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Bernard LAVILLIERS
POUVOIRS


Le 21 Janvier 2015 par TERRY


Le meilleur album de Lavilliers et un des meilleurs albums français, tout simplement !
A noter que pendant des années, l'album fut commercialisé, en CD, dans une version remixée (sortie vers 1990), qui a été depuis remplacée (dès 2002, je crois), par la version d'époque. Mais le visuel du CD reste le même, c'est à dire pas le même que le vinyle, et moins réussi (et pas raccord avec l'année de sortie de l'album : la photo sur le livret CD est une photo de Lavilliers de la fin des années 80) !





Bernard LAVILLIERS
POUVOIRS


Le 21 Janvier 2015 par CREEPING MESSIAH


Désolé, mais je ne suis pas du tout d'accord avec la chronique. A la lire, j'ai l'impression d'un mauvais procès d'intention, comme si les conditions d'écriture primaient sur la musique. J'écoute cet album depuis très longtemps (25 ans quand même) sans m'en lasser. Bien sûr, je comprends que le chroniqueur n'ait pas accroché, mais ses arguments ne m'ont pas convaincu. La face À, demi-concept album sur le thème du pouvoir de la finance, n'est pas une posture (et quand bien même, les textes sont parmi les meilleurs de Nanard), et les titres sont très inspirés: frères de la côte et confrères s'enchaînent sans temps mort, avec Urubu en point d'orgue. Alors OK, la face B est plus datée, mais les textes restent de très haut niveau, avec des titres plein d'humour décalé (l'ambulance du maire leur montrer le chemin..., ringard pour le reggae ou même rue de la soif). Un super album pour moi qui ai grandi avec (précision: je fréquente plutôt les salons de NIME d'habitude)
Vive FP, vive NIME, peace





The DANDY WARHOLS
THIRTEEN TALES FROM URBAN BOHEMIA


Le 19 Janvier 2015 par EL PACHENKA


Je découvre bien tard mais il n'est jamais trop tard. J'étais passé à côté de ce groupe qui ne m'inspirait pas plus que ça quand Rock&Folk le mettait en couverture et en Disque Du Mois. Puis il y eut le déclic et ce, grâce à une amie, suivi du désir de découvrir la musique de ces Dandy Warhols. Ce Thirteen Tales From Urban Bohemia serait jugé comme la meilleure production. Personnellement, je n'en sais trop rien étant donné que c'est le premier album acheté mais je serais bien tenté par deux ou trois autres avant d'en apporter confirmation. Pour l'instant, je semble avoir choisi un bon cru avec ce troisième album empli de très bon titres avec "Godless", les lourds "Nietzsche" et "Horse Pills", les planants "Mohammed" et "Sleep", le slidé "Country Leaver", et j'en passe ...





COCTEAU TWINS
VICTORIALAND


Le 16 Janvier 2015 par LEO


Entre les albums Treasure (fin'84) et Victorialand (début'86), les COCTEAU TWINS ont fait paraître (toujours en trio) au cours de l'année 1985, 3 EP de 4 titres chacun (soit, 12 compos originales n'apparaîsant sur aucun album, à l'exception des compilations et autres coffrets réunissant les divers maxi-singles du groupe...).
Ces 3 EP (Aikea-Guinea, Tiny Dynamine et Echoes In A Shallow Bay) sont musicalement parlant, comme une sorte de mix de ce qu'a pu proposer le groupe durant ces 3 premières années d'existence. passant de morceaux mélodiques à des titres plus expérimentaux et incantatoires, jusqu'à des pièces plus aériennes...
Ce qui nous amène à l'album Victorialand, bijou de 9 titres proche de l'ambient (enregistré en duo temporairement, puisque le bassiste Simon Raymonde était occupé au même moment par le side-project THIS MORTAL COIL et le double album Filigree & Shadow).
Ce splendide album voluptueux et vaporeux est un océan de douceur et de sérénité. contrairement à Treasure sur lequel la boite à rythmes (reverb à fond) prédominait grossièrement, là elle est mise en sourdine (comme sur "Lazy Calm" où un simple pied de grosse caisse feutré sert d'accompagnement ou bien mixée judicieusement en fond sur "Little Spacey") et sur les 7 autres titres elle est tout simplement absente, laissant les guitares et effets de Robin Guthrie et les vocalises angéliques d'Elizabeth Fraser nous envoûter. le rêve!
Ce court album (à peine un peu plus de 32mn au compteur!) est à prendre d'un bloc tellement le tout est d'une rare cohérence (effectivement, les services éventuels de Brian Eno n'auraient été d'aucune utilité!), mais si je devais citer parmi mes morceaux préférés, "Whales Tails", "How To Bring A Blush To The Snow" et "The Thinner The Air" figureraient en bonne position!
À noter que fin'86, le groupe (redevenu trio) sortira l'album The Moon And The Melodies en collaboration avec le pianiste Harold Budd, dans lequel on retrouve une ambiance un peu similaire à celle entendue sur Victorialand (en toutefois beaucoup moins homogène et réussie, puisqu'entre autre... la boîte à rythmes réverbérée réapparaît sur la moitié de l'album!).





