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The RUNAWAYS
THE RUNAWAYS


Le 12 Juillet 2015 par FRED


Ca fait trop produit pas net, ce truc.
Genre libidineux savonnette... pur produit de "l'industrie musicale", comme dit la fiche Wiki de Kim Fowley pour définir sa profession.
De la pseudo rébellion-paquet de lessive disponible dans les supermarchés US des 70's, entre le rayon légume, celui des revues de cul et les poupées miniatures KISS.
Musicalement, c'est plutôt faible, même si on sent que le produit a été travaillé. Mais franchement, exhiber une ado en guépière sur scène, c'est de la pédophilie, limite, non ?




Par Forces Parallèles

Hello, Fred,
Ton commentaire appelle quelques réactions de ma part :

- "Produit pas net"... Le seul pas net c'est Kim Fowley, qui est un personnage très ambivalent. Libidineux ? Probablement, mais les filles n'y sont pour rien.

- "Pseudo rebellion"... Je ne suis pas du tout d'accord. Joan prouve plus de 30 ans plus tard qu'elle reste la reine du Rock. Que dire d'AC/DC ou autres cadors aujourd'hui alors ? Joan reste sans compromission ET qualitative ! Angus et Brian sont de gentils papys fleuristes en comparaison, et je n'évoque pas "Rock or burst" !

- "Musicalement, c'est faible"... bah les filles ont 16/17 ans et jouent avec leurs tripes, elles s'amélioreront avec le temps, et les AC/DC au même age n'étaient pas meilleurs... Ce qui n'a rien d'étonnant.

- "Pédophilie"... Tu exagères un brin. La tenue que tu évoques concerne la tournée au japon, endroit très spécial à ce niveau précis. Joan est gay/bi. Elle et Cherie partageaient une relation à l'époque, ne jouons pas les vierges effarouchées, a moins de vouloir imposer la majorité pour débuter dans le sexe. Parler de pédophilie quand on évoque Cherie Curry en chanteuse des RUNAWAYS... Tout est relatif, mais son problème de drogue était autrement plus grave !.

Je remarque que personne ne fait jamais de réflexion sur les tenues ou les looks des mecs à cet égard... Cherie, magré les excès d'alors, est aujourd'hui une très jolie femme de 55 ans.
Cela dit, tout ceci est bien loin et les opinions peuvent être divergentes, pas de souci !
Bien à toi et sans rancune aucune !





The RUNAWAYS
THE RUNAWAYS


Le 12 Juillet 2015 par LONG JOHN SILVER


Clairement un excellent album en dépit du marionnettiste psychotique Kim Fowley. Les filles envoient du bon rock'n'roll sans concessions, leurs personnalités émergent, les titres sont bons, que demander de plus ? Des sacrés gonzesses en tout cas ! M'étonne pas qu'Erwin soit parti en mission.





Gabriel FAURE
REQUIEM


Le 12 Juillet 2015 par FRED


C'est beau, c'est beau, c'est beau !!!





NIAGARA
QUEL ENFER


Le 11 Juillet 2015 par NONO

Tout-à-fait d'accord Erwin, comme tu le dis dans ton dernier paragraphe, Muriel Moreno est une femme extrêmement brillante et cultivée, et on souvent l'impression d'un décalage entre cette réalité, et les chansons du groupe, souvent un peu superficielles. Remarquez il n'est pas impossible que Niagara soit un groupe où les membres jouent un rôle, pas forcément en adéquation avec leur nature réelle. Notamment concernant Muriel. C'est aussi une manière de ne pas trop se dévoiler.





JETHRO TULL
A


Le 10 Juillet 2015 par DARKPOET

Complètement d'accord ! Cet album est certainement le plus technique du Tull.

Il n'y a rien à jeter sur cet opus. Finalement pas si éloigné d'un Aqualung ou Songs from the Wood dans la construction. L'artwork, certes, peut désarçonner de prime abord mais on est dans la formule que maitrise le mieux JT. Le suivant sera radicalement opposé car plus plombé et atmosphérique.

