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AYA NAKAMURA
NAKAMURA


Le 17 Février 2019 par RICHARD

Quelle abnégation quand même BAKER !
Je vais réécouter "Djadja" en sirotant du TANG et en mâchonnant du Bubble Gum Léo pour vraiment être certain d'avoir capté "le concept" (cf "La dot") de cette galette hors-norme.





AYA NAKAMURA
NAKAMURA


Le 15 Février 2019 par CLANSMAN57


Enfin une artiste, une vraie, qui révolutionne la langue française à travers sa musique.
Elle est trop belle, de plus, ses histoires sont d'une telle profondeur... impossible de ne pas s'y retrouver, c'est tellement la vraie vie des filles de nos jours.
En d'autres termes, elle n'a pas peur de balancer les choses telles qu'elles sont: good point!
Depuis que j'ai entendu "Djadja", "La dot", "Sucette" et "Mes copines" (meilleur refrain 2018, sans conteste), ma vie a changé.






ANTIMATTER
BLACK MARKET ENLIGHTENMENT


Le 14 Février 2019 par HEART OF STEELE


Merci à Baker pour faire connaitre un groupe d'une telle qualité d'écriture. Cet album est encore meilleur que Fear of a Unique Identity, ne connaissant pas Judas Table. Si je devais trouver un seul point faible ce serait le rythme un peu rébarbatif sur le dernier titre sinon on frise la perfection...ou la dépression. Mais avec un plaisir qui ne s'amenuisera pas sur le long terme. A découvrir sur le bandcamp du groupe pour l'acheter ensuite!





YES
TALK


Le 14 Février 2019 par LEO


J'avoue avoir complètement décroché de YES (et ses dérivés) au début des années 90, les décevants Big Generator, ABWH et Union ne m'ayant point convaincu, je n'étais pas enclin à me pencher sur le cas Talk à l'époque de sa sortie, d'autant que Trevor Rabin officie aux manettes de ce quatorzième album studio (quinze, si l'on prend en compte celui d'ABWH) et que mis à part l'excellent 90215, je n'ai jamais été très attiré par le style pratiqué par le guitariste.
Ce n'est que tout récemment que j'ai enfin jeté une oreille sur cet album, qui à vrai dire ne me surprend nullement. il est bien dans la lignée d'un Big Generator ou certains morceaux d'Union. Bref, on reconnait bien la patte habituelle de Trevor Rabin, grosses guitares en avant et batterie pachydermique hyper rigide et peu subtile. c'est en tout cas ce que me fait ressentir cette mise en son qui privilégie la rythmique et les guitares par rapport aux claviers. lorsque l'on distingue ces derniers, j'ai le sentiment que ce sont plutôt les parties de synthés de Trevor Rabin que l'orgue ou le piano de Tony Kaye, dont la contribution est réduite à son stricte minimum (il n'est d'ailleurs crédité sur aucun titre).
Les compos sont inutilement longues vu qu'il ne se passe pas grand chose et que les rebondissements ne sont pas légions.
Je retiens avant tout "The Calling", de loin le morceau le plus accrocheur du lot avec les choeurs d'Anderson, Rabin et Squire à l'unisson. celui-ci ouvre tout logiquement l'album.
"I Am Waiting" est ronflant et prévisible, tout comme "Real Love".
Le plus énergique "State Of Play" est très commun mais il apparaît comme une bouffée d'air frais après les deux titres précédents.
"Walls" est mièvre et "Where Will You Be" monotone et soporifique.
L'album se referme sur le très long "Endless Dream", un soit-disant epic de plus de quinze minutes mais dont les trois parties n'ont pas grand chose en commun, si ce n'est d'avoir été accolées pour donner l'illusion d'une grande suite. la compo en elle même est très peu intéressante, si ce n'est sa première partie instrumentale en ouverture.
Voilà, pour moi Talk ne se distingue pas par rapport aux autres albums de YES parus entre 87 et 91. il date de 1994 mais il aurait pu aussi bien sortir au beau milieu ou à la fin des années 80 que celà n'aurait rien changé à cette prod très datée et ces morceaux bien quelconques.
Un petit 2/5 uniquement pour "The Calling" et "State Of Play" à la rigueur.