COCTEAU TWINS
TREASURE


Le 15 Janvier 2015 par LEO


Fin '83 le bassiste Simon Raymonde rejoint les COCTEAU TWINS et début '84 le trio enregistre l'EP 3 titres "The Spangle Maker"/"Pearly-Dewdrops' Drops"/"Pepper-Tree", plus l'inédit "Millimillenary" réservé en exclusivité à une compilation du New Musical Express (on retrouvera plus tard ces 4 morceaux sur la compilation du groupe intitulée The Pink Opaque).
De tous ces titres, c'est sans doute "Pearly-Dewdrops' Drops" et "Pepper-Tree" qui se rapprochent le plus de l'univers sonore de l'album Treasure, enregistré quelques mois plus tard.
Treasure contient des morceaux plus aériens et moins sombres par rapport aux 2 premiers albums. la présence de la guitare acoustique sur certains titres n'est sans doute pas étrangère à celà!
Beaucoup de fans des COCTEAU TWINS placent Teasure parmi les meilleurs albums du groupe mais ce n'est pas mon avis (ni celui du groupe, qui le trouve inachevé) car d'une part, je trouve la majorité des compos un peu répétitives et pas vraiment abouties et d'autre part, le gros hic en ce qui me concerne serait du côté de la boite à rythmes assez appuyée et horriblement réverbérée.
Les morceaux qui ressortent de l'ensemble sont donc pour moi l'excellent "Beatrix", qui combine Kate Bush/Dead Can Dance+Siouxsie en 1 morceau et l'atmosphérique "Otterley", qui préfigure déjà l'album suivant: le génial et éthéré Victorialand.





John CARPENTER
ASSAULT ON PRECINCT 13


Le 14 Janvier 2015 par DARK SCHNEIDER


Une BO difficile à noter, car comme le dit très bien la chronique, elle n'avait pas vocation à être éditée. Vu que l'ensemble se contente de décliner le même thème de multiples façons, l'ennui vient vite pointer le bout de son nez. Le thème de Division 13/Julie, tout en étant agréable, est d'un intérêt moindre par rapport au thème principal. Les sonorités sont également assez frustres, l'époque et le manque de moyen expliquent cela.

Mais reste donc ce Main Title, qui est une évidente réussite, à l'image du film d'ailleurs, un des tout meilleurs de Carpenter. Très simple, presque minimaliste, sans véritable mélodie, il n'en est pas moins obsédant, pas si sombre que ça cela dit, mais peu importe.

A mon sens, mieux vaut se procurer un best-of contenant le thème principal. Assault fait parti de ces films "bis" aux moyens limités, dont la BO tenait sur un thème principal et deux ou trois titres d'ambiances. Valable pour un 45 tours ou EP, mais pas un LP.





John CARPENTER
ASSAULT ON PRECINCT 13


Le 14 Janvier 2015 par TOMTOM


Superbe BO. Seule celle de New York 1997 lui arrive à la cheville.
Interrogé sur le "Main Title" dans une interview (dispo dans les bonus du DVD), Carpenter dit s'être inspiré de la bande-son de l'Inspecteur Harry et de "Immigrant Song" de Led Zeppelin (ralentie, bien sûr).





CAMERA
REMEMBER I WAS CARBON DIOXIDE


Le 13 Janvier 2015 par BUKO


Je découvre ce groupe grâce à cette chronique ! Merci Jovial ! Etant archi fan de krautrock, j'adore ! Effectivement, comment peuvent-ils refuser l'étiquette krautrock ?





SIMPLE MINDS
SPARKLE IN THE RAIN


Le 13 Janvier 2015 par NONO


Comme le dit très justement un des intervenants, il fut un temps où Jim Kerr (Simple Minds) et Bono (U2) avaient une voix assez comparable. J'avais même tendance à les confondre à une époque, mais plus maintenant. Ils ont tous deux cette voix un peu aigue et "plaintive", dans les mêmes tons. Mais maintenant j'arrive bien à faire la différence: Bono a une voix plus homogène, plus prévisible. Alors que Jim Kerr a une voix plus énergique, plus inégale aussi , et souvent on a l'impression qu'il s'emporte à la fin des chansons, qu'il en fait trop, qu'il "surchante". Un peu à mi-chemin entre le chant et la gueulante, ce qui n'est pas toujours du meilleur effet. Et c'est, je trouve, ce qui fait qu'on a l'impression que pas mal de chansons de Simple Minds s'égarent un peu à mi-chemin: le chant de Kerr change, comme s'il s'énervait soudainement, enfin... c'est bizarre....
Mais de toutes façons j'aime bien sa voix, je le trouve d'ailleurs particulièrement doué pour les trémolos en fin de phrase (un peu comme Bowie d'ailleurs). C'est cela: on pourrait dire que la voix Kerr est au croisement entre Bono et Bowie.
Concernant l'album je mets 3/5





