Le 24 Mai 2014 par THIERRY

Accro à DEEP PURPLE depuis de longues années. En 1993, DEEP PURPLE n'est pas pour moi dans sa période la plus créative, ils se cherchent à nouveau, preuve s'il en est, après un album très F.M "slaves and masters", pas forcément raté, pas forcément réussi, le groupe nous gratifie d'un album plus "métal" ce "the battle rages on". Je pense que le groupe est paumé et ne sait plus très bien quelle orientation choisir, sans parler des problèmes d'égo de Mr Blackmore, de la mauvaise ambiance parfaitement soulignée par RED ONE.

Quand on a plus trop d'idées neuves, on fait des compromis et on tente de suivre les modes. Hier, le F.M, en 1993, le retour du "heavy métal" pur et dur. Attention, DEEP PURPLE garde sa personnalité mais l'enrobe différemment pour un résultat pas toujours concluant.

Moi non plus je ne partage pas l’enthousiasme de RED ONE, cet album est presque insignifiant, hormis quelques morceaux corrects, le groupe n'arrive pas a nous emporter comme avant. DEEP PURPLE évite le naufrage grâce à son savoir-faire. Le morceau éponyme est le seul morceau pouvant s'insérer dans un best of sans problème. on appréciera le rapide "a twist in the tale", l'épique "anya"...et encore ils ont fait beaucoup mieux dans le genre, "nasty piece of work", "solitaire" ont aussi leurs qualités...par contre le reste c'est du Hard rock de seconde zone, sans génie. "lick it up", "time to kill", "ramshackle man","talk about love", "one man's meat" sont franchement anecdotiques et peu de chances qu'ils soient réhabilités un jour.

On connait l'histoire, Blackmore prend la porte et le groupe finira par retrouver une véritable direction et un nouvel élan créatif sur le prochain opus grâce au nouveau venu, Steve Morse, capable à la fois d'apporter une certaine sérénité dans les rangs, son talent et de galvaniser le reste du groupe
Merci Mr Morse, ils en avaient grandement besoin.

2.5/5

Le 24 Mai 2014 par AZER

Bien qu'il soit bien trop varié, ce disque est incroyablement jouissif ! 5/5 obligatoire !

Le 24 Mai 2014 par COYOTE 70

MOONFLOWER est vraiment une synthèse de la musique latino-rock des années 70 .
Cet album annonce avec pertinence l'arrivée d'un nouveau souffle musical , l'entrée dans le son et les arrangements musicaux des grandes années 80.
L'écoute de cette merveille donne des frissons ,que ce soit les morceaux studio ou live on approche la perfection , les morceaux se suivent dans une suite des plus agréable , chaque note de musique de chaque insrtument tombe avec la précision d'une horloge suisse, la guitare de carlos vole dans le ciel d'harmonie en harmonie sans jamais vouloir revenir sur terre , on frise l'infarctus , impossible d'en sortir indemne !!

J'écoute cet album en moyenne 1 fois par semaine depuis plus de 30 ans ,et c'est toujours du bonheur.
Merci santana.
Merci pour votre site!

Le 24 Mai 2014 par RAMON

Quand je lis que les frères Dubos ont autant de personnalité qu'un tronc d'arbre, je m'insurge !
Il faut vraiment ne pas apprécier la nature (et les petits oiseaux) à sa juste valeur pour dire un truc pareil, car voyez vous il existe des arbres centenaires et même millénaires (car intrinsèquement l'arbre est immortel) sur cette planète, des qui en ont vu passé des hordes de petits br___eurs qui braillaient des niaiseries, aussi bien que des conquistadors en quête de gloire et d(e disques)'or.
Ils pourraient en chanter long sur à peu près tous les sujets si on savait les écouter !
Le mystère du Graal, n'en est pas un pour ceux là (je parle des arbres), ils ont survécu à tous les vents contraires, ont abrité un jour ou l'autre les enfants du solstice, en ont passé des nuits blanches à causer de la route avec la madone sans jamais perdre l'équilibre, on peut même dire que se sont des récidivistes.
Sinon avec le bois de ceux qui sont morts (les arbres, what else ?) on peut (aussi) fabriquer des poupées russes ou encore des meubles.
Que peut on fabriquer avec un disque de KYO ?
Rien.
Même pour caler un meuble, ça le fait pas.
L'hypothèse du frisbee évoquée avec talent par un autre chroniqueur sur ce site concernant une autre représentante de la qualité made in France ne convainc pas plus.
C'est pas utile de risquer de se couper après s'être écorché les oreilles.

