Le 02 Mai 2010 par COCOBOY

l'album favori de Queen de Brian May!

Le 02 Mai 2010 par TROLLOLOL

Je trouve cet album décevant, non pas parce qu'il n'y a pas de hit, à la limite on s'en tape, mais c'est soporifique cette musique.
C'est le défaut de certains artiste un peu créateur d'un genre, c'est de s'auto-parodier, ici c'est le bouquet.

Le 02 Mai 2010 par SAINT MATHIEU

Je suis en total désaccord avec cette chronique. Ce second album reste, à mon humble avis, une des meilleures choses proposées par la reine (si ce n'est la meilleure). Probalement, le disque le plus audacieux et le plus "progressif" de la formation. Ambitieux sans être prétentieux, inventif sans être pompeux, ce disque est un petit bijou mystérieux dans la discographie d'un groupe qui ne cessera, dans les années 1980, de céder à la transparence !

Le 01 Mai 2010 par ALBIRéO

Erwin a sans doute oublié qu'il faut servir du facile, du immédiat, au grand public. "Hungry heart" me semble un choix très judicieux dans ce regsitre. Malgré une qualité proche du sublime, je vois mal "Point black" être choisi comme single. Bien trop intimiste, trop gorgée d'émotion, pas assez (et de loin !) "in your face".

Ceci dit, la chronique est assez juste mais trop sévère. Le remplissage existe parce que certaines chansons n'atteignent pas les sommets du merveilleux des titres phares, mais n'en sont pas très éloignées et auraient pu être des titres phares d'artistes moins inspirés... Et du coup, presque tous les titres sont réussis !

Ce disque est un "must have", un de ces ovnis incontournables tant l'intensité de l'inspiration est constante.

Le 01 Mai 2010 par SAINT MATHIEU

Le meilleur album de Marvin Gaye à mes yeux (oui, il est supérieur à "What's Going On" selon moi, même si ce dernier est excellent également). Sensuel, érotique, tendre et dansant. Une musique soul corporelle et torride qui possède toutes les élégances! Belle chronique (à la grande habitude de celles d'Oncle Viande).

Le 30 Avril 2010 par ADIOS AMIGOS

C'est la nouvelle ligne directrice du site de chroniquer ce genre d'album ? Je ne suis pas du tout, mais alors pas du tout d'accord ! A part être la nièce de Marlène Jobert... Enfin bon, chacun est libre de ses choix et de ses goûts, mais ce sera sans moi ! Et n'allez pas me faire le coup de l'éclectisme, parce qu'à ce compte là, bientôt vous chroniquerez "Cascada" et "Indra". Et pourquoi pas ? Je considère qu'elles ont autant de légétimité qu'Elsa.

	Par Forces Parallèles Merci à l'avenir de ne poster que des avis un tant soit peu étayés sur l'album en question. Pour conspuer la ligne éditoriale et débattre, le forum est dispo à cette adresse: http://www.nightfall-forum.fr/ Merci d'avance.

Le 30 Avril 2010 par ALBIRéO

C'est le seul album de Styx que je connaisse. C'est marrant comme pour quelques groupes, le hasard a fait que je ne connais que leur meilleur. ^_^

J'ai écouté d'autres titres issus d'autres albums : c'était effectivement nettement moins intéressant.

Rien à jeter dans cet album. Ou presque rien. Je regrette le chant peu musical de la superbe "Miss America" ; James Young ne doit PAS se lancer dans une carrière de chanteur !! Je regrette aussi le demi gâchis de "Superstars" partie sur une très bonne idée de départ mais complètement sabordée par un traitement totalement convenu et répétitif. Dommage.

Les deux faces de l'album (je ne possède que le vinyle) sont très différentes. Première face plus pop avec 3 superbes pépites (le rock hard "The grand illusion", le sautillant "Fooling yourself" et l'exceptionnel "Come sail away" qui justifie à lui seul l'achat de l'album) et deuxième face plus expérimentale, plus personnelle qui s'avère plus pénétrante. Nous sommes dans un autre registre émotionnel moins immédiat mais non moins intense.

Une merveille !