GOBLIN
PROFONDO ROSSO


Le 12 Janvier 2015 par DARK SCHNEIDER

Profondo Rosso, assurément une date dans l'histoire du Giallo. Je ne pourrais pas le considérer comme un chef d'oeuvre définitif du genre car il contient des défauts assez notables, notamment des passages légers et humoristiques qui frôlent la rupture de ton inappropriée. En fait, je pense que le Giallo n'a pas de chef d'oeuvre définitif, tout simplement.

Il n'en reste pas moins que Profondo Rosso jouit d'une réputation méritée grâce à de nombreuses fulgurances, dont l'intrigue pleine de suspense, une mise en scène inventive (rien que l'introduction du film déjà), et bien sûr la superbe musique des Goblin. Très clairement, L'Exorciste et la zic de Mike Oldfield ont été une date en matière de musique de film d'horreur/thriller, une véritable pierre angulaire que les italiens, comme d'autres, vont s'évertuer à vouloir reproduire. Les Goblin feront parti de ceux qui s'en sortiront le mieux, même si pour ma part je leur préfère le compositeur Fabio Frizzi. Le thème principal est en tout cas mémorable, tout en progression, par forcément flippant (pas du tout même), mais obsédant et intriguant, comme le film quoi. Cette BO fait clairement partie de celles qui transcendent totalement les images.

Un certain John Carpenter saura s'en souvenir, sa musique en porte de nombreuses traces. D'ailleurs la chroniqueur fait bien de mentionner son "Prince des Ténèbres", film que je trouve pour ma part très moyen, mais qui est un hommage à peine masqué au giallo à tendance fantastique, et notamment Suspiria (une scène en est directement reprise d'ailleurs).

Je ne note pas, car je n'ai pas écouté cette BO sous ce format (juste vu le film et écouter des best of des Goblin). Quant à Argento, sa filmographie reste extrêmement bancale (beaucoup trop de daubes), mais on ne peut que le remercier pour avoir mis autant en avant les Goblin.





ANATHEMA
DISTANT SATELLITES


Le 11 Janvier 2015 par MR G


Un album que j'adore, peut-être même mon favori d'Anathema, en tout cas dans mon top 3 du groupe ! C'est vrai que le schéma se répète avec certains autres morceaux du passé mais qu-est-ce que c'est bon et bien fait ! Anathema évolue dans son propre style et le prouve avec l'excellent morceau qui donne son nom à l'album ! Le morceau Ariel est magnifique et même si l'album paraît décevant aux premières écoutes, c'est qu'il se laisse apprivoiser avec le temps comme tous les grands albums d ailleurs ! Mon album favori de 2014 !





Agnes OBEL
AVENTINE


Le 11 Janvier 2015 par ENVER


Agnes OBEL est de celles qui, comme les danseuses classiques, enflamment le vide.
D'une pureté iridescente, d'un romantisme léger ; elle évoque le vide de l'âme (de la conscience, nommez-ça comme vous le voulez) ainsi qu'une chaleureuse brûlure : douloureux mais salvateur.
En ces temps pesants, il est plus que nécessaire de rappeler à nous la pesanteur et la grâce qui nous caractérisent. Cette mélopée du silence et de l'ascèse nous y invite confusément.





John FRUSCIANTE
NIANDRA LADES AND USUALLY JUST A T-SHIRT


Le 11 Janvier 2015 par SALINGER


Merci pour cette chronique d'excellente qualité que j'attendais depuis 2009 sur FP. Un album qui m'aura marqué durablement.





GLENMOR
OUVREZ LES PORTES DE LA NUIT


Le 09 Janvier 2015 par MOHAMED BEN LAGADEG


"La Mort de Lez-Breizh », très glauque, très théâtrale, inhabituelle même dans l‘œuvre du barde, qui sous la métaphore de la mort du premier roi de Bretagne dénonce évidemment l’acculturation forcée du peuple breton."

Cette chanson est toujours d'une actualité criante.

Sinon, comment dire ? C'est superbe.

Merci.






CURVE
CUCKOO


Le 08 Janvier 2015 par CLANSMAN57


Vraiment très intéressant ce "Cuckoo"!
Très planant, terriblement sensuel et encore moderne 22 ans après...
CURVE n'est pas aussi easy listening que GARBAGE,effectivement.
C'est beaucoup plus recherché et plus profond, de manière à pouvoir s'y perdre.