Le meilleur du Tull, à mon sens avec "Songs from the wood", "Aqualung", Thick as…





NIAGARA
ENCORE UN DERNIER BAISER


Le 10 Juillet 2015 par IEN


Super album, un peu kitch mais juste ce qu'il faut.
Les paroles sont coquines et la guitare nerveuse, j'adore :-)





ELECTRIC LIGHT ORCHESTRA
A NEW WORLD RECORD


Le 09 Juillet 2015 par DE PASSAGE


Belle chronique, magnifique album... Oui, je le ressens comme cela aussi : "pop, rock, théâtral et... orchestral". Je possède le CD avec des titres bonus (5) et l'ensemble se termine de belle manière avec "Telephone Line" en instrumental. En fait il n'y a que "Surrender" comme chanson inédite et elle est vraiment super !





VANGELIS
BEAUBOURG


Le 08 Juillet 2015 par THIERRY RAOULT


Je n'arrive pas à l'écouter. C'est du Pierre Boulez ? Je reconnais qu'il y a de la recherche, de l'expérimentation. Je laisse cela aux spécialistes. Je mets 1.





YES
RELAYER


Le 05 Juillet 2015 par LEO


En préambule, je rejoins THIERRY sur le fait que la majorité de la presse musicale spécialisée (en France comme à l'étranger), se soit souvent bien foutu de YES et de son public.
Mais qu'importe l'avis et le soutient des médias après tout, puisque le groupe a toujours pu sortir des albums bon an-mal an, et qu'il a rempli les salles de concert quasiment partout où il se produisait.
Pour ce qui est de Relayer, c'est un de mes albums favoris de YES.
Après les mythiques, mais pour moi bien soporifiques Close To The Edge et Tales From Topographic Oceans, ce cru 1974 voit la formation revenir à une musique bien plus urgente comme au temps de Fragile et The Yes Album.
Mieux encore, les musiciens n'ont jamais joué de façon si instinctive et animale!
Pourtant, au début de "The Gates Of Delirium" on se dit que rien n'a vraiment changé chez YES (l'intro aurait pu se trouver en ouverture des 2 albums précédents), mais le bouleversement musical n'apparaît qu'au bout des 3 premières minutes pour aboutir sur des passages de pure folie au fur et à mesure de la compo.
La basse vrombissante de Chris Squire tourbillonne en tout sens, sur certains passages Jon Anderson n'a jamais chanté de manière aussi fougueuse, le son et le jeu de guitare de Steve Howe est rugueux et brut et Alan White se lache comme un beau diable (tout en restant très carré, à l'inverse d'un Bill Bruford qui aurait ajouté encore plus de folie mais peut-être moins de cohérence à l'ensemble).
Quand au nouveau venu Patrick Moraz, ses claviers aériens donnent des couleurs jazz-rock-fusion à la musique de YES et bien moins d'emphase comme celà avait pu être le cas avec Rick Wakeman.
La conclusion de "The Gates Of Delirium" est de toute beauté et se termine de manière apaisée.
"Sound Chaser" est encore plus barré et marqué du sceau "jazz-rock-fusion" que le morceau précédent, mais ça fonctionne à merveille car tous les participans sont au diapason.
Après un tel déluge, la musique de YES ne sera désormais plus aussi innovante et délirante et la fin de l'album, "To Be Over" le confirme.
Certes, pour qui apprécie le genre, le morceau n'est pas mauvais en soi mais il ne me captive pas (comme la plupart des ballades chez ce groupe) et Jon Anderson retombe dans ses travers mielleux qui m'ont toujours horripilé. c'est Steve Howe qui pour moi tire son épingle du jeu sur ce titre avec ses belles parties de pedal steel et de guitare-sitar.
Dommage que Patrick Moraz n'ait pas participé à un autre album en studio avec YES. ça aurait pu être bien plus intéressant que le très moyen Going For The One avec le retour de Wakeman.
Une pensée pour le talentueux Chris Squire. R.I.P.





