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PORCUPINE TREE
RECORDINGS


Le 22 Septembre 2015 par AIGLE BLANC


Totalement en accord avec cette chronique et son chroniqueur. Steven Wilson et Porcupine Tree, voilà ce qui est arrivé de mieux au rock progressif des années 90 à aujourd'hui. Il y a encore quelques années, S. Wilson refusait qu'on inscrive sa musique dans le rock progressif. Ce genre ayant été conspué davantage que la plupart des autres genres musicaux (mais pourquoi tant de haine pour de la simple musique ?), le leader de Porcupine Tree avait peur que l'analogie entre sa musique et le rock progressif ne le desserve. Aujourd'hui enfin, il assume totalement son appartenance à ce courant respectable du rock. Il faut croire que l'ère du dénigrement est passée (enfin !!). Il faut dire que Radiohead et Wilson ont contribué à redorer le blason du rock progressif, genre dont on peut se revendiquer dans honte aucune.





SIMPLE MINDS
REAL LIFE


Le 21 Septembre 2015 par DAVID


D'accord sur pas mal de choses à propos de ce disque oublié de Simple Minds.
Sur la note d'abord, 3/5, c'est un bon disque, mais ce n'est pas un grand disque. Si Real Life ne fait pas parti de la période dite "classique" de Simple Minds, qui s'étend jusqu'à 1990, ce n'est pas complètement par hasard.
Bien sur, le passage dans les années 90 a fait du mal à Simple Minds, mais ce n'est pas la seule explication.

D'accord aussi sur la diversité des morceaux, là où Once Upon A Time était très énergique, et Street Fighting Years plutôt calme, là sur Real Life, il y a une alternance entre morceaux plus directs, et d'autres plus calmes, avec différents registres abordés.

Mais je suis pas d'accord sur Michael MacNeil, dont on rappellera que sur Street Fighting Years, son apport était loin de se limiter à quelques nappes de claviers.
Le départ de Michael MacNeil est le départ le plus important du groupe, celui qui a impacté le plus Simple Minds. Et pour cause, le son Simple Minds dans les années 80, c'était bien lui, Simple Minds était bien un groupe "à claviers", et l'ossature du groupe reposait bien sur lui. Les claviers formaient la musique du groupe.

Le départ du bassiste Derek Forbes, c'est différent. Déjà, sur Sparke In The Rain, Derek Forbes commençait à être plus en retrait, l'évolution du groupe vers un son de plus en plus pop et commercial rendait de fait la position de la basse moins importante dans le son du groupe. Donc le départ de Derek Forbes n'est qu'une conséquence d'un processus qui était déjà entamé et inévitable.

Même chose pour Brian McGee à la batterie. La section rythmique Derek Forbes et Brian McGee symbolise donc bien les années "new-wave" de Simple Minds, new-wave qui commence à s'effacer à partir de Sparke In The Rain justement.

Sur Real Life, l'erreur de Simple Minds a été de faire "comme si de rien n'était", comme si Michael MacNeil n'était qu'un simple exécutant et pouvait être remplacé facilement par quelqu'un d'autre. Sauf que non. Les compos de Simple Minds, sans l'apport de Michael MacNeil, et bien ce n'est plus la même chose. On ressent de fait, un espèce de vide dans les compos de Real Life, avec des claviers moins imposants, plus en retrait et plus "passe-partout', même si l'ancien claviériste de Jethro Tull présent sur ce disque est bien sur loin de démériter.

Ce vide, on voit bien, laissera du coup davantage d'espace aux guitares de Charles Burchill, ce qui est plutôt nouveau là aussi dans la musique de Simple Minds, car les claviers occupaient l'espace sonore durant les années 80 glorieuses du groupe.

Dès le premier titre pourtant, on a l'impression que rien n'a changé depuis Street Fighting Years, Real Life ouvre bien l'album. Mais laisse une impression bizarre, une impression de redite, qui se retrouvera plusieurs fois sur l'album, avec aussi une impression que l'album, coincé dans un son très "fin 80's, début 90's" n'a pas si bien vieilli que ça avec ses synthés. Impression de redite confirmée avec See The Lights qui aurait pu apparaitre aussi sur Street Fighting Years.
Sauf que voilà, aussi séduisant soit il, on voit bien que Real Life ne contient pas de morceaux, de hits et de classiques aussi marquants que sur Street Fighting Years, Once Upon A Time et Sparkle In The Rain.

