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Neil YOUNG
NEIL YOUNG ARCHIVES: LIVE AT MASSEY HALL 1971


Le 29 Octobre 2015 par RIKKIT


Ben, tout simplement la meilleure porte d'entrée au Loner selon moi. Incroyable.





MOBB DEEP
THE INFAMOUS


Le 29 Octobre 2015 par ADRI


Les instrus épurées, c'est pas vraiment mon truc. Pourtant j'avais pas détesté "Juvenile Hell" mais il faut reconnaître que c'est vraiment réservé aux amateurs du genre. Ici c'est pareil mais en plus long (66 minutes environ) ce qui fait que je me suis un peu fait chier sur la plupart des morceaux. Les "Trife Life", "Party Over", "Cradle Of the Grave" sont, pour moi, des morceaux trop mous, répétitifs et qui tournent en rond. Mais il faut reconnaître une chose chez Mobb Deep : ces mecs sont forts. Un sens du rythme certain et un flow ravageur, et c'est ce qui me permet d'apprécier des morceaux comme "Give Up the Goods", "Temperature's Rising" avec son chorus féminin, et bien évidemment le très bon "Shook Ones pt. II". D'autres titres sont sympas ("QU - Hectic", "Right Back At You" mais souffrent aussi de cette formule un peu répétitive qui est assez propre au genre finalement. Faudra quand même que j'écoute "Hell on Earth" pour me faire un avis définitif, mais "The Infamous" est un bon album de rap.





Dave STEWART
THE BLACKBIRD DIARIES


Le 28 Octobre 2015 par VIV


Tout à fait d'accord avec la conclusion de la chronique.
Connaissant Dave Stewart via Eurythmics, le fameux instrumental "lily was here" avec Candy Dulfer et le projet "superheavy", ça m'intriguait d'entendre ce que Dave avait à raconter en solo. La surprise fut bonne !
Du bon vieux rock blues très posé, pour ma part plutôt à réserver pour une écoute tranquillement posée dans son canap' que pour faire de la route, bien que le style s'y prêterait bien aussi.
Il a bien bossé le père Dave,le résultat est soft et à la fois bien travaillé et riche en arrangements, que demander de plus ?





PRIMAL SCREAM
SCREAMADELICA


Le 27 Octobre 2015 par PIERRE


Super chro, pour un album proche de la perfection ( en tout cas dans son style si particulier ). Tout à été dit, la tracklist parle pour elle, un enchaînement de tube sous acide ! De la musique de taré, faites par des tarés complètement cramés du ciboulot. De la musique comme on en fait plus beaucoups de nos jours....





PINK FLOYD
WISH YOU WERE HERE


Le 26 Octobre 2015 par DAVID WATERS


Je veux réagir à l'excellent commentaire de mon alter ego connaisseur . Je n'irais pas non plus jusqu'à dire que ce disque est un chef d'oeuvre (Machine est pour moi une réelle épreuve éprouvante, ca fait un titre zappé sur 5 quand même) ni meme que c'est leur dernier opus purement rock progressif, c'est une erreur à mn avis, mais je suis d'accord pour dire que pour le novice c'est une porte d'entrée hallucinante. Pour l'amateur c'est carrément jouissif!

PS: j'aurais rêvé d'un de leur concert...





Elvis PRESLEY
SPINOUT


Le 26 Octobre 2015 par SGT JAKKU


Spinout est une BO qui mérite qu'on aille jeter "une oreille" dessus et cela pour plusieurs raisons :
- les rocks, sans être inoubliables, sont assez réussis dans une période où ce genre est mal représenté dans la discographie du King, "Spinout", "I'll Be Back", "Down In The Alley" pour citer des exemples.

- les ballades et les slows pop valent vraiment le coup, "All That I Am" et "I'll Remember You" en tête.

- la présence de "Tomorrow Is A Long Time", excellente reprise de Dylan.

Bref, Spinout fait partie des soundtracks à posséder sans hésitation. Note réelle : 3,5.





Elvis PRESLEY
PARADISE HAWAIAN STYLE


Le 26 Octobre 2015 par SGT JAKKU


Paradise...est une BO assez médiocre sans être la bouse qu'Erwin a décrite. Heureusement, il y a quelques chansons à retenir : "Paradise...", la chanson titre, est une bonne composition au départ mais desservie par un Elvis qui en fait trop, "Datin" est sympathique, "This Is My Heaven" et "Sand Castles" sont agréables. Quant au reste...