FINE YOUNG CANNIBALS
THE RAW AND THE COOKED


Le 14 Février 2019 par NONO


@CLAISMANS57 :
F.Y.C : un excellent groupe, trop souvent réduit à "She drives me crazy" à mon avis ! Et l'ironie du sort c'est que cette chanson (que j'aime moyennement) est à la fois leur plus connue, mais aussi probablement leur moins représentative ! Ce titre sonnes très "séquencé" (gadgets électroniques, boîte à rythmes,...) alors que le son habituel du groupe est bien plus "live", à la manière du titre "good thing" par exemple, où l'on sent qu'il y a un vrai groupe derrière !
L'album est génial sans être totalement parfait.





The SUGARCUBES
LIFE IS TOO GOOD


Le 14 Février 2019 par RICHARD


Heureux de trouver sur Forces Parallèles les Islandais.
J'aime toujours autant ce côté foutraque qui mélange pop, new wave, post-punk effluves jazzy. Björk est déjà au top et c'est pour moi un disque d'une grande fraicheur !





FINE YOUNG CANNIBALS
THE RAW AND THE COOKED


Le 14 Février 2019 par CLANSMAN57


Jusqu'à aujourd'hui, ce groupe s'appelait Five Young Cannibals dans mon esprit.
Ils ne sont que trois pourtant, je vais tâcher de ne plus me tromper à l'avenir.

"She drives me crazy" est un gros tube, le son de la caisse claire me plaisait beaucoup, très percutant.
Effectivement, elle est inscrite dans les mémoires de beaucoup de monde, idem pour "Good thing".
"I'm not satisfied" m'était complètement sortie de la tête, mais je la trouve assez sympa toutefois.

Je piquais parfois la k7 à ma soeur lorsque j'étais gamin, ça me plait encore aujourd'hui, c'est pas prise de tête.
Les 35 minutes passent sans accroc.









INXS
KICK


Le 14 Février 2019 par NONO


"New sensation" est vraiment sensationnelle.
Le reste... bof.
Dommage que cet album tienne principalement par ses singles car le reste n'est pas vraiment à la hauteur je trouve.





FINE YOUNG CANNIBALS
THE FINEST


Le 14 Février 2019 par LE KINGBEE

@ Richard

Il n'y avait pas de provocation délibérée de ma part. Quant à la décennie suivante, je confirme qu'elle sera pire, mais ceci n'est que mon humble avis. Je ne parlerai pas du nouveau millenaire ça risquerait d'être grossier :-))

Bien à toi





FINE YOUNG CANNIBALS
THE FINEST


Le 13 Février 2019 par RICHARD

Les Fine Young Cannibals, ça reste pour moi le riff imbattable de "Johnny Come Home " et la rotation ultra lourde de "She Drives Me Crazy" durant l'été 1989 et accessoirement le début d'un épisode de l'Inspecteur Columbo avec ce dernier titre.
Puis je ne sais si c'est une petite provocation du KINGBEE mais dire que ce groupe était "une alternative agréable à la médiocrité estampillée eighties qui allait envahir notre univers. On ne voudrait pas casser l’ambiance, mais on peut se demander si la décennie suivante ne sera pas pire " quand même :)...sans faire un inventaire à la PREVERT, durant ces deux décennies, y'a de quoi trouver son bonheur musical.





Basil POLEDOURIS
CONAN LE BARBARE


Le 13 Février 2019 par MR TINKERTRAIN


Je n'irais pas par 4 chemins: pour moi il s'agit de la plus grande BO de tous les temps. Et pourtant j'adore Moriconne, Hisaichi, J.Williams... Cette Bo est certainement celle qui me confère le "voyage" le plus immédiat, en Cimmérie, mais aussi dans mes souvenirs adolescents et elle suscite chez moi des émotions, une magie, que je n'arrive à retrouver ni chez Blind Guardian, ni chez Rhapsody, ni chez un autre compositeur... Un must





James BLUNT
BACK TO BEDLAM


Le 13 Février 2019 par METALPROG84


Album sympa mais quand même très formaté (et c'est vrai que ça fait parfois penser à Coldplay). La voix un peu nasillarde et monocorde peut en effet agacer. Cela dit, ce n'est pas mauvais musicalement, même si on repassera pour l'originalité.