Pourtant Real Life ne manque pas de qualités. Tout d'abord sur le très bon single Let There Be Love, avec son influence celtique et un excellent groove de Mal Gaynor, voilà du pop-rock typique de ce qui se faisait au début des années 90, pop-rock du meilleur effet. Un des meilleurs titres de Real Life, sans problème. Woman est plus calme et se défend bien aussi, elle est attachante par son ambiance et la comparaison avec le Genesis de We Can't Dance est bien vue, ne serait-ce que pour la boite à rythme, très similaire.
Stand By Love est par contre trop facile, une platitude pop-rock typique du début des années 90 avec ses guitares cristallines "à la U2" qui ont mal vieillies (un peu comme le Marillion de l'époque Holidays In Eden).
Ghostrider est pas mal, plus rock et énergique.

Travelling Man est pas mal aussi, mais la ressemblance des synthés avec Waterfront est trop évidente (idem pour le rythme de batterie, le même que Waterfront, le même tempo), ce qui finit par être vraiment dérangeant.

Finalement, ce sont surtout sur les titres les plus calmes que Simple Minds se montre le plus convainquant : Rivers Of Ice, et surtout sur la superbe ballade Banging On The Door, et également sur son pendant When Two Worlds Collide.
Dommage que Rivers Of Ice et When Two World Collide soient si courtes et que l'on ait pas le temps de savourer davantage cette facette si agréable de Simple Minds.

Un bon album, mais sans Michael MacNeil, on sent que l'âge d'or du groupe est déjà derrière lui. Fort heureusement, sur l'album suivant, Simple Minds saura tirer profit de l'absence de son claviériste phare, en plaçant les guitares en pole position... pour le meilleur !





SLAYER
REPENTLESS


Le 20 Septembre 2015 par NOORS


Bonne chro. Je pense aussi que SLAYER a pondu un bon album. Avec des longueurs, mais il faut croire que les contraintes marketing et commerciales du format numérique ne convient pas au Thrash qui est efficace sur 8 ou 9 titres et surtout sur 35mn. Sans cela l'effet de violence est forcement dilué par le temps d'écoute et surtout par les remplissages.
On l'a peut être oublié, mais SLAYER était un groupe qui faisait véritablement peur à l'apogée du Thrash avant que d'autres styles plus extrêmes ne déboulent.
Alors juste une remarque sur la chro:"je n'ai jamais été fan des speederies sans concession ". C'est pourtant l'essence même du Thrash et même la marque de fabrique de SLAYER à ses grandes heures, dont la violence n'avait d'égale que la rapidité d'exécution, corollaire nécessaire.
Le titre éponyme "Repentless", servit magnifiquement par son clip vidéo, est une démonstration implacable de cette volonté magistrale que les fans de la première heure attende de ce groupe. Rapide, Violent, efficace, glaçant.


Par Forces Parallèles

Salut Noors et merci de ton aimable comment ! Je réponds juste à ta réflexion sur les speederies en thrash. Tu as raison, c'est l'essence même du Thrash, c'est pourquoi je précise ne jamais avoir été fan de ce genre de compo. Ainsi chez SLAYER,je favorise "South of heaven" "213" "Read between the lies" "Divine intervention" ou "Mandatory suidcide" soient les compos plutôt lentes, même réflexion chez les four horsemen en général. Chez CORONER, MEGADETH ou MEKONG DELTA par exemple, ce n'est pas sans concession.
Question de goût.
Bien à toi
Erwin





Jacques DUTRONC
Jacques Dutronc (Il Est Cinq Heures)


Le 20 Septembre 2015 par AIGLE BLANC

Je me suis laissé entendre dire au sujet de la chanson "Il Est Cinq Heures, Paris S'éveille" une anecdote qui, à supposer qu'elle fasse partie davantage de la légende que de la réalité, mérite néanmoins d'être mentionnée.