PINK FLOYD
WISH YOU WERE HERE


Le 24 Octobre 2015 par ROGER GILMOUR


Pink Floyd a connu différentes périodes durant sa carrière. Celle avec Syd Barrett aux manettes (quand il le pouvait), qui débouche sur du psychédélique hors-norme. Les idées bordéliques foisonnent. Puis, après quelques albums mal produits, le feeling de Gilmour et la plume de Waters se mettent en place pour former un rock-blues progressif plus abordable pour le public. De "Meddle" à "Wish You Were Here", c'est l'essence même de Pink Floyd. Gilmour et Waters sont encore au diapason. A partir de "Animals", Waters commencera sa dictature. "The Wall" aura un immense succès, sublimé par le film de Alan Parker. Pour sa part, Gilmour a toujours trouvé que cet album n'aurait jamais dû voir le jour. Le débat n'a pas de fin : pro-Gilmour ou pro-Waters ? Par la suite, PF ne sera jamais plus comme avant. Les albums des 80's auront bien sûr du succès, mais l'âme du groupe est définitivement envolée. Sans Waters ou sans Gilmour, ce n'est plus la même chose. C'est surtout la renommée du groupe qui lui a permis de passer les décennies sans encombres. Quant aux concerts, ils resteront de légendaires orgasmes de sons et lumières.

"Wish You Were Here" fut le dernier album de rock progressif pur du groupe. "Shine On You Crazy Diamond" est un monument à lui tout seul. Mais les autres titres ne sont pas en reste. "Welcome To The Machine" nous plongent dans les synthés agressifs et planants des 70's. "Have a Cigar" est un poil décevante. Il existe cette version et une version alternative avec Gilmour et Waters au chant. Dans la 1ère, le chanteur (Roy Harper) est assez pénible mais le solo de Gilmour vaut son pesant d'or. Dans la 2ème, les harmonies vocales se suffisaient à elles-mêmes mais le solo de Gilmour manque de punch. "Wish You Were Here", dédiée à Syd Barrett, est une merveille. L'intro magique mélangeant ondes radios et guitare acoustique, suivit du solo - qui a donné envie à plus d'un(e) de se mettre à la guitare - avant l'arrivée des autres instruments, donne des frissons à chaque fois. Intemporel.
Dire que cet album est le meilleur des PF est subjectif. Mais il est difficile d'y rester insensible.

En matière de rock progressif des 70's, PF n'était pas le plus créatif ni le plus technique de sa génération. A vrai dire, des tas de groupes ont connu un immense succès alors qu'il y avait bien meilleur qu'eux : Velvet Underground, Pixies, Nirvana, The Clash, U2, Green Day etc. Enfin, le meilleur moyen de découvrir l'univers PF, pour un novice, est de mettre son casque sur les oreilles, un soir, une nuit, dans le noir complet. Le reste se passe de mots.