Mais clarifions les choses: on pourrait croire que je commente là un truc que je n'ai pas entendu…malheureusement non, j'y ai eu droit, piqué que je fus par la curiosité alors que je découvrais avec stupeur que l'objet du délit à peine sorti de la menuiserie, encore fumant comme la bouse dans le soleil de l'été, se trouvait à portée de main chez des amis auxquels je rendais visite.
N'écoutant que ma témérité je me résolus à perdre quelques dizaines de minutes de mon temps pour découvrir ce truc improbable, la moralité de l'histoire étant in fine qu'effectivement la curiosité s'avère parfois être un vilain défaut.
KYO avant c'était nul, VEGASTAR et PLEYMO aussi.
D'EMPYR je n'ai presque rien entendu si ce n'est un truc qui rappelait furieusement A PERFECT CIRCLE, donc dans mes souvenirs, ce n'était pas si .mauvais, mais bon… Au moins on pouvait penser que nos grands ados avaient grandi, qu'ils avaient laissé tomber le Yop pour passer aux boissons pour homme.
Visiblement non.
KYO c'est le zéro, les arbres l'infini.

Le 23 Mai 2014 par LEO

J'ai découvert TALK TALK à la sortie de ce 1er album en 1982 et c'est toujours mon préféré du groupe 32 ans après... (sans doute l'effet nostalgie mais pas que !).
Certes, il y a un fort relent de DURAN DURAN dans les sonorités et la majorité des morceaux mais le fait que EMI ait imposé Colin Thurston à la production n'est sans doute pas étranger à celà ! (rappelons que Thurston avait auparavant produit les 2 premiers albums de la bande à Simon Le Bon !).
À noter KID66, que lors de l'enregistrement de The Party's Over (fin 81-début 82) le synthétiseur Yamaha DX7 n'était pas encore apparu (sa production débute en 1983), donc aucune trace de celui-çi sur cet album !
De toute manière ce qu'il y a de plus gênant ici, ce ne sont pas forcément les claviers mais plutôt la batterie électronique qui ancre indubitablement le disque dans son époque !
Pour en revenir à ce 1er 33t assez homogène, j'en aime quasiment tous les titres, avec cependant une grosse baisse de régime sur "Mirror Man" et "Another World" (curieusement sortis tous 2 en singles !).
Mes titres favoris sont sans doute "Talk Talk", "The Party's Over", "Have You Heard The News?" et le mélancolique "Candy".
L'album It's My Life sera globalement dans un style assez proche mais avec une production quand même différente (mais néanmoins très typée 80's).
Je suis déjà moins friand de The Colour Of Spring, album de transition dont quelques titres lorgnent déjà vers les 2 opus suivants, Spirit Of Eden et Laughing Stock que je n'ai jamais pu encaisser jusqu'au bout sans un mal de crâne carabiné ! (l'écriture épurée chez TALK TALK, n'est vraiment pas pour moi. je préfèrais la formation dans un registre New Wave-Pop classique).

Le 23 Mai 2014 par KUROSAWA-SAN

D'accord avec Mr G sur ce point (G). Cet album est pour moi un chef d'oeuvre. Il n'y a qu'un seule chanson qui fait un peu redite, le reste n'est que sublimes mélodies et paroles éthérées. Je ne connais pas du tout l'artiste, et c'est Paris Seychelles qui me l'a fait découvrir. Mais je ne prendrais pas la peine d'écouter les opus précédents de peur d'être décu par leur style radicalement différent. Meilleur skeud français 2013.

Le 23 Mai 2014 par TARTE

En bon conformiste, je trouve qu'Acquiring The Taste est un album fabuleux. Les morceaux sont des rêves étranges peuplés de silhouettes déformées et de perspectives impossibles... L'aspect expérimental n'est pas ostentatoire et se dévoue entièrement à la musicalité du disque. Certains passages, même s'ils ne durent parfois pas plus de dix secondes, peuvent servir de base à des albums entiers tant ils sont riches. La dimension "Musique Classique" se fond dans l'Art Rock et donne naissance à des choeurs fantomatiques, des pulsations de timbales, des fioritures de percussions diverses et des motifs extensibles ou en permanente évolution...
Une merveille.

Le 23 Mai 2014 par POWERBEAUF

Long, trop long, et bordélique, mais tellement génial ! Un pavé monumental qui a totalement mérité sa palette de disque de platine.

Le 22 Mai 2014 par KUROSAWA-SAN

J'écoute de tout, surtout du prog, du jazz, du metal et j'en passe. Je suis très eclectique. J'écoute des artistes "hermétiques". Mais là c'est inécoutable, à part le dernier morceau passable. Et dire que c'est l'opus plus accessible d'après des fans... Cela a très mal vieilli et c'est un non sens musical pour moi. Chacun ses gouts.

Le 22 Mai 2014 par MR G

Julien Doré se sublime sur cet album dédié à l'amour et ses ruptures! L'artiste apparaît plus naturel que jamais et touche les cordes sensibles de l'auditeur! Cet album est une magistral réponse a ceux qui voyaient encore en Julien un rescapé de la Nouvelle star! Cet artiste est immense par son talent qui explose au grand jour! L'album est un chef d'oeuvre, tout simplement! Julien est un grand artiste naturellement!