The SUGARHILL GANG
SUGARHILL GANG


Le 13 Février 2019 par ZZZZAP !


mouais pas terrible le reste de l'album, dommage. par contre dans le même style meme époque meme label, The Message de Grandmaster Flash est bien meilleur quoiqu'un peu trop court.





ANTIMATTER
BLACK MARKET ENLIGHTENMENT


Le 13 Février 2019 par MAGNU

Merci pour cette belle découverte, je noterai plus tard mais je suis séduit à la première écoute





PINK FLOYD
THE WALL


Le 13 Février 2019 par NONO


Ouh là là... Je sens que je me mets à aimer Pink Floyd !... (c'est grave docteur ?) mais ça m'en a pris des années ! Après avoir toujours trouvé ce groupe horriblement pompeux, prétentieux, moralisateur... bref... chiant, je me suis dit, dans ma p'tite tête : "Si autant de monde aime ce groupe, ils doivent quand même avoir fait de bonnes choses ! Les gens ne sont quand même pas animés à ce point d'un mauvais goût universel !"
Je ne connais pas l'album The Wall en entier. Si la chanson-titre me gonfle à en chier des spaghettis, j'avoue avoir été vraiment conquis par "COMFORTABLY NUMB". Quelle chanson splendide ! Je ne la connaissais pas jusqu'à il y a un mois. Elle me disait vaguement quelque chose (ayant surement été un énorme succès en 1980), mais pas plus que ça. Quelle claque !
J'ai par ailleurs écouté en entier l'album "Meddle" que j'adore beaucoup vraiment énormément, ainsi que "The division bell" que j'aime bien, j'ignore pourquoi cet album fut tant décrié, il est vraiment bien !
Par contre, l'ironie est que je n'aime pas trop "Dark side of the moon" rempli à mon avis par bien davantage de bruitages que de morceaux aboutis. Et peut-être que c'est là le noeud du problème : Pink Floyd est trop souvent réduit à cet album, qui n'est pas forcément le meilleur, et donne probablement une vision limitée du groupe !
Je mets 5/5 pour "Comfortably numb", pas pour l'album que je ne connais pas.





