn Hughes ou John Norum. A conseiller, effectivement, même s'il ne rentrera pas dans les annales.
Bien à toi.





The METERS
THE METERS


Le 06 Mai 2021 par SOUL MAN

Un Must.
Le pendant des Isley Brothers et de Booker T. & The MG'S





Miles DAVIS
ON THE CORNER


Le 06 Mai 2021 par THE NEW ANGEL D


Miles disait qu'avec "Bitches Brew", il avait réussi à intéresser les jeunes blancs à sa musique. Mais avec cet album, il voulait maintenant essayer d’intéresser les jeunes noirs à sa musique.
"Rassembler tous ces jeunes dans l'écoute de ma musique et de l'appréciation du groove" ; tel était le souhait de Miles.

J'apprécie la démarche et "On the Corner" est à cette période son disque le plus funk. Mais c'est aussi un album très expérimental, peut-être son plus radical.

Perso, j'aime pourtant bien l'ambiance et les sonorités du disque. Il y a un groove du tonnerre. On a aussi des percussions indiennes par moments, des passages psychédéliques. Mais pour moi, ça ne tient pas sur la durée car Miles a fait le choix de proposer un album très minimaliste et archi répétitif.

Le pire étant la deuxième partie de l'album (que je n'arrive jamais à écouter en entier) avec "Black Satin" ou plutôt "One and One", "Helen Butte" et "Mr Freedom x" qui ne sont que des variations de ce morceau.
Miles, trop obsédé par le rythme à cette époque, demande à ses musiciens de trouver un riff et de le jouer en boucle jusqu’à plus soif.

Bon, c'est pas nouveau dans sa période "fusion" mais la démarche ici est franchement trop poussée à son paroxysme pour que j'y trouve mon compte. Non, vraiment, je n'y arrive pas.

Au même moment que cet album, Herbie Hancock avec "Sextant" proposait un funk expérimental et sous influence Miles Davis mais pourtant plus agréable et facile d'accès que ce "On The Corner".
Pire encore, le même Herbie sortira un ans plus tard le fameux "Head Hunters". Peut-être l'album ultime de jazz funk, en tout cas celui qui a eu énormément de ventes, le succès que Miles espérait obtenir avec "On The Corner".

Pour beaucoup, "On the Corner" est sous-estimé car c'est un disque très avant-gardiste qui serait l’ancêtre de la drum n bass, du trip-hop, de la techno et du hip-hop. Ce que je ne peux absolument pas remettre en question, tout comme le fait que je ne peux pas lui mettre une note haute car je n'arrive pas à l'écouter jusqu'au bout.





TAÏ PHONG
RETURN OF THE SAMURAI


Le 05 Mai 2021 par BAKER

Pourtant gros amateur de ce groupe, avant et après Jean-Jacques, je découvre aujourd'hui cet album et je confirme qu'il est EXCELLENT, bien supérieur à Sun qui pourtant avait un joli capital sympathie. One Day et surtout Davy sont des monstres (même si Davy me rappelle une chanson de Sun, à moins que je confonde)

C'est pop, soigné, super mélodique et accrocheur dès la première écoute.

Un petit coucou à Jean-Philippe Dupont, c'était bien la première et dernière fois que je déjeunais (...me baffrais, plutôt) et tapais la discute sympa avec un musicien dont je n'avais pas entendu l'oeuvre avant :)





The SOFT MACHINE
THIRD


Le 05 Mai 2021 par MR. DE LA DABBIèRE


Un disque de jazz oui, un disque de rock certainement. Un disque ambitieux, sûrement, un disque riche, je veux bien vous croire. Influent et important sans doute. Alors pourquoi le seul bon morceau est à la fin ? Pourquoi le chant de Wyatt ? Pourquoi cette prod infâme ? Pourquoi ce son d'orgue ? Pourquoi ces impros plates et interminables ? Pourquoi tout y est il si médiocre ? Pourquoi s'y ennuie t-on autant ?





Tom JONES
TOM JONES & JOOLS HOLLAND


Le 05 Mai 2021 par QUELQUEDEUX


Rho, quel album fantastique, et qui redonne un sacré coup de jeune à de grands classiques ! La collaboration la plus réussie de Jools Holland et son big band en ce qui me concerne.





NOIR DéSIR
DES VISAGES DES FIGURES


Le 04 Mai 2021 par CLANSMAN57


Très moyen à mon sens. Seuls quelques titres surnagent, dont "Le vent nous portera" qui est sans doute mon préféré du groupe.
"A L'envers à l'endroit" me plait beaucoup également, ainsi que le très court "Des armes".
L'orchestration sur le morceau-titre ne me convient pas totalement, je suis partagé entre le pas mal et le "erf?" lorsqu'elle intervient.
A la rigueur, je sauve encore "Lost" et "L'enfant roi".

Pas ma tasse de thé.






JAMES BOND
AU SERVICE SECRET DE SA MAJESTE (JOHN BARRY)


Le 03 Mai 2021 par SOUL MAN

Un film sous estimé avec une bonne BO.
Par contre, je crois que notre Bond australien faisait de la pub pour 1 dentifrice et pas pour 1 barre chocolatée.





The SWEET INSPIRATIONS
THE SWEET INSPIRATIONS


Le 03 Mai 2021 par SOUL MAN

Je ne connaissais que de nom comme choristes.
C'est excellent!
Ce chroniqueur a le don de faire découvrir des raretés.





DEPECHE MODE
LIVE 101


Le 03 Mai 2021 par OUAM

C'est en 1987 que j'ai découvert Depeche Mode, via les vidéos N&B d'Anton Corbijn qui passaient au Top 50. Deux ans plus tard, un ami m'a prêté ce "101". Ce fut le déclic. Même si certains albums des 80's sonnent définitivement datés et même si les deux dernières décennies n'ont pas vu un album véritablement se détacher du lot (ce n'est qu'un ressenti et je ne vais pas rentrer dans le jeu des comparaisons), impossible de ne pas revenir tôt ou tard sur ce groupe phare de l'electro-pop, qui a influencé bon nombre d'autres grands artistes dans divers courants musicaux. Preuve que DM ne se résume pas à les enfermer dans la cuisine avec un synthé à une touche.

"One O One" n'est pas juste l'aboutissement d'une longue tournée mondiale (soit 101 concerts) mais c'est aussi une manière de tourner la page sur cette décennie. Il y a comme une similitude avec "Rattle & Hum" de U2. Même époque, même besoin de conquérir les USA et d'en finir avec les 80's. Pour anecdote, Bono et Gahan se sont croisés après le concert. U2 enregistrait des titres de "Rattle & Hum" à côté du Rose Bowl. Rares sont les enregistrement lives arrivant à retranscrire aussi fidèlement une telle communion entre des artistes et leur public. "101" en fait clairement partie. Avec un Gahan déchainé (surtout bien shooté) et sensuel pour attiser la foule, tubes et classiques s'enchainent dans une ambiance addictive. La touche finale, "Everything Counts", me donne la chaire de poule à chaque fois. 70000 personnes chantant à l'unisson le refrain, c'est puissant, marquant.

La nostalgie joue aussi : posters, pin's, 45t/33t, perfecto, coupes mulet, brosse et choucroute, fringues fluos, etc. En cela, le road-movie retraçant leur épopée au travers des USA est idéale pour finir de s'y replonger. Même si, il faut dire, l'intérêt reste très limité concernant les fans neuneus accompagnant le groupe et une réalisation qui pique les yeux.

"101" est tout simplement un album culte de la pop.







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