Le flûtiste a réalisé sur ce titre un gimmick inénarrable autant que virtuose. Mais vu l'état d'ébriété des musiciens lors de l'enregistrement du morceau, il semblerait que Roger Bourdin ne soit plus par la suite, une fois redevenu sobre, parvenu à le reproduire.

Voici une fois encore comment de l'accident a pu naître le génie.





DEVO
Q: Are we not men? A: We are Devo!


Le 17 Septembre 2015 par ARP2600

Ah pardon, je suis formel. Devo est un groupe de pure new wave. Si je ne devais en citer que deux, ce seraient Ultravox et eux. L'erreur est de limiter la new wave au nouveau romantisme. Et même là, il y a bien des groupes qui sont "nerveux et pêchus", à commencer par Ultravox mais aussi Adam and the ants ou même Duran Duran...





DEVO
Q: Are we not men? A: We are Devo!


Le 17 Septembre 2015 par GUILLAUME THE ELDER


Salut! Je trouve quelque peu abusif cet embrigadement des géniaux DEVO dans la catégorie New-Wave. Les rythmes sont saccadés et électriques, la guitare et la batterie sont aux premiers plans... Bref, c'est du Rock dans la plus pure tradition, un Rock burné qui tire vers le Punk. Je les trouve beaucoup plus proches des B-52's ou de TELEVISION que des Numan ou autres Human League.

Les concerts de cette période montrent un Groupe hyperpéchu et nerveux, à l'inverse de la New-Wave et son côté classieux néo-romantique.

Aujourd'hui encore, Les DEVO arrachent fort en Live. Malheureusement, Les US sont les seuls à en profiter... J'envoie régulièrement quelques prières pour attirer DEVO sous nos cieux...





A-HA
CAST IN STEEL


Le 16 Septembre 2015 par JAY


Il y a quelques remarques très justes sur les analyses des morceaux : The END Of The World est médiocre - surtout à cause du refrain répétitif, Giving Up The Ghost est bel et bien une réussite, Under The Make Up est une perle et She'sHumming A Tune nous plonge effectivement dans le passé glorieux du trio. Mais je suis plus emballé que l'auteur de la chronique concernant la qualité de cet album, je le trouve très bon.
Pour la prise de risque, il faut écouter l'album Analogue sorti en 2005, Cast In Steel compile plutôt ce que A-ha a fait dans les années 80, 90 et 2000. Mais il le fait admirablement, une sorte d'album retro-moderne !
Je crois que mis à part Living at the end of the world, je ne trouve pas de morceaux faibles ou de remplissage (bon ok, Objects In The Mirror et Giving Up The Ghost ont une intro assez ressemblante mais l'une est agréable et l'autre, plus complexe est excellente).

Un dernier point : A-ha est un groupe plus sombre et mélancolique qu'il n'y paraît. Réduire ce groupe à une musique inoffensive et romantique pour adolescente serait une grosse erreur. A-ha ne plait pas qu'aux filles, il plait aussi aux mecs! Moi, en l’occurrence et d'autres qui comme moi, aiment bien s'endormir sur Black Sabbath (superbe "13" ), c'est plutôt cool le Sab comparé à de nombreux groupes de metal ! Pourtant, leur musique ne manque pas de puissance émotionnelle, comme celle de A-ha sur ce CAst In Steel, à qui je mettrais une étoile de plus.
Merci pour cette chronique interessante.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 16 Septembre 2015 par RIKKIT


Sexy Sadie ? Titre mauvais ? C'est totalement absurde.

Franchement cet album réussi un pari risqué. J'ai mis du temps avant de vouloir me le taper, un double album, c'est franchement épuisant avant l'ecoute. Le bilan est que, et je le dis en toute objectivité, l'album est un sans faute, il y a clairement des titres en deça, mais jamais mauvais. Je pense à Wild Honey Pie, qui est juste drôle et The Continuing Story of Bungalow Bill, et puis c'est tout en fait. Non franchement le magma créatif de ces gars était surnaturel. Pas mon favoris, mais un grand nombre de morceaux ici figure parmis mes préférés des Fab'Four.

Concernant le Kro x de Waltersmoke, j'ai un avis totalement différent sur le Beatles. J'ai toujours trouvé exasperant les louanges scandaleuses que l'on cultive sur ce groupe, mais j'ai bien changé d'avis après m'être réellement mis à écouter leur musique.