YES
UNION


Le 13 Février 2019 par LEO


Union, voilà un disque qui porte bien mal son nom car on ne peut plus éloigné de la réalité lorsque cet album fut conçu !
Si Union il y a, celle-ci est bien toute virtuelle.
Pour restituer le contexte, fin 1989 ANDERSON BRUFORD WAKEMAN HOWE sortent de la tournée de promo de leur premier album et les musiciens s'attellent donc à l'élaboration d'un second 33t avec le producteur Jonathan Elias, mais courant 1990 lorsque Arista entend les enregistrements, le label (plus Elias qui se range de leur côté) refuse de sortir le futur album sous cette forme et conseille au groupe de collaborer avec des auteurs/compositeurs extérieurs à la formation en vue d'avoir quelques titres accrocheurs pouvant faire des hits ! (pas franchement le genre de la maison, mais n'ayant pas vraiment le choix, les quatre obtempèrent à contrecoeur).
De leur côté, le YES 'officiel' composé de Chris Squire, Alan White, Trevor Rabin et Tony Kaye (amputé de Jon Anderson bien évidemment) essayent tant bien que mal de donner un successeur à Big Generator (qui avait lui-même eu beaucoup de mal à succéder à 90125).
En quête d'un nouveau chanteur, ils vont porter leur choix dans un premier temps sur Roger Hodgson (ex-Supertramp), puis Steve Walsh (kansas) et enfin Billy Sherwood (du groupe World Trade). Des trois, c'est ce dernier qui va faire l'affaire et tout ce petit monde commence à travailler sur des compos avec leur ancien producteur Eddie Offord, mais c'est à ce moment là que réapparait Jon Anderson en quête de collaborateur. celui-ci explique la situation à Trevor Rabin et ce dernier lui envoie quelques titres qui plaisent aussitôt à la maison de disque et Jonathan Elias (qui s'est lui-même bien immiscé dans les arrangements et dans les crédits des titres prévus pour l'album d'ABWH).
Résultat des courses: Anderson enregistrera son chant principal à la fois pour ABWH et pour le YES 'officiel' (excepté sur "Lift Me Up" chanté par Rabin mais avec Anderson dans les choeurs ) et Squire posera ses choeurs sur quelques titres des uns et des autres.
Précision de taille, les deux formations n'ont à aucun moment joué ensemble et ce, sur aucune des compositions de l'album qui n'est juste qu'un assemblage des sessions d'ABWH et du YES 'officiel' de l'autre. le tout, sous le nom de YES (c'est plus vendeur pardi !). pour une union, on pourra repasser !
Ajouter à celà, une ribambelle de musiciens additionnels (une vingtaine) qui viennent remplacer la plupart des membres des deux groupes. Squire n'apparaissant que sur peu de titres à la basse, celui-ci sera remplacé sur la majorité des morceaux par Tony Levin ou Billy Sherwood (qui s'occupe également de quelques parties de guitare et de claviers plus des choeurs). Quand aux contributions de Rick Wakeman et Steve Howe, la plupart de leurs parties n'ont pas été retenues par Jonathan Elias ! (Jim Crichton de Saga faisant office de bouche-trou parmi la dizaine de claviéristes conviés aux séances et un musicien de studio du nom de Jimmy Haun supplantant Howe lorsque Elias jugera la chose nécéssaire !).
Inutile de dire qu'il y eut une fois de plus, de nombreuses tensions lors des enregistrements et que la plupart des membres de YES détestent cet album à juste titre, en tout premier lieu Bill Bruford et Rick Wakeman (ce dernier sans se départir de son humour habituel, qualifiera Union d'Onion car ça le faisait pleurer rien que d'y penser !!!).
Bref, cet album est un un vrai bazar surréaliste qui tient plus d'un projet casse-gueule de producteur mégalo que d'un travail de groupe mais curieusement il arrive à rester à peu près cohérent par je ne sais quel miracle !!! pour autant, Union n'est pas un bon album de YES mais il est toujours plus écoutable que l'affreux Big Generator ou le peu palpitant ABWH. donc bien que sujet à caution (dont sa longueur, avec pas moins de quinze titres en CD), l'album révèle une petite poignée de morceaux qui se défendent.
"I Would Have Waited Forever" avec un riff bien identifiable de Steve Howe fait partie de ceux là, tout comme "Shock To The System" qui fait la jonction entre le YES old school et celui plus contemporain de 90125.
"Masquerade" (l'exercice obligé de Steve Howe en solo et dont ces séances en studio ont dû lui inspirer ce titre ironique) est bien plus anecdotique, quoique pas désagréable.
J'aime bien l'intro et le final de "Lift Me Up", hélas le morceau en lui-même n'est vraiment pas terrible, tout comme "Without Hope You Cannot Start The Day" qui est tout juste passable.
Par contre je n'aime pas du tout "Saving My Heart" ni "Miracle Of Life" tout deux signées Trevor Rabin.
"Silent Talking" avec son p'tit côté Rush est plutôt sympa malgré son aspect un peu décousu.
"The More We Live – Let Go" se distingue également par son ambiance plus sombre assez réussie et très proche de ce que faisait Billy Sherwood avec son groupe World Trade (et pour cause, Sherwood est le co-auteur de ce morceau avec Squire).
Le fadasse "Angkor Wat" sur lequel Anderson divague durant plus de cinq minutes est à oublier.
"Dangerous (Look In The Light Of What You're Searching For)" est plus particulier. comme un genre de croisement entre le YES de 90125/Big Generator et Michael Jackson période "Bad" !!! une curiosité en somme.
Sur le sympathique "Holding On" on entend de nouveau distinctement la patte de Steve Howe, mais je soupçonne fortement Jonathan Elias d'avoir fait un Gloubi-boulga lors des arrangements et du mix qui donnent un rendu un peu spécial au final (celui-ci est d'ailleurs crédité aux côtés d'Anderson et Howe).
"Evensong" (qui dure moins d'une minute et qui est signé Tony Levin/Bill Bruford) n'est juste qu'un interlude sans intérêt au stick Chapman et percussions.
"Take The Water To The Mountain" d'Anderson est soporifique.
Le final "Give And Take" faussement énergique et vaguement guilleret, est un peu niais sur les bords, mais il passe de justesse et quoiqu'il sen soit, il s'agissait juste d'un bonus sur la version CD à l'origine.
Faisant suite à cet album, les huit musiciens embarquèrent pour une tournée de près d'un an en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. j'ai pu voir YES lors de ce 'Union tour' et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'ambiance et l'entente entre les huit musiciens fut un peu particulière ! Howe faisant visiblement la moue à l'idée de partager la scène avec Trevor Rabin (mais vu que Steve Howe fait la tronche habituellement, on ne peut rien en déduire de précis!). Bruford, un vague sourire narquois au bord des lèvres qui était là sans être tout à fait présent pour autant. Wakeman faisant le pitre la majeure partie du concert comme pour détendre l'atmosphère quelque peu tendue (ce dernier précisera que bien que détestant Union, cette tournée fut l'un de ses meilleurs souvenir dans sa carrière).
Un petit 2,5 arrondi à 3.