WEEZER
PINKERTON


Le 05 Juillet 2015 par BAAZBAAZ


Le grand disque de WEEZER. Pillé par la suite par tout un pan de la scène emo et par beaucoup de punks mélancoliques. Une musique dense, forte, aux émotions complexes. A écouter avec le précédent et le suivant pour bien saisir la trilogie parfaite d'un groupe qui, depuis, a sévèrement décliné.

Pochette parfaite.





YES
THE YES ALBUM


Le 05 Juillet 2015 par RED ONE

@ THIERRY :

À titre de comparaison, en 2012 ils avaient parlé de la mort de Jon Lord au journal de 20h sur France Télévisions. Ca se limitait toutefois à un petit billet à la fin du journal, néanmoins ils en avaient quand même parlé. Je soupçonne toutefois que c'était l'oeuvre d'un mec de la rédaction fan du Pourpre, qui avait suggéré de mettre cette news pour pouvoir exceptionnellement clore le journal par un extrait live de Deep Purple.

Néanmoins attention, pas de faux procès : bien qu'elle soit une perte inestimable, la mort de Chris Squire reste un événement essentiellement cantonné au monde des amateurs de musique. Et à ce titre, j'ai quand même lu pas mal d'hommages à son sujet sur de nombreux sites spécialisés, de la part de musiciens de divers milieux.
À l'inverse, la grosse médiatisation de la mort récente de Christopher Lee se comprend tout autant, car elle pouvait davantage toucher le grand public en raison de la longévité de sa carrière et de la grande célébrité de ses rôles.





PROPAGANDA
A SECRET WISH


Le 05 Juillet 2015 par NONO


Entièrement d'accord: ce disque est non seulement une réussite totale, mais il réussit en plus l'exploit de ne pas paraître dépassé (bien que sorti en 1985).
Les sons datent bien sûr de cette époque, mais les arrangements sont tellement riches et minutieux que cet album ne vieillit pas vraiment. Une exception en son genre !
Enfin, avec ce disque on est assuré que, contrairement à ce que beaucoup croient, "Propaganda" n'est pas le groupe de deux tubes (p:Machinery et Dr Mabuse), mais de deux albums entièrement réussis.
A noter, pour l'anecdote, que Claudia Brucken est aujourd'hui directrice du label "ZTT Records", tandis que Suzanne Freytag s'est d'abord reconvertie dans la joaillerie, puis dans la psychologie.





YES
THE YES ALBUM


Le 05 Juillet 2015 par THIERRY

Non, non, ne vous méprenez pas, vous n'êtes absolument pas visés par ma critique. Je sais que ce n'est pas votre rôle de poster des news. j'ai simplement choisi votre site pour lui rendre hommage et en ai profité pour dire deux mots sur la façon dont la presse informe les gens et la façon dont une certaine presse musicale "rock'n'folk" par exemple se permet de snober, railler, insulter un groupe comme YES. J'aurai voulu tout de même apprendre cette nouvelle le jour de son décès par un média généraliste français, pas 4 jours plus tard et pas sur un site canadien. Les artistes qui nous ont quitté cette année ont eu le droit à un petit mot au journal télévisé, même Framboisier. Vous comprendrez sans doute mon agacement envers la presse française censée nous informer. ( johnny Winter nous a quitté aussi : une année terrible)





The STROKES
IS THIS IT?


Le 04 Juillet 2015 par LE OLI'


Une bombe énorme cet album, aucune chanson n'est à détruire (c'est assez rare, même s'il n'y a que 11 morceaux). La courte durée de l'album est justement un de ses points forts. Les mélodies à la guitares se croisent et se recroisent dans un rythme agressif et brulant, juste génial.
Avec une intro d'album calme et subtile, "Modern Age", "Soma", "Last Nite" et "New York City Cops" sont particulièrement efficaces...
5/5





Jean-jacques GOLDMAN
EN PASSANT


Le 04 Juillet 2015 par MARCO STIVELL

Merci Mr Larsen et Jeff Kanji (et Gegers !) pour vos commentaires détaillés et chaleureux.
On ne dira jamais assez de bien de ce disque, et ça change vraiment de l'anti-Goldmanisme primaire, "variétoche" bla bla... :)
Pour le dernier, ce sera encore une autre histoire.