DEVO
Q: Are we not men? A: We are Devo!


Le 16 Septembre 2015 par BENNETT


Pour moi, c'est l'album majeur de Devo, les guitares prédominent et surtout, il n'y a quasiment aucun temps mort sur ce disque. Pour un coup d'essai, c'est un coup de maitre.





PINK FLOYD
A MOMENTARY LAPSE OF REASON


Le 15 Septembre 2015 par VIV


Album intéressant pour les curieux. Marqué par le temps, production très typée années 80 certes, quelques points faibles par-ci par-là, mais certains morceaux n'en manquent pas moins de charme et d'originalité.

Mention spéciale à :
- l'intro "signs of life" toute en beauté, qui plante le décor un peu froid et synthétique régnant sur cet opus.
- l'efficace "learning to Fly", encore plus saisissant sur les lives de l'époque,
- le solo de basse slappée sur "one slip", qui mérite d'être souligné à mon sens, non pas pour sa virtuosité vous en conviendrez, mais bien pour le seul morceau de la carrière du groupe où le bassiste fait usage de cette technique.
- "terminal frost", instrumental anecdotique mais qui donnerait bien envie d'aller piquer une tête en pleine mer et d'y admirer la faune et flore aquatique ou de se réécouter la b.o. du grand bleu.
- "sorrow" et plus particulièrement son intro au riff ravageur telle une tronçonneuse enragée.

Le monde se divise en deux catégories, ce qui préfèrent DIVISION BELL et sa prod lisse et soignée, et les autres qui l'aiment bien cet AMLOR malgré ses imperfections. J'ai choisi mon camp.





Jacco GARDNER
HYPNOPHOBIA


Le 15 Septembre 2015 par BAAZBAAZ


C'est joli, bien produit, plutôt malin et référencé (Gardner a découvert BROADCAST...) mais il ne se passe rien. On met le disque et, en quelques minutes, la musique est reléguée en arrière-plan. On fait autre chose, on l'oublie...

C'est typiquement le genre d'album qui n'est pas désagréable sur le moment, mais qui ne laisse aucune trace. On a beau insister, il n'y a pas le déclic.

Autrement dit c'est un échec artistique et un signal d'alarme très sérieux quant à la capacité de JACCO GARDNER à confirmer l'éclatante réussite de son premier album.

Sauf rebond inespéré, on peut d'ores et lui prédire une carrière d'artiste indie redondant et sombrant peu à peu dans l'indifférence. Un nouveau RUFUS WAINWRIGHT, en somme ?





COLDPLAY
X & Y


Le 13 Septembre 2015 par VIV

Amusant de constater que la mélodie de "talk" a été empruntée au titre "computer liebe" de nos amis allemands de Kraftwerk.





Johnny CASH
ORANGE BLOSSOM SPECIAL


Le 13 Septembre 2015 par FRED


Varié, mais pas décousu, la patte CASH est reconnaissable sur tous les titres. Cette manière de virilité nonchalante, sachant montrer les muscles, mais pas trop, à l'occasion.
Je ne pourrai pas mieux dire que le chroniqueur, qui retranscrit très-très bien mon sentiment sur ce disque, avec beaucoup de justesse.
Quelques adjectifs, peut-être ? Sincérité, authenticité, émotion ? Les interventions de June CARTER sont bien senties, et, à l'écoute, on ressent quasiment les liens très forts qui unissent ces deux-là.
"Danny boy" est précédée d'une introduction parlée, cette chanson ayant été transmise à Cash par la famille de sa mère (si je comprends bien). CASH est celte (Ecossais d'origine). Le sait-il à l'époque, lui qui est persuadé de descendre des amérindiens ? A l'écoute, on en a la quasi certitude, tant cela sonne... juste.
Bon, que dire, sinon qu'il faut écouter ce disque.
Merci, merci à toute l'équipe pour toutes ces chros', voir tous ces albums chroniqués, cela me fait très plaisir.





SOULFLY
ARCHANGEL


Le 12 Septembre 2015 par MONSIEUR P.


Max me gave !