Le 28 Avril 2010 par ATOMDOOM

Fan de Johnny WINTER (depuis trés très longtemps ...), cet album à la première écoute m'a surtout déçu au niveau de la production. Musicalement il tient bien la route même si c'est bien moins Blues que d'habitude. Puis à chaque écoute le "problème" son a fini par disparaître et j'avoue l'apprécier et prendre plaisir à chaque passage dans ma platine ... Il faut admettre qu'au niveau guitare c'est toujours du pur jus JW. J'espère que dans la "série Bootleg" (déjà 6 volumes) éditée avec son accord on aura un concert de cette période ... (note réelle : 3,5/5)

Le 27 Avril 2010 par SHIRIU

Effectivement c'est un bon album, voire très bon. Mais il est parfois trop commercial, non trop "positif" pour moi qui avait adoré 100th Windows. Mais le talent est là, et l'album est plus agréable à l'écoute que le fameux Third dont il est question à la fin. Massive Attack est bien en place et évolue.
note: 3,5/5

Le 27 Avril 2010 par VANNOORD

Je n'ai pas validé ma note ; quatre étoiles me paraissent très raisonnables eu égard à la qualité de l'oeuvre.

Le 25 Avril 2010 par JIMMY JAZZ

"cette rencontre entre plusieurs styles et cultures différentes remonte à plus loin dans l’histoire, ho que oui.":
ça remonte aux Beatles, non?

Le 24 Avril 2010 par VANNOORD

J'écoute plutôt du métal pur et dur, mais je ne dédaigne pas les autres productions quand elles sont de qualité. Inutile de vous dire que l'électro-pop n'est pas du tout mon genre. Je suis tombé par hasard sur ce disque que j'ai trouvé excellent, après avoir laissé tomber mes a priori sur le genre : belles mélodies, belles orchestrations, musique subtile et enjolante.
Je ne connais pas ces gars, mais leur talent est indéniable.
Bref, une belle réussite pour moi.

Le 24 Avril 2010 par JEFF KANJI

À noter qu'Hammer To Fall apparait dans l'autoradio d'un ancien GI qui surprend le combat entre Castaghire et le Kurgan. Queen a composé pour la BO du film en 1986 et les titres utilisés se retrouvent sur A Kind Of Magic. La musique d'autoradio du Kurgan (Gimme The Prize), la séquence déchirante du souvenir de Heather (Who Wants To Live Forever), le thème du film (Princes Of The Universe), et le slow années 80 du bar de Brenda (One Year Of Love), la ballade en voiture de Brenda par Kurgan (Don't Lose Your Head, ou plutôt la face B de single A Dozen Red Roses For My Darling) et le générique de fin (A Kind Of Magic) dans sa première mouture plus dark-wave et moins sautillante que l'originale.

Le 24 Avril 2010 par JEFF KANJI

Ce disque fait toujours autant débat pratiquement 30 ans après sa sortie. Il faut se remettre dans le contexte. Les amateurs de dance-floor ont du trouver ça un peu léger et un peu complexe et les amateurs de rock et de hard (il en restait encore qui finiront de se barrer avec ce disque) ont du rester sur leur faim car la guitare n'est pas la plus prolifique en matière de riffs. Elle est en revanche très présente en harmonies, solos, et cocottes funky. L'instrument qui tire son épingle du jeu est la basse de John Deacon, bien mise en avant et permettant d'apprécier son jeu digne des meilleurs bassistes motown.

Ce disque est tout de même admirablement bien troussé, et on sent que le groupe a voulu tenter d'élargir ses horizons, ce qu'il a plus ou moins fait tout au long de sa carrière (notamment sur A Night At The Opera et Jazz). Et l'album arbore une coloration funk qu'on ne lui connaissait pas, et c'est sûrement ça le plus déstabilisant. Et une fois de plus, pas de barrière stylistique infranchissable pour QUEEN. Freddie Mercury a une pêche et un groupe de taré, particulièrement sur Dancer, Back Chat et Put Out The Fire. Roger Taylor capable de jouer de la syncope et du binaire sautillant avec la même facilité (Staying Power, Action This Day). On a déjà parlé de John mais Brian en profite pour tester de nouveaux sons comme le solo de Dancer ou encore les furieux larsens et les harmoniques de Put Out The Fire. Des structures toujours aussi atypiques (Under Pressure en tête). Avez-vous noté que les synthés ne sonnent pas datés ? (notamment les cuivres), un exploit quand on sait ce que les années 80 nous ont fait subir à ce niveau.

Bref un album extrêmement abouti. Michael Jackson himself, grand admirateur avouera quelques années plus tard s'être énormément inspiré de HOT SPACE pour pondre son chef d'oeuvre sorti un an plus tard : THRILLER

Le 24 Avril 2010 par SHIRIU

Plus sombre, plus froid, mais aussi moins "organique" que Mezzanine, cet album est pourtant plus intéressant sur le long terme. Son prédecesseur avait la beauté, celui-ci a un charme vénèneux qui le rend plus attractif.