YES
THE YES ALBUM


Le 04 Juillet 2015 par THIERRY


J'ai appris par hasard le décès de Chris Squire sur un site étranger. Membre fondateur du groupe, un bassiste hors-pair qui en a influencé plus d'un. Je réécoute en ce moment même cet excellent "the yes album" (mon préféré).

Ce qui me fout en rogne c'est qu'en France je n'ai rien vu, rien lu sur cette triste nouvelle dans les médias. Le membre essentiel d'un des pilier du rock progressif vient de disparaître et pas un mot. C'est hallucinant, les médias français sont vraiment en dessous de tout. Qu'on aime ou qu'on aime pas le rock progressif, qu'on adore ou qu'on déteste la musique de YES, la moindre des choses est d'informer les gens. Je suis certains que beaucoup d'amateurs de YES ne sont pas au courant. Pour finir je ne félicite pas la presse musicale hexagonale qui n'a eu de cesse de taper sur ce groupe malgré la sortie de disques emblématiques d'une époque, un énorme tube dans les 80, cette histoire du punk qui aurait sauvé le Rock, tout ça c'est des conneries pour faire vendre du papier. Ce qui ne veut pas dire que YES n'a pas le droit d'être critiqué bien au contraire, mais voilà je préfère penser à ce qui était génial chez eux surtout aujourd'hui.

YES est mort avec Chris Squire probablement.


Par Forces Parallèles

On aura bien saisi que ta critique à l'égard des médias ne nous visait pas particulièrement. Mais nous nous permettrons de repréciser tout de même, au cas où, que Forces Parallèles n'est pas un site de news musicales. Le décès de Chris Squire n'a donc pas plus fait l'objet d'un article que ceux de Framboisier, Andraé Crouch, Elena Obrastsova, Demis Roussos, Also Ciccolini, Andriy Kuzmenko, Percy Sledge, Richard Anthony, Christopher Lee, Patachou, Ben E. king, B.B. King, Ornette Coleman et James Horner.

En espérant que cette liste ne s'allonge pas trop d'ici la fin de l'année.





Nobuo UEMATSU
FINAL FANTASY PRAY


Le 03 Juillet 2015 par CHIPSTOUILLE

C'était bien la marche turque, et ma confusion est en réalité avec le premier mouvement de la même sonate... La fantaisie n°3 est sans rapport. Si ce n'est qu'elle se trouve sur le même disque...
Je vous épargne les détails, mais merci Apple !





GENESIS
THE LAMB LIES DOWN ON BROADWAY


Le 02 Juillet 2015 par KOTAVE


Genesis suit une trajectoire ascendante - progressive pourrait-on dire - depuis Nursery Cryme, et qui trouve ici sans aucun doute son aboutissement. Peu étonnant que ce soit donc aussi la d'une glorieuse époque, avec le départ de Peter Gabriel.

On est en présence du premier double-album de Genesis, un ambitieux disque dont le récit est sûrement aussi intéressante que la musique, sans prendre le pas sur elle, et qui se trouve aussi être porteur de nombreuses ruptures. Le thème est ici bien éloigné du folklore anglais, les sonorités participant à ce changement, comme dans le fameux Back in N.Y.C.

Le premier disque nous offre à la suite tout ce que le groupe fait de mieux, et s'amuse à accumuler les contrastes, en enchaînant le tendu Fly on a Windshield et le lourd Broadway melody of 1974, le léger Cuckoo Cocoon et l'angoissant In the cage, ou en intercalant avec une facilité incroyable le salace Counting out time entre le mélancolique Hairless Heart et le joyau pur qu'est Carpet Crawlers. Cette dernière chanson est en effet ce que Genesis a fait de mieux dans toute sa discographie, et dépasse allègrement en qualité Firth of fifth et The musical box réunis.