J'adore le Soulfly des premiers temps et son "néo thrash" avec tout un tas d'expérimentation, mais depuis quelques albums et les divers "projets" qu'entreprend Max l'inspiration et les expérimentations semblent se tarir et mise de côté.

Les 3-4 albums précédant, sans être mauvais, manquait de la saveur des débuts, et étaient déjà un peu trop "thrash". Ils ressemblaient à du fan service pour les nostalgique de Sepultura...

Ici avec Archangel, Max et son Soulfly renoue un poil avec les saveurs d'antan, mais ce n'est pas suffisant et ça ressemble encore trop à du thrash Sepulturien sous le nom de Soulfly.

Décevant, non. Mais par contre ça commence à gaver sérieusement, surtout quand y regarde de plus près. Max multiplie les groupes et le projets, mais c'est toujours la même musique. En ce moment, entre Killer by Killed, Cavalera Conspiracy, et Soulfly, heureusement qu'il reste la jaquette pour savoir ce qu'on écoute, tellement c'est quasiment la même chose...

Et que dire des concerts de Soulfly... Avec minimum 50% de la setlist à jouer du Sepultura. Idem avec Cavalera Conspiracy, ou la encore il y a une bonne part de Sepultura dans la setlist.





MOTÖRHEAD
KISS OF DEATH


Le 12 Septembre 2015 par MONSIEUR P.


J'ai toujours trouver un peu bizarre que certains juge ce disque bon, ou moyen.

Selon moi, "Kiss of Death" est le plus surprenant des Motorhead en date. Une production surpuissante, des morceaux tous plus rentre dedans les uns que les autres et une énergie général à la limite du punk rock. A l'instar de "Overnight Sensation" qui à marqué les années 90, "Kiss of Death" est celui qui à marqué les années 2000.





MOTÖRHEAD
BAD MAGIC


Le 12 Septembre 2015 par MONSIEUR P.


L'expression la plus conne qui va bien une fois mais qui à la fin ne veux plus rien dire consiste à dire que "Machin, fait du Machin".

Mais alors que dire d'autre de Bad Magic, sinon que Motorhead fait du Motorhead, tout comme ACDC fait du ACDC et Pearl Jam du Pearl Jam sur chaque albums ? Difficile à dire n'est ce pas ?

Et pourtant il ni y a pas grand chose à dire de plus sur cet album que Motorhead fait du Motorhead, et que comme d'habitude il le fait bien. Les fans seront aux anges, les amateurs apprécierons, et le commun des mortels dira "tiens ?! encore un nouveau Motorhead ! Il est pas mort Lemmy ?"

Je ne pense pas qu'il soit très utile d'épiloguer plus longtemps au sujet de cet album, c'est du Motorhead et Motorhead fait du Motorhead...
Par contre ce qu'il y a de vraiment très intéressant à souligner, c'est l'impact que peu avoir encore ce groupe et ce genre d'album pourtant "générique". Lemmy à presque 70 piges, Motorhead à 40 ans, et pourtant Bad Magic peu être encore une très bonne porte d'entré à l'univers du groupe. Un Môme de 14 pige qui tombe sur cet album sans connaitre rien du groupe peu très bien se mettre à écouter du Motorhead à donf sans être déçu et revisité 40 ans de carrière pour sont plus grand bonheur. Certes, Motorhead ne surprend plus, Lemmy est d'avantage sur la fin que sur le début, mais Bad Magic ne sonne pas comme le disque d'un groupe fatigué et ça reste putain d'encore une fois du bon Motorhead.

Longue vie à Lemmy !





MADONNA
EROTICA


Le 12 Septembre 2015 par CLANSMAN57


"Erotica" est ambitieux et audacieux.
Sa longueur freinera pendant la phase de découverte, tout comme sa recherche musicale plus poussée sur les rythmes et les ambiances.
Joli travail sur les textes, encore une fois...
Il demandera juste un tout petit peu plus de temps que certaines autres de ses livraisons, car il s'agit clairement d'un travail véritablement artistique.
C'est long, mais il n'y a rien à jeter, ce qui est plutôt louable.