Du grand Art!

Je me l'écoute encore un peu, puis je passe à "Doppelgänger"!





SQUAREPUSHER
MUSIC FOR ROBOTS


Le 07 Janvier 2015 par AIGLE BLANC

Effectivement, il en existe des tentatives de formation électro remplaçant l'humain par des robots. Mais pourquoi, oui pourquoi cette chronique ne cite-t-elle pas le vrai inventeur du concept, j'ai nommé Kraftwerk qui envoie les robots à l'effigie de chaque membre du groupe jouer à leur place sur scène dès le début des années 80 ?
Le groupe Squarepusher se contente donc de reprendre un concept vieux de 35 ans.





SCORPIONS
WE BUILT THIS HOUSE


Le 05 Janvier 2015 par YNGWIE-COOPER


Dis M.Gegers, tu aurais pu rajouter Status Quo dans les vieux groupes toujours présents. Sinon ce single est très sympa bien que l'absence de solo soit un peu dommage. J'attends l'album avec impatience.





FLYING LOTUS
YOU'RE DEAD!


Le 05 Janvier 2015 par AZER


Bien que plus bordélique, You're Dead est plus accessible que les précédentes créations du sieur LOTUS, essentiellement de part la dominance sur la plupart des titres d'une ligne mélodique forte et facilement identifiable. "Tesla" et ses envolées de cordes, "Cold Dead" et son riff gras, véloce et entraînant, "Turkey Dog Coma" et ses guitares acérées et aériennes en sont un bon exemple.
"Never Catch Me" et "Coronus, The Terminator" présentent un FLYING LOTUS capable de mêler accroche et raffinement, voire énergie et morgue pour le premier, merci Kendrick LAMAR.
Le principal défaut de l'album est qu'il s'essouffle après "Ready Err Not", avec des morceaux peu mémorables et sans trouvailles sonores ingénieuses qui accrochent l'oreille. Heureusement, ces morceaux restent assez courts pour ne pas nuire à l'ambiance et la cohésion de l'ensemble. Un très bon cru en définitive, merci Saskatchewan pour cette attendue chronique !





QUEEN
THE COSMOS ROCKS


Le 05 Janvier 2015 par BOB


D'habitude je traine plus sur Nime que sur FP alors précisons juste que je suis un grand adorateur de Queen (parce que juste pas assez pour être fan). Ce groupe m'a fait sentir la première fois l'essence du rock. C'est grâce à lui que j'ai compris que l'on pouvait concilier, intégrité, qualité, évolution, sauvagerie et classe tout en ayant un succès énorme. En gros il est possible d'être le plus Trve tout en distillant de la variété. Qu'il peut y avoir de l'authenticité dans autre choses que le blues et le metal... et que l'on peut donc être extrêmement exigeant avec la soupe populaire musicale.
Je trouve que ta critique est par trop sévère. Les morceaux tiennent bien la route mine de rien. C'est juste un album sans prétention et plutôt sincère. Du genre, "on est des potes et on va faire un truc sympa". Certes ça va pas casser trois pattes à un canard mais ça tient la route.
Quand tu compares cet album aux deux autres grands retours de la même époque, à savoir Death Magnetic de metallicaca et Black Ice d'AC/DC, il a l'avantage d'apporter de la fraîcheur là ou le premier est une singerie de sa grande époque et le deuxième une resucée de recettes sympa mais semblable à toutes les précédentes.
A l'époque en tant que fan boy qui n'a que 3 albums physiques, j'aurais mis 5 étoiles. Maintenant et au regard de la discographie de Queen, je donne la moyenne à cet album, arrondi à 3 parce que c'est Queen+. Cela sachant que Hot Space est moins bon que Cosmos Rocks. Oui j'assume!





MUSK OX
WOODFALL


Le 05 Janvier 2015 par MR. AMEFORGEE

Salut,
les exemples que je donne sont ceux que Larochette cite comme ses influences quand il dit qu'il fait du néofolk. Il n'évoque pas Death in June, ni Sol Invictus.
D'ailleurs, si on réduit un genre, déjà restreint, à ses fondateurs, ça ne laisse plus grand monde: le néofolk existe depuis plus de vingt-cinq ans, ceux qui le pratiquent de nos jours ont un peu dépassé le post-punk et l'industriel des origines. Cela dit, il y a une sorte de constante: la plupart des groupes cités viennent tous plus ou moins d'autres genres (et bien souvent du metal). On pourrait ainsi avancer que le néofolk, définition actualisée, est une sorte de folk joué par des gens qui se situent hors de la tradition folk, et qui privilégient les atmosphères (comme je l'indiquais dans la chronique). D'ailleurs, j'aurais préféré utiliser le terme plus neutre de folk atmosphérique, mais on ne choisit pas l'étiquette des autres.







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