Le 03 Décembre 2014 par MARIE ALLOUX THONARD

Je suis pas d'accord quand on parle de rock progressif sur Hydra, même en influence. Le rock progressif est un style à part entière, c'est pas parce qu'une chanson est plus longue ou a une intro plus imposante que d'autres que c'est du rock progressif. Idem pour les chansons pompeuse comme Music de John Miles, là c'est longuet c'est pompeux, mais on est à des années-lumière du style.
Pour Hydra et St George c'est carrément l'amalgame à ne jamais faire.

Le 02 Décembre 2014 par LBY

Même si la BO d'Amélie Poulain est magnifique, ça fait du bien de voir qu'on ne connait pas Yann Tiersen que pour cela et qu'on l'aime pour autre chose! Elle est très étrange cette Rue des Cascades. On a tantôt l'impression que les musiques qui la sculptent viennent de très loin, d'une époque mi-enchantée mi oubliée; tantôt, elles sonnent comme sonne le présent. C'est à la fois le métal et le gris et à la fois l'eau qui ruisselle sur les galets et l'odeur de la mousse. Et dans cette rue là, on passe par la joie la plus sonore à la mélancolie la plus poignante... En fait, c'est "juste" un magnifique album...qui ne ressemble qu'à du Tiersen.

Le 01 Décembre 2014 par AIGLE BLANC

Quel bel hommage tu rends Erwin à cette grande dame de la pop music ! Sa discrétion n'a d'égale que sa sincérité. Je m'en vais de ce pas me plonger dans l'écoute de ses albums solo que je ne connais pas encore.

Le 01 Décembre 2014 par AIGLE BLANC

Bienvenue à toi Nosferatu. Ta prose venimeuse m'a ensorcelé. Vivement le plaisir de lire tes prochaines chroniques.

Le 29 Novembre 2014 par AIGLE BLANC

Excellent commentaire. Qui me ferait presque acheter l'objet du délit... Euh... Je crois que je plaisante... Quoi !!! Père Noël a enregistré ma requête !!! Mince alors! Tant pis, j'offrirai la galette à certains morveux de mon collège.

Le 28 Novembre 2014 par MK

J'adore « Just A Fantasy », quelle réussite !

Le 28 Novembre 2014 par KINGKILLING

L'album parfait pour se défoncer la gueule.

Le 28 Novembre 2014 par KINGKILLING

Si le début de l'album reste très décevant, s'orientant dans une veine pompeuse et superficielle très vite ennuyeuse ("December 4th", décidément insupportable), la suite vaut le détour. De ""Dirt Off Your Shoulder" à "Lucifer", c'est une tornade infernale, Jay-Z balançant son flow imparable sur des instrumentaux dantesques, puissants et denses (le rock "99 Problems", "Moment Of Clarity", apogée du disque).

Le 28 Novembre 2014 par CLANSMAN57

J'ai lu la chronique principale après avoir posté mon commentaire et je dois m'incliner devant autant de justesse...
Un grand bravo pour avoir su poser les mots sur cette oeuvre d'art!

Le 28 Novembre 2014 par CLANSMAN57

Acheté en 99,adulé pendant longtemps,puis délaissé pour explorer d'autres choses(heureusement hein)

Hier soir,je suis revenu dessus et je me reprends la baffe que je me suis prise à sa découverte...
Les doubles albums sont souvent inégaux,mais ici,je trouve que chaque morceau apporte quelque chose à l'ensemble.
Ces mecs savent faire rimer diversité avec qualité,ce qui n'est pas un mince exploit,surtout sur 28 titres...

En fait,on pourrait considérer Mellon Collie comme étant un hommage au Rock au sens large du terme,tellement diverses facettes de ce style sont abordées!

C'est quand même super bien composé,il y a une richesse au niveau instrumental que je ne retrouve dans aucun autre groupe estampillé "Grunge"(étiquette de merde).
Un beau travail est réalisé au niveau des arrangements également,on y trouve des breaks biens sentis et des passages surprenants,voire des curiosités expérimentales...

James Iha balance de très bonnes mélodies,simples,mais touchantes!
Corgan apporte un plus indéniable avec sa voix si particulière parfois accompagnée de celle de D'arcy qui ne démérite pas non plus,ainsi que le jeu de basse de cette dernière,parfaitement audible qui peut se faire très hypnotique par moments..
Chamberlin est impeccable lui aussi.
Ils ne sont pas de grands techniciens,mais ils savent toucher et faire voyager,ça vaut bien plus que les monstres de technique sans âme aucune.
Et puis cette richesse musicale évoquée plus haut l'emporte aussi sur la stérilité technique.

C'est parfois pop,virulent,bruyant,psychédélique,progressif,symphonique,mélancolique,planant,beau,laid,clair,noir, et j'en passe...

En abordant autant de facettes,on a droit à tout autant d'émotions différentes...