Le 23 Avril 2010 par ARCH

En total accord avec Uncle Meat, The Finale Mute creuse davantage la fosse dans laquelle Waters a décidé de s'enterrer. The Wall fut ( pour moi je dis bien ) un énorme coup marketing mais qui permis la naissance d'un bon album de rock finalement. En tout cas, lorsque le groupe, même en n'ayant plus rien à dire du coeur, avait toujours la tête et l'expérience pour pondre un album à hits.

Ici, le leadership de waters provoque le naufrage total d'un groupe en train de splitter lentement mais inexorablement, roger lui même pond ce disque comme une pierre tombale pour le groupe. S'en résulte un album dont le but fut d'atteindre une grande noirceur mais rongé par l'intention de son géniteur purement mercantile ( appelons un chat un chat ). Musiciens aphone, goût de plastique déjà présent sur le mur mais sans la moindre efficacité, même téléphonée... Il ne reste rien, effectivement.

Le floyd m'a tout de même ravi jusqu'à Animal, bien qu'en dents de scie. Etant trop jeune pour avoir connu leur glorieuse période en pleine effervescence, je fus moins touché par les cassures que le groupe a connu. Reste de grands disques ( saucerful, atom, animals, même meddle, et dark side et wish you à moindre échelle pour ma pomme ) pour se consoler.

Je te reprendrais juste sur un point : Les abbats sont les meilleurs morceaux du porc, quand on a la fine bouche.

Le 22 Avril 2010 par EL PACHENKA

"Laughing Stock" met beaucoup de temps à se faire apprécier. Il y a aussi la difficulté de trouver les bonnes conditions, le bon esprit pour écouter ce disque. Je le considère plus crépusculaire que "Spirit Of Eden".

Le 21 Avril 2010 par 142857

Grand fan de Queen, c'est toujours avec un plaisir non dissimulé que j'écoute les oeuvres solo respectives de Brian May et de Roger Taylor (John Deacon ayant disparu de la circulation). Dans le cas d'Electric Fire, le tout est résolument sympathique et la voix éraillée de Roger se rappelle à nos bons souvenirs. Cependant à vouloir trop en faire (production et quasiment tous les instruments), le tout devient extrêmement lisse et vite ennuyant. Même la batterie sent la boîte à rythme périmée c'est dire...On se prend vite à regretter l'époque bénie où Roger se concentrait uniquement sur son instrument fétiche et lançait quelques backing vocals bien sentis.

Le 19 Avril 2010 par H.M.

Je fais assez peu de commentaires, mais là, obligé.
Contrairement à l'auteur de la chronique, qui malgré tout reconnaît une certaine valeur à cet album, et surtout au premier commentaire, moi, j'adore MERCI que je place tout en haut de la pile des Magma, à égalité avec ATTHAK.
Globalement, je suis d'accord avec l'analyse ( influences soul, jazz, production léchée, etc ), simplement je mets cinq étoiles et pas trois. Mais je concluerais différemment car ce disque n'est pas vraiment "resté sans suite", comme indiqué dans la chronique. Et c'est là où je rejoins l'auteur du premier commentaire qui cite les albums solo de Vander. Plus que cela cependant, c'est Offering, le projet suivant de Vander qui commence avec MERCI. En revanche les reférences à Prince ou Wonder m'échappent un peu.
Je n'ai jamais compris pourquoi les fans de Magma avaient rejeté cet album. Ou peut-être que si finalement, car les soi-disant classiques ( Mekanik, Kohntarkosz, etc ) me laissaient plutôt froid.
Très grand disque à l'atmosphère particulière ( superbe production, d'une clarté inédite dans la disco du groupe ), le plus agréable pour moi à écouter, toujours avec ATTHAK.

Le 18 Avril 2010 par MONSTER

Ah oui mais non, là j'ai pas l'impression d'écouter un album de Magma mais un truc genre Prince meet Stevie Wonder, pas du tout ce que j'attend de ce groupe. La prod est certes très travaillé mais ça a pris un méchant coup de vieux quand même, ça sonne vachement 80's. On a plus l'impression d'écouter un album solo de Christian Vander (d'ailleurs pas étonnant que le nom de ce dernier soit écrit sous le nom du groupe sur la pochette) qu'un véritable album de Magma tant l'étrangeté et la folie qui habitait ce groupe a disparu, conservant à peine quelques minces attributs de la zeuhl passée.

Les influences black (funk/soul/gospel) étaient déjà bien présentes sur le précédent album mais ça restait du Magma, là on est passé à autre chose, un truc qui marque la fin de Magma pendant longtemps et le début d'Offering.

Bref ceux qui aiment les courants funk/gospel/soul et les sonorités très 80's s'y retrouveront, moi c'est pas du tout mon cas...