YES
90125


Le 11 Février 2019 par SGT JAKKU


@NONO Je suis d'accord. Quand une production phonographique, de n'importe quelle période, a été innovante, inventive, puissante, inspirante, sa valeur reste intacte des années après. Je pense à Thriller, au premier album d'Elvis, So de Peter Gabriel, Crisis de Oldfield, Sergent Pepper, Crime Of The Century, Synchronicity, Aja, et j'en passe...Tous des classiques qu'on aime ou pas, mais ce sont bien des classiques du Rock et 90125 est de cette trempe.

Je partage aussi cette même fascination pour les choeurs de Yes, d'ailleurs très inspirés des Beach Boys (exemple : le passage centrale de "Starship Trooper" qui me fout à chaque la chair de poule, ou l'intro magnifique de "Rythm Of Love" dans Big Generator).





The TRAVELING WILBURYS
VOLUME 1


Le 11 Février 2019 par METALPROG84


Sympa et facile à écouter, mais çà n'est pas très original (c'est sûr, c'est pas prise de tête!). Un peu déçu de cet album par rapport à ces 5 noms pour le moins prestigieux , même si le niveau reste correct.





YES
90125


Le 11 Février 2019 par NONO


@Sgt Jakku : le caractère totalement unique et envoûtant de cet album tient beaucoup pour les arrangements et la production je pense. Cet album est TOTALEMENT écoutable aujourd'hui, par magie il est à la fois typé "80s" mais possède aussi un son "universel", qui passe parfaitement à travers les âges. J'ai énormément de plaisir à l'écouter, pour les compos mais aussi pour son atmosphère assez planante mine de rien.
Ce disque possède une production "confortable à l'oreille" on pourrait dire, et j'aime particulièrement le travail sur les voix (choeurs, etc), donnant un aspect grandiose et atmosphérique. Pour cet aspect précis, "It can happen" et "Leave it" sont des pièces de choix !
Et dois-je vous avouer quelque chose de honteux ? Figurez-vous que le sacro-saint tube "Owner of a lonely heart", c'est une des très rares chansons de l'album que je trouve un peu en-deçà, assez insipide avec des bruits synthétiques impromptus assez désagréables.
Il a fallu que j'écoute tout l'album pour finalement craquer, car ce n'est pas dit que j'aurais acheté cet album sans l'avoir écouté, uniquement pour "Owner...." qui ne m'a jamais transcendé...
Ironie quand tu nous tient...





Alain SOUCHON
ULTRA MODERNE SOLITUDE


Le 11 Février 2019 par RICHARD


De fait, sans doute l'un des meilleurs albums de Souchon. Aucun déchet, dix titres de très haute tenue avec deux must intemporels pour moi : Les Cadors et Dandy.







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