Le deuxième disque est, comme souvent dans ces cas-là, plus expérimental, en particulier dans The waiting room, rebutant dans un premier temps mais révélant bien vite tout le potentiel de son final. Anyway et the Lamia (inspiré d'un poème de Keats) sont aussi d'une beauté confondante, Tony Banks nous y offrant certains de ses plus beaux airs.
La dernière face est sûrement la plus difficile à digérer complètement, mais il faut que l'auditeur se souvienne qu'elle termine une heure et demie d'une longue traversée des enfers, de plus en plus inquiétante et étrange. Dans cette optique, elle joue son rôle parfaitement, à l'instar de l'interlude Ravine. Le tout se termine de manière surprenante par le mystérieux It., honnête dans son rôle conclusif.

Malgré quelques imperfections que sa longueur ne pouvait éviter, The Lamb Lies Down On Broadway reste un des plus albums les plus réussis et aboutis sur lesquels mon oreille a pu se pencher.





PINK FLOYD
ANIMALS


Le 02 Juillet 2015 par KOTAVE


La discographie de Pink Floyd relève majoritairement du divin, beaucoup en conviendront, mais la qualité irrégulière des chansons à l'intérieur même des albums me frustrera toujours. Meddle sans sa face A aurait été parfait, tout comme Wish you were here sans Have a cigar. Atom Heart Mother et the Dark Side of the Moon sont tous les deux d'une grande qualité et sans réels mauvais morceaux, mais le premier est encore un peu immature, tandis que le second semble trop lisse sous certains aspects.

Reste Animals. Certes, Dogs est moi époustouflant qu'Echoes, mais la guitare implacable et lancinante qui l'introduit a peu à envier à la première note de son rival. Ses solos rageurs sont autant de présents inestimables à la culture rock, et ne valent pourtant même pas celui qui achève la jouissive litanie de Pigs. Quant à Sheep, sa conclusion est tout aussi apocalyptique, et sa latence tout au long du morceau ne rend son arrivée finale que plus extatique. Les claviers de Wright ne sont pas en reste, en particulier dans l'introduction de ce morceau, ni les fûts de Mason, qu'il ne semble jamais aussi bien maîtriser que sur cet album.

L'ensemble revêt une ambiance très sombre, et semble en fait parachever l'évolution du Floyd depuis the Dark Side. Brain Damage avait fait la transition entre l'empathie de Breathe et l'élégie de Shine on, qui lui-même mena à un extraversion radicale et au déversement d'une critique acerbe de la société sur Animals. The Wall montrera un Waters beaucoup plus nombriliste, et ce ne sera hélas pas toujours pour le meilleur.
Mon album préféré, définitivement.





TRI YANN
LES INCONTOURNABLES 1970 - 2015


Le 01 Juillet 2015 par ERIC BASSET

Bonjour,

Je tenais à vous féliciter pour cette chronique d'une grande pertinence et qui montre une réelle connaissance de l'histoire du groupe.
Depuis 1993 je suis le "producteur" de Tri Yann, disons plus justement qu'avec Jean, c'est moi qui m'occupe de l'intendance, et de faire en sorte que les albums existent.
Comme vous le dites fort justement il ne s'agit pas d'une compil' concoctée par un stagiaire anonyme, et le choix des titres a réellement été cornélien et a suscité bien des débats entre nous...

A l'écoute , il me semble qu'on arrive à quelque chose de vraiment bien et qui rend bien compte de l'importance de Tri Yann dans le panorama musical français.
On a assez souvent privilégié des versions live, notamment issues des 2 enregistrements avec l'ONPL, tout d'abord parce qu'elles sont remarquables, mais aussi et surtout car Tri Yann est aussi et surtout un groupe de scène.
Effectivement nous aurions dû mettre "La Découverte ou l'ignorance", oubli, j'espère, pardonnable !

A bientôt et merci.


Par Forces Parallèles

Merci pour votre intervention Eric, et félicitations pour votre travail !
L'oubli de "La Découverte ou l'Ignorance" est, bien sûr, pardonné ;-)
Gegers







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