Bien entendu,certains titres m'ennuyaient au départ.Mais je crois que c'était plutôt dû à une certaine "maturité musicale" que je ne possédais pas encore.
Aujourd'hui,tout coule de source et c'est quelque part un soulagement de constater qu'on arrive à apprécier autant de facettes multiples.

Mellon Collie est ambitieux,mais pas prétentieux,car sincère et franchement génial!

Avec autant de matière sur l'opus,comment ne pas le considérer comme étant LE Monument du Rock des années 90?

Heureusement qu'ils étaient là...Car lorsque j'entendais le terme "Grunge"(...),je pensais immédiatement à NIRVANA et un malaise se créait en moi...
Sans les Citrouilles,je ne serais sans doute pas venu sur d'autres artistes placés sous cette bannière qui sont également de grande qualité!

Et pour finir,les morceaux puissants des Pumpkins sont les plus détonants dans ce style...
A bon entendeur...

Chef d'oeuvre absolu!

Le 27 Novembre 2014 par NONO

A mon commentaire précédent j'ajouterais que, comme le décrit si bien Erwin, "When all is said and done" traduit en une chanson le divorce d'Anni-Frid et Benny.
J'ajouterais, avec un certain humour noir, que cette chanson est la version "The winner takes it all", chantée par Anni-Frid cette fois. On pourrait donc supposer que, si ces deux chansons collent vraiment à la réalité, là où le divorce d'Agnetha était dans le mélo-dramatique déchirant avec "The winner....", celui d'Anni-Frid est moins dans la dentelle: "When all is said and done" est bien plus expéditif, plus démonstratif, plus colérique. Ici il n'y a pas d'état d'âme: c'est une engueulade chantée!
Tout ça pour dire que c'est fou ce qu'une chanson peut révéler si elle colle aux événements vécus !

Le 27 Novembre 2014 par NONO

J'ai pendant trop longtemps sous-estimé cet album, au profit de louanges inconditionnelles pour l'album précédent, "Super Trouper". Bien souvent, je jugeais d'emblée "The Visitors" comme le pendant synth-pop de "Super Trouper", avec une chute dans la facilité, les synthés et les machines, considérant qu'Abba avait méchamment pris le pli de la pop facile...
...Et Je me suis trompé lourdement !
Car si j'aime toujours autant "Super Trouper", désormais je méprise moins "The Visitors", qui receèle bien plus de trésors qu'on peut croire à première écoute. Effectivement, si on ne s'en tient qu'aux hit-singles ("One of Us" et "Head over Heels"), bien que très bons morceaux, on peut avoir une vue biaisée du disque en pensant que tout le reste sonne aussi "pop". Alors que ce n'est pas le cas: on retrouve ici beaucoup d'Abba traditionnel, bien qu'avec une production plus moderne, c'est vrai.
Des titres comme "When all is said and done", "Soldiers", "I let the music speak" ou "Slipping through my fingers" sont des merveilles pleines d'émotion et de subtilité, qui restent en droite ligne des chefs d'oeuvres classqiues du groupe. Ce disque n'est donc pas un simple alignement de tubes pop de 3 minutes.
Ce disque, donc, vaut encore largement le coup.
Ce sont les 2-3 titres qu'Abba sortiront après, au moment de leur dissolution, que je n'aime pas du tout ("Under attack" et "The day before you came" par exemple, sont très médiocres à mon goût). Il valait donc mieux que le groupe arrête après cet album.
Enfin, pour en revenir au sujet, ce qui m'a surpris je l'avoue, c'est que "The Visitors" a même certaines qualités que "Super Trouper" n'a pas, comme le fait d'être tout aussi varié mais plus homogène que son prédécesseur, où on avait un peu le sentiment de passser du coq à l'âne d'un titre à l'autre.
Seul critique que je formulerais à l'encontre de "Visitors": c'est une petite baisse de régime sur les 3-4 derniers titres, bons au demeurant, mais les deux premiers tiers de l'album sont mieux. Alors que "Super Troupe" est un disque sans aucune baisse de régime.
En bref, je dirais que "The Visitors" et "Super Trouper" sont parfaitement complémentaires et constituent à eux deux la clé de voûte artistique d'Abba.