Le 21 Mai 2014 par KUROSAWA-SAN

Trouvé en vynil sur une brocante, je dois avouer que je suis sous le charme de ces voix et cette ambiance médiévale, avec du chant français en plus! Certaines mélodies à la guitare sont savoureuses, même si on est loin de Satriani! Vraiment original et...marquant.

Le 21 Mai 2014 par FRED

METALLICA, SLAYER et autres EXODUS ont du bien écouter cet album...

Le 21 Mai 2014 par YEC'HED MAT

D'accord avec Yves... mais !
Mais, sans les premiers, pas de seconds. C'est marrant comme ce sont des gens à priori étrangers à la communauté brittophone traditionnelle qui ont donné à ceux qui en sont issus l'envie de s'exprimer dans leur langue à la face du monde entier.
Les premiers ont servi de boutefeu à tout un revival qui se prolonge toujours depuis la fin des années 60... et qui n'est pas prêt de se finir. Merci à eux. Sociologiquement, d'ailleurs, ce phénomène est tout a fait révélateur... l'héritage du symbole, de la "vache" (ar vuoc'h !) et de "yezh ar vezh" (la langue de la honte... inculquée à l'école).
Et Servat, dans tout ça ? Un géant !

Le 21 Mai 2014 par FRED

L'album est en écoute sur le site officiel de Dick : http://www.dick-rivers.com/
Ce gars serait-il le Johnny Cash français ?
En tout cas, des CHATS SAUVAGES à aujourd'hui, il est sur la bonne voie.

Le 20 Mai 2014 par THIERRY RAOULT

La chronique donne envie d'écouter.

Je n'imaginais pas une seule seconde d'écouter le moindre album de Dick Rivers. Si je le trouve, je l'écouterai une fois.

Le 19 Mai 2014 par NONO

En complément de mon commentaire précédent, j'avoue n'avoir appris que tardivement que la chanson "Souvenir" était un hommage au regretté Ian Curtis.
Il s'agit donc d'une chanson qui est presque un requiem, d'où son coté triste.
Mais avant de connaître le thème exact de la chanson, j'étais très étonné quand les internautes qualifiaient ce titre de "triste".
Je ne saurais transcrire cela par des mots exacts, mais pour moi, cette chanson m'a toujours évoqué quelque chose de solaire, d'estival, le souvenir de vacances d'été, des images de ballades le long d'une plage, ou d'une ville sous le soleil d'été (comme pourrait le suggérer la pochette du 45 tours), bref, une certaine nostalgie, mais une nostalgie davantage rêveuse que triste.
En tous cas vous n'imaginez pas la puissance évocatrice que cette chanson a toujours créé en moi, une chanson qui pour moi est bien davantage qu'une chanson, mais une véritable atmosphère.

Le 19 Mai 2014 par ARGONAUTE

Moi je dirais plutôt "enfin un bon album de Tori Amos !" qui prend une meilleure trajectoire depuis quelques années.
On s'ennuie moins que sur la plupart de sa discographie où les titres s’enchaînent sans qu'on retienne grand chose tellement c'est fade ! Effectivement elle est plus proche de Kate Bush que sur ses autres albums et tant mieux. Mais pour tous les fans de Kate Bush (dont je fais partie, et c'est pour ça que j'écoute assidûment Tori, avec agacement et beaucoup d'espoirs déçus), la vraie perle et véritable successeur est norvégienne : Susanne Sundfor. Allez donc jeter une oreille à "The silicone Veil". Par moment on s'y méprendrait... elle renouvelle le genre de la magicienne par des mélodies somptueuses et lorgnant sur l'électro, et pour ce qui est du piano, la mère Tori repassera.
Une fois ce miracle entendu, on reparlera du cas Tori et de son manque chronique d'inspiration et de son recyclage permanent de recettes vieilles de 20 ans.
Un assez bon album quand même, mais encore un peu inégal malgré tout.

Le 19 Mai 2014 par IEN

Pour avoir assisté au concert de Nîmes l'été dernier, je pense que M.Young se fout complètement de son public et fait ce qu'il lui plait, c'est à dire jouer pour les copains et se regarder le nombril avec des larsens épuisants et de fausses fins de chansons interminables à la pelle ...

Je n'ai pas écouté ce nouvel album mais si le son de la guitare est aussi pourri que celui de sa folk lors du concert ce doit être effectivement assez pénible à écouter.

Le 19 Mai 2014 par LE STO

Effectivement quelques reprises qui touchent de par leur aspect dépouillé et leur interprétation. L'émotion joue quelques instants, mais se farcir ce son pourrave est impossible plus de deux écoutes.
Ce disque me donne un peu l'impression de jouer à l'artiste contemporain qui fait des oeuvres dérangeantes juste pour la beauté du geste et nous faire tilter qu'on ne comprend rien à l'art. Moi j'ai pas accroché du tout!

Le 19 Mai 2014 par DARK SCHNEIDER

@ Tonio : mon commentaire était une réponse à celui de Nono, pas au tien qui n'était pas encore publié quand j'ai rédigé le mien. Et je suis entièrement d'accord avec toi.