The FIXX
SHUTTERED ROOM


Le 24 Octobre 2015 par LEO


ARP2600 a fort bien résumé la spécificité de THE FIXX !!!
Effectivement, on ressent dans la musique du groupe et ses ambiances, comme un amalgame de THE POLICE, RUSH et je rajouterai même de cet autre groupe Canadien, SAGA pour les parties de guitares tendues et acérées mais aux sonorités clean (plus bien entendu, les TALKING HEADS sur "Some People").
Autre point commun avec SAGA et RUSH et figure essentielle dans les dix premières années de THE FIXX, le producteur (et artiste) RUPERT HINE qui a produit Worlds Apart et Heads Or Tales pour SAGA et qui co-produira les albums Presto et Roll The Bones pour RUSH. c'est en partie grâce à lui que l'on retrouve ce son aérien et ce sens de l'espace qui caractérise ses productions pour THE FIXX et les autres formations pré-citées.
J'ai découvert Shuttered Room à l'époque de sa sortie en pressage U.S. et c'est toujours cette version que je préfère car je la trouve plus cohérente dans sa construction.
"I Found You" (face B du single "Some People" au Royaume Uni) est un titre nerveux, efficace et parfait en ouverture.
Le sautillant "Some People" est un morceau tout aussi alerte mais je trouve qu'il convient mieux en second titre (d'ou ma préférence pour la tracklist et le Séquençage Américain).
Le groupe peut déjà compter sur ses premiers standards calibrés pour les radios avec "Stand Or Fall" et "Red Skies", 2 classiques que THE FIXX joue toujours systématiquement en concert à l'heure actuelle.
"The Strain" (face B du single "Stand Or Fall" dans certains pays) est un excellent morceau qui aurait dû faire partie de la setlist originale au Royaume Uni, au lieu du peu palpitant et incongru "Sinking Island" qui n'a pas vraiment sa place ici (le morceau sonnait bien plus vivant su scène à l'époque comme on peut s'en rendre compte sur le très bon In Concert capté en Novembre 82 pour le King Biscuit Flower Hour).
Le vif "Lost Planes" (qui fait autant la part belle aux synthés qu'aux guitares) est suivi du tubesque "Cameras In Paris" (qui aurait mérité de sortir en single vu son potentiel) et du fort mélodique "I Live", quand au remuant "Shuttered Room" (qui donne son nom à l'album) c'est l'un des morceaux les plus enlevé du lot.
Le formidable "The Fool" (qui referme judicieusement l'album dans sa version U.S.) est ma compo prérérée de THE FIXX. elle est incroyablement atmosphérique et percutante à la fois (le travail subtil des musiciens et de leur producteur est particulièrement remarquable sur ce titre!).
Le très bon "Time In A Glass" (réservé à la version U.K.) est un titre bien représentatif du groupe à cette époque là (mariant à merveille les climats antagonistes: tendus et relâchés).
2 faces B de singles auraient pu être ajoutées en bonus à la version CD:
Le froid et détaché "I've Been Here Before" (qui était au verso de "Lost Planes" en 81 et que l'on retrouvera sur la compilation Missing Links en 94) et le bien moins intéressant et plus commun "Is It By Instinct" (B-side de "Red Skies" qui n'est jamais apparue en album).
Shuttered Room reste mon album favori de THE FIXX car c'est leur plus percutant, les albums suivants étant plus sages et linéaires et de qualité variable (mais jamais médiocre celà dit!).
THE FIXX n'a jamais eu la notoriété de SIMPLE MINDS, U2 et autres gros poids lourds de la new wave, la formation eut par contre son p'tit succès en Allemagne et surtout aux States, peut-être parce que dès ses débuts, ils ont eu plus d'opportunités et de connexions outre-Atlantique (contrairement à son pays d'origine qui les ignorera) et qu'à partir de là, le groupe ne pouvait que se concentrer sur le marché U.S.
C'est pourtant un groupe à (re)découvrir car son chanteur (au timbre puissant et clair) et ses musiciens (toujours inventifs et impeccables) ont infiniment de talent, ainsi qu'une discographie très intéressante (même si inégale, il faut bien l'avouer).





CHRISTIAN DEATH
ONLY THEATRE OF PAIN


Le 24 Octobre 2015 par LEMOUSTRE


L'album indispensable du groupe, et du mouvement death-rock tout entier. Un chef d'œuvre donc, tout en haut d'un style que Rozz Williams aura grandement contribué à créer. Des classiques à la pelle et un album qui fera date. Bref, pour qui souhaite découvrir le style, l'album à acquérir.





SOUNDGARDEN
ULTRAMEGA OK


Le 23 Octobre 2015 par NOSFERATU

Quand je l'ai acheté à l'époque, j'ai pensé que le hard rock prenait une tournure psyché et sabbatienne très pertinente...Pour moi le meilleur de leur disco.





Johnny CASH
JOHNNY CASH SINGS PRECIOUS MEMORIES


Le 22 Octobre 2015 par FRED


En plus de la liste des artistes mentionnés, on attend avec impatience l'album de gospel de Blacky Lawless, ce qui ne devrait plus tarder. Lol.
Quel pays singulier, les USA !
J'adore JC. Johnny Cash ! Jésus Christ !
J'aurais du mal à ne pas mettre la moyenne.










Elvis PRESLEY
HARUM SCARUM


Le 22 Octobre 2015 par SGT JAKKU


Encore une fois, les goûts divergent : "Go East Young Man" j'adore ! Et oui, quand une composition est bien "composée" (huhu), je ne résiste pas. On ne peut aimer ce disque qu'à une seule condition : oublier le King de Sun et prendre Harum Scarum pour ce qu'il est, une BO easy listening et exotique à la manière des albums Exotica des années 50. Car en effet, à l'écoute de ce Harum, tout rockeur risque de mourir dans d'atroces souffrances...
Ce que je trouve ridicule dans cet album (et qui abaisse considérablement la note), ce ne sont pas les bluettes easy listening (qui sont très bien en fait) mais les pseudos rocks : "Shake That Tambourine" (oh my god ! quelle bouse !), "Harem Holiday", "My Desert Serenade" (la plus atroce de toute la discographie d'Elvis), "Hey Little Girl", Les titres "easy" sont les bons numéros du disque : "Golden Coins" est étonnante avec sa guitare delay (assez moderne pour 1965), "So Close, Yet So Far" (très Bacharachienne), Mirage (un sample réussi de Shehérazade de Rimski-Korsakov), l'excellent "Animal Instinct" le seul petit rock valable et son petit riff de basse et "Wisdom of the Ages" très ancrée dans son époque entre James Bond, Bacharach et Pop anglaise. Ne vous trompez pas, amis lecteurs, Harum vaut le coup pour ses morceaux non-rock'n'roll.