Le 26 Novembre 2014 par SAM SUFFY

Ta version, celle de 1993, est celle parue chez Silex/Auvidis. Je crois qu'elle n'est plus disponible à la vente, suite à une sombre affaire de business (collector !).
On trouve aujourd'hui uniquement la version Barclay, avec le track listing suivant :
1.Plac’h Landelo
2.Diwar va skaoñv
3.Gwerz ar vezhinerien
4.Tio, tio
5.Dañs
6.Ar verjelenn
7.Ar bugel koar
8.Ar goulenn
9.Iwan Gamus
10.Ur vag a Vontroulez
11.Biskoazh kement all !
12.Gwerz an aksidan
13.P'edon war bont an Naoned
14.Ti Eliz Iza
Sur "ta" version, le son est plus brut, le tout est visiblement moins travaillé, arrangements compris, mais le chant est à mon avis meilleur, plus "habité" que sur la version Barclay qui est un réenregistrement, agrémenté de quelques morceaux inédits, le tout dans un ordre différent. Sur la version Barclay, néanmoins, les inédits valent le jus ( dont une berceuse, "Tio, tio", que je chante encore à mes enfants).
C'est mon (mes) albums préférés de Prigent, avec un Mini CD 4 titres paru à l'époque du 2ème album, qui comporte un remix renversant de "E trouz ar gêr" (teknoz remix by Aleph), plus les versions single, irrésistibles, de "Ar rannoù", "Ar wezenn dar" et "An hentoù adkavet". Egalement introuvable aujourd'hui, je pense, et c'est fort dommage.
"Ar gouriz koar" est un disque qui vous prend aux tripes et ne vous lâche plus. J'en ai décortiqué les lyrics, appris par cœur la plupart de chansons, que je connais encore malgré les années. Séminal !

Le 25 Novembre 2014 par LBY

Il y a des fées qui savent le rester, même quand elles succombent au chant des sirènes qui hantent les bureaux de Sony-Universal!..
Un très bel album ailé et gracieux..

(mais l'indétrônable joyau du pays des fées restera le SongBook 2!)

Le 24 Novembre 2014 par MAYOU

Je doute de la durée de vie de cet album, mais c'est bien là son seul défaut ! Addictif, il ne souffre pas du syndrome de l'album à singles rempli à ras-bord de chansons remplissages, comme la plupart des albums de pop mainstream. Ici on enchaine les hits, et la voix de SIA est aussi prenante dans ses moments les plus intimistes à la LANA DEL REY ("Straight For The Knife") que lorsqu'elle décide de pousser un peu plus ("Chandelier"). Un album à prendre tel qu'il est, sans prise de tête et parfait dans son genre.

Le 24 Novembre 2014 par ANONYME

Vous ne parlez pas une seule fois de la voix du chanteur.
Outre les choix artistiques que vous n'appréciez pas, sa voix n'est tous de même pas commune et l'album est très peu retouché si l'on écoute la version du cd ou sa voix à la télévision.
De plus, je trouve qu'il y a un certain manque de respect vis à vis du publique de l'artiste.
Cet article est donc inapproprié et j'ajoute qu'il est facile de critiquer alors qu'il débute seulement sa carrière. Il serait donc souhaitable d'attendre de voir la suite et de laisser les jeunes talents s'exprimer plutôt que de les casser de la sorte.


Si je dois donner un avis sur l'album, toute ma famille est conquise par le chanteur qui nous apporte le soleil alors que nous entrons tout juste dans la saison froide.

Le 23 Novembre 2014 par NORTHMATHR

Je ne sais pas trop quoi en dire, étant un néophyte total en matière de Jazz et surtout des courants mystérieux de cette époque (Avant-Rock, Zeuhl, Krautrock, etc...), mais je n'avais jamais entendu une musique pareille, aussi étrange, énigmatique, ritualiste et envoûtante. C'est clairement une musique en dehors de son temps, et absolument géniale.

Le 23 Novembre 2014 par AZER

Cet album peut être considéré comme le crossover ultime entre la musique contemporaine et la musique mainstream, ce qui pourrait être une mise en abîme si l'art contemporain n'était pas tourné en permanence sur l'acte de création et non sur ce qui découle de cette création (l'œuvre d'art en question), et si la musique mainstream n'était pas ce qu'elle est.
Concrètement, prenez d'un côté la supercherie mégalomane des milieux arty-trendy et faîtes la copuler avec la soupe dance mainstream dont se gargarisent les masses populaires. Le moins que l'on puisse dire, c'est que leur rejeton a de quoi faire peur.
Autant le dire tout de suite, je ne m'attendais à rien et je n'ai pas été déçu. Tout le décorum brodé de hype me semble être le cache-misère de la médiocrité du résultat, en attestent Do What U Want et Jewel'n'drugs, manifestes évidents du bon goût made in GAGA.
Pas de note pour moi, vu que je ne suis évidemment pas la cible de ce pur produit marketé.

Le 22 Novembre 2014 par KIWICHOU

J'ai écouté Run Run Run, le premier single qui est sorti. J'étais restée sur ma faim : c'était pas mal mais ça ne décollait pas, la chanson était très platonique avec aucune envolée. Mais je me suis dis : pourquoi pas ?

Puis j'ai écouté le reste...

Dommage.

Le 22 Novembre 2014 par EL PACHENKA

Groupe découvert lors de la B.O. (et dans le film) de The Crow d'Alex Proyas en 1994 avec une version de "Time Baby".

Il me tarde à découvrir Medicine personnellement !