Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 794 795 796 797 798 799 800 801 802 803 804 805 ...>...>>... 1159
Comment poster un commentaire ?


SIOUXSIE AND THE BANSHEES
A KISS IN THE DREAMHOUSE


Le 25 Juin 2014 par LEO


Pas vraiment du même avis que ARP2600.
Pour moi A Kiss In The Dreamhouse est un excellent album et certainement l'un des plus accessible de SIOUXSIE & THE BANSHEES, malgré son aspect étrange et expérimental !
La structure des compos de l'album et de "Cascade" en particulier est répétitive comme la majorité des titres de Juju, mais pour un résultat tout autre grâce à l'ajout de claviers, d'effets divers et d'arrangements luxuriants.
Le coloré "Green Fingers" et l'évanescent "Obsession" viennent confirmer la tournure psychédélique donnée à A Kiss In The Dreamhouse. en celà, l'album est proche de Kaleidoscope, mais en bien plus cohérent !!!
Le festif "She's A Carnival" et l'hypnotique et envoûtant "Circle" nous perdent dans un tourbillon de sons, tandis que le doucereux et sensuel "Melt!" nous fait fondre.
L'énergique "Painted Bird" est le morceau le plus enlevé du lot.
Par contre j'accroche beaucoup moins à "Cocoon", un genre de truc paresseux et jazzy qui se traîne en longueur pour pas grand chose.
"Slowdive" n'est pas franchement remarquable non plus et pas du tout mélodique, son intérêt principal résidant dans son ambiance à base de Violons et de choeurs.
Le single "Fireworks" sorti 6 mois avant A Kiss In The Dreamhouse (qui apparaît dans les bonus de la version remastérisée de l'album en 2009) annonçait déjà ces nouveaux choix musicaux.
Le groupe prêt à partir en tournée devra hélas se séparer de John McGeoch qui souffrait de dépression nerveuse et de problèmes liés à l'alcool à ce moment là.
Steven Severin fera donc appel une nouvelle fois (comme fin '79) à Robert Smith pour pallier à son absence.....





PASSI
LES TENTATIONS


Le 25 Juin 2014 par LOUVOIR


Yeah "Les Tentations" dans la BdD de FP, voilà qui fait plaisir tant cet album est une tuerie!
Une tonne de classiques ici, PASSI se démarque de la concurrence par sa capacité à pondre des tubes hip-hop à la pelle : "Je Zappe Et Je Mate", "Il Fait Chaud",... Mais il est aussi très bon sur des morceaux plus sombres comme les trois petits derniers qui finissent cet album plutôt lumineux sur une note pessimiste.

Un très bon album, ultra accessible avec des morceaux formatés radio certes, mais ne se laissant jamais aller à la facilité.





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
JUJU


Le 25 Juin 2014 par LEO


Le single "Israel" avait laissé entrevoir un son plus sombre et orienté guitare que sur le bien nommé Kaleidoscope qui proposait diverses ambiances et où les claviers étaient de la partie. Juju est encore plus marqué par le jeu de John McGeoch.
L'album démarre un peu en trompe-l'oeil avec les 3 premiers titres: "Spellbound", "Into The Light" et "Arabian Knights".
Ce sont les morceaux les plus accessibles de tout l'album et ils sont mes morceaux préférés sur Juju car bien plus mélodiques et chiadés que le reste.
À partir de "Halloween", les guitares deviennent un peu plu tranchantes et les compos plus dépouillées et tribales.
Les incantatoires "Monitor", "Nightshift", "Sin In My Heart", "Head Cut" et "Voodoo Dolly" confirment celà. on est plus proche du répétitif et de la transe (ou de la litanie, c'est selon!) que de la pop façon "Hong Kong Garden", "Happy House" ou "Christine"!!!
C'est aspect écorché et plus près de l'os n'est pas ce qui me plaît le plus chez SIOUXSIE & THE BANSHEES (je préfère la diversité et les contrastes chez eux), néanmoins j'avoue que Juju est sacrément bien foutu dans sa construction et ses arrangements, même si il n'est pas mon préféré dans la disco du groupe.
En un sens, Juju est plus la suite logique des 2 premiers albums du groupe que Kaleidoscope, bien plus proche du psychédélique et bigarré A Kiss In The Dreamhouse à venir...







The BYRDS
FARTHER ALONG


Le 25 Juin 2014 par BAYOU


Critique encore sévère, ce n'est pas le meilleur album du groupe, mais « Tiffany Queen » est léger, aérien avec son riff à la Chuck Berry et son refrain qui reste dans la tête, « Farther Along » est bien représentatif de la photo sur la pochette.
Le problème vient surtout des nombreux changements de musiciens, mais cette formation ne démérite pas, il semble surtout que le groupe avait fait le tour de son exploration musicale et qu'il a été dépassé d'un côté par la vague country-rock qu'il avait initié et de l'autre par les groupes comme CSN&Y et dans un autre genre The EAGLES.
Ce dernier album contient de belles choses et McGuinn démontrera par la suite dans sa carrière solo ses qualités de compositeur et d'instrumentiste et il reste la figure centrale et le leader de ce merveilleux groupe.





Steve ROACH
NOW


Le 24 Juin 2014 par NORTHMATHR


Je ne pensais pas voir un jour Steve ROACH sur FP ! Tant mieux !

Concernant l'album, l'influence de la Berlin School se fait grandement ressentir effectivement, mais comme ça reste inventif et bien ancré dans son époque propre, on ne peut qu'adhérer. Écoutez donc "Growth Sequence", on dirait du Tangerine Dream des Virgin Years (deuxième période) ou des Blue Years. "Inquest" par contre possède selon moi des relents de "Spiral" de VANGELIS, ce qui n'est pas pour me déplaire.

Du tribal et du planant (textures éthérées) comme sur "The Ritual Continues" et "Cloud Motion", respectivement, préfigurent de ce que nous proposera Steve ROACH par le futur. Pour un premier album, c'est une réussite qui mélange influences et premiers extraits de ce qu'il adviendra. Pas un chef-d’œuvre pour autant, mais un patchwork intéressant et prometteur.

Pour avoir une grosse partie de sa discographie, je confirme que ROACH est un des sommets de son domaine. Il abandonnera progressivement ses influences Berlinesques pour proposer quelque chose de plus "new-age" mais ne succombant jamais à la mièvrerie propre à ce style, c'est ce qui fera sa force, que ce soit dans le tribal ou dans le cosmique !





Ian ANDERSON
HOMO ERRATICUS


Le 23 