Par ailleurs, il n'y a pas que du sulfureux sur ce disque...
Lorsque je vois que le logo "Parental Advisory" est apposé sur la pochette, je me marre un peu...
Quand Spears, Aguilera et tant d'autres n'intéressaient plus personne (ce qui est vite arrivé), elles ont commencé à se dévêtir et à faire les ptites cochonnes pour attirer l'attention, avec de la vulgarité en prime et on bavait devant ces demoiselles que l'on mettait à nouveau sur un piédestal, malgré leurs piètres qualités musicales...
MADONNA donne dans un érotisme classe, sur certains titres ici et elle se fait lyncher... A croire que le livre sorti en parallèle aura descendu "Erotica", sans parler du film "Body Of Evidence" sorti en 94 je crois... (un "Basic Instinct" du pauvre). La pauvre devait avoir marqué "pétasse" sur son front alors qu'il y a eu tellement pire par la suite... bien sûr, ces suiveuses ne possédaient pas la qualité musicale présente sur cet album.

"True Blue": une femme fleur bleue.
"Erotica": une femme qui assume son penchant pour le sexe et qui en fait
quelque chose de classe.
"Bedtime Stories": une femme qui sait concilier romantisme et sexe.
Le romantisme prend d'ailleurs à nouveau le dessus, comme si la période sulfureuse était une expérience à ne pas pousser trop loin sous peine de se perdre dans la dépravation.
"Ray Of Light": une femme qui dévoile une spiritualité inattendue, ayant connu la naissance de sa fille et la mort de sa mère, une prise de conscience de certains événements de la vie, en d'autres mots, l'opus de la maturité.









TALKING HEADS
FEAR OF MUSIC


Le 12 Septembre 2015 par LEO


Comme le fait justement remarquer ONCLE VIANDE dans sa chronique, "I Zimbra" ouvre le bal d'une façon fort prémonitoire quand aux futures trajectoires musicales de David Byrne & Co.
Qu'il s'agisse de My Life In The Bush Of Ghosts, Remain In Light, ou bien encore des Discotronics de Fripp "Under Heavy Manners" (avec Byrne en invité) et de l'instrumental "The Zero Of The Signify" ou bien encore comme l'a souligné ONCLE VIANDE, l'album Discipline de King Crimson (sans parler des albums The Catherine Wheel de Byrne et The Red & The Black d'Harrison plus le projet Tom Tom Club de Wymouth & Frantz!), la musique syncopée toute en polyrythmie de "I Zimbra" préfigure bien des projets à venir...!
Mais si l'on remonte encore 2 ans en arrière en 1977 à l'époque du Before And After Science d'Eno, on pouvait déjà entendre les prémices de cette fusion de funk-rock et de rythmes Africains avec des compos comme "No One Receiving" et "Kurt’s Rejoinder", donc tout ça n'était finalement qu'une évolution logique de ce vers quoi tendait les TALKING HEADS et leur entourage direct (à ce titre, Brian Eno a eu une influence capitale sur le groupe!).
Les autres compos de Fear Of Music ne sont pas vraiment dans la même veine quoique le groove est toujours bien présent sur les 4 morceaux suivants (dont les forts dansants "Cities" et "Life During Wartime") ainsi que sur le barré "Animals", mais l'album comporte aussi 3 pièces plus tendues et tordues à l'image de "Memories Can't Wait", "Electric Guitar" et "Drugs" ainsi que 2 morceaux plus légers avec "Air" et "Heaven". Ces 11 titres tous impeccables, forment l'un des tous meilleurs albums de la formation! UN MUST





Johnny CASH
RIDE THIS TRAIN


Le 11 Septembre 2015 par FRED


Ha, Johnny Cash !
Pas vraiment à la mode, donc intemporel !
Il a même participé à des émissions pour enfants genre "Muppets show", toujours avec la même simplicité. Pas star pour un sou, alors que...
Un album, comme la plupart, rempli de sincérité.
Ca sonne vrai.





TRIO KEYNOAD
MOIRES ET MOUVANCES


Le 11 Septembre 2015 par HEART OF STEELE

Ta chronique Marco me donne bien envie de découvrir ce groupe, étant amateur de ce genre d'instrumentation, et aussi de Loreena McKennitt dont je suis grand fan... Sur ma liste donc...







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