KING CRIMSON
RED


Le 22 Octobre 2015 par CéDRIC


Un album vraiment exceptionnel, Red est une œuvre majeure du rock progressif.





Mylene FARMER
STOLEN CAR (AVEC STING)


Le 22 Octobre 2015 par FRAGDOKTOR


Je cite l'auteur de la chronique:
"FARMER ajoute des paroles en bon françois, et s'insère bien dans le flux de la chanson, comprenez par là que son arrivée dans la chanson, après un premier demi-couplet de Sting, n'est pas soulignée par un haussement de ton"

...sauf que j'ai pas compris un traitre mot de ce que Mylène bave pendant tout le titre. Car c'est pas chanter, c'est baver, imbuvable et incompréhensible. Du yaourt comme à sa très mauvaise habitude. A comparer avec Urgehal, leur norvégien étant nettement plus facile à distinguer les mots (et je parle pas le norvégeois).

Je préfère de loin le ton clair d'un "Slipping Away" à ce "nouveau" single. Pas génial et à écouter une fois et à oublier...comme une voiture volée, on cherche à s'en débarrasser le plus vite possible ou on la recèle en pièces détachées.

Dans le cas de cette galette, elle ira nourrir ma poubelle. Reste à espérer que le futur album ne soit pas dans la même veine...





Elvis PRESLEY
GIRL HAPPY


Le 21 Octobre 2015 par SGT JAKKU


Comme quoi les goûts et les couleurs...Puppet On A String, je la trouve très réussie, très tendre et belle. Oui, j'ai un cœur de midinette, on se refait pas ! De plus, c'est la meilleure chanson d'une énième BO sans saveur, inodore,...ok, je l'ai déjà faite sur Roustabout mais c'est hélas bien vrai : au milieu des années 60, Elvis enchaîne une série d'albums de manière industrielle à partir d'un matériau assez pauvre et sans génie. Ah si ! Do Not Disturb est aussi très agréable. Do The Clam et You'll Be Gone sont très sympas ! Ceci dit, il n' y a quand même pas grand chose à se mettre sous la dent sur Girl Happy mais quand on aime le King...





Elvis PRESLEY
ROUSTABOUT


Le 21 Octobre 2015 par SGT JAKKU


Aucune chanson vraiment marquante pour une BO assez inodore, incolore...mais rien de mauvais non plus. C'est juste moyen, ni plus, ni moins. Note réelle : 2,5.





Herbie HANCOCK
HEAD HUNTERS


Le 20 Octobre 2015 par ANGEL D


Après une série albums directement influencés par la période "fusion" de Miles (voir les albums "Crossing" et "Sextant", expérimentaux à souhait) Herbie Hancock a un coup de cœur pour son frère de race : l'over talentueux "Sly stone".

Il décide avec son nouveaux groupe, les Head Hunters, sur cet album du même nom de simplifier sa musique et de donner effectivement une coloration très très funk à son jazz. A la sly, quoi .

Effectivement, sur ce disque, le son a un groove monstrueux et Herbie n'a pas menti sur ses intentions.

Mais Herbie et son groupe ont suffisamment de talent pour créer un son bien à eux. On laisse ici la place à des gros riff de basse qui en imposent, des cuivres chaleureux, deux percussionnistes qui apportent plein de couleurs, qui s'amusent comme jamais avec le rythme et qui ne sont jamais avare pour proposer des breaks de fou furieux. Reste Mr Hancock, qui imite le son de la guitare électrique avec son clavinet et qui excelle derrière son piano électrique et son Rhodes avec des sons virtuoses et cosmiques.

C'est parti pour 4 morceaux d'envergure.
La 1ère face (2 titres) reste la meilleure, la plus moderne, la plus funk aussi, intemporelle avec les quasi 16 minutes du titre "chameleon".

Titre funk donc ce "chameleon" mais aussi jazzy et progressif, ça déboule sur un riff de basse simple mais très carré, lourd. Chaque musicien vient poser ensuite le jeu et le groove se fait hypnotique. On est complètement en transe sur ce groove et les solos d'Hancock vont s’enchaîner, tous plus inspirés les uns que les autres, sur une rythmique qui aime jouer sur les cassures de rythme, des tempi qui oscillent entre le lent et le plus rapide .
Là-dedans, la basse aussi apporte son lot de surprise.
Quelle partition de folie franchement ! C'est accrocheur, c'est malin, c'est fluide, c'est virtuose ! Le titre est un véritable chef-d’œuvre et les 16 minutes passent bien bien vite, qu'on se le dise.

On continue avec "Watermeleon Man "; morceau plus concis et plus posé. Après une intro mémorable jouée avec une bouteille en verre vide,c'est un tempo globalement lent et moyen qui déroule où on à affaire à du très très groovy.
Un morceau élégant avec un travail énorme sur le rythme.
Comme d'habitude, on a des passage et des breaks de grande classe. Et le morceau se termine comme l'intro. A savoir que ce titre aura une belle influence sur les futurs artistes de Hip hop qui n'hésiteront pas à le sampler 10 000 fois. Toutefois pas besoin d'attendre le hip hop, il faut écouter Stevie Wonder pour voir qu'il a écouter Hancock et ce "Watermeleon Man". A noter aussi un travail au synthé qui évoque ce qu'on retrouve chez Sly ...

"Sly" justement, ou Herbie rend encore hommage sur le 3ème titre de ce disque en le nomment : "sly". Cette face 2 qui comporte 2 titres nous renvoie déjà plus au passé de Herbie qui aimait à imiter Miles.

Si le titre "sly" avec ses 10 minutes casse la baraque avec la basse en colonne vertébrale, ses gros cuivres et ses breaks nerveux et funk (dont certains passage évoque encore sly stone), la construction du morceau reste plus complexe avec une série de solos virtuoses et démonstratifs qui pourraient casser les oreilles de certains. Avec une construction plus technique, plus "jazz", "sly" reste tout de même un excellent morceau qui a de la gueule avec son lot de passages de folie. Disons qu'il s'écoute moins facilement qu'un "chameleon", un peu trop technique par endroit ... mais pour moi on est vraiment dans du très lourd quand même.

"Vein Melter" conclut l'album, qui ne manque pas de qualité, dans la douceur cette fois ci. Planant et léger, c'est vraiment un morceau typiquement Hancockien . Là encore, il n’y a rien à redire sur la qualité du morceau avec des belles mélodies et différents passage qui s’enchaînent avec une fluidité étonnante. En même temps, c'est ça Herbie Hancock, on est pas chez le 1er rigolo venu ...

Éclipsé par un "chameleon" de génie, les autres morceaux en font un peu les frais alors qu'il sont très très bons.
Un album où on se dit qu'on est pas très loin de la perfection et il est difficile pour moi de trancher entre le 4.5 et le 5. Mais, en tout cas, qu'on ne s'y trompe pas, ce disque est une référence à écouter absolument et un de mes favoris dans ce qu'on a appelé le "jazz rock".





Elvis PRESLEY
KISSIN' COUSINS


Le 19 Octobre 2015 par SGT JAKKU


Attention, il est important de privilégier la version complète de la BO avec 2 titres en plus. Echoes Of Love et en particulier Long Lonely Highway ajoutent un bonus certain et relèvent la note globale de l'album. Kissin' Cousins est franchement pas mal d'une part pour ses deux chansons titres différentes (faisant sans doute référence aux 2 Elvis du film) et d'autre part, pour ses quelques ballades bien ficelées (Tender Feeling, One Boy Two Little Girls) et sans oublier les morceaux rocks (Once Is Enough, Catchin' On Fast, moderne en effet).
Je confirme, Barefoot Ballad est à éviter : ridicule et atroce.





Elvis PRESLEY
FUN IN ACAPULCO


Le 19 Octobre 2015 par SGT JAKKU


J'ai beau apprécier le easy listening, la pop en général mais cette BO a bien du mal à passer sur ma platine...La faute à trop de chansons mexicaines sans réel intérêt. Seuls cinq titres valent vraiment le coup : Fun In Acapulco, Mexico, Bossa Nova Baby, You Can't Say No In Acapulco et Slowly But Surely dont je suis étonné qu'Erwin n'ait pas signalé dans sa critique ce bon morceau rock joué avec une guitare fuzz, chose rare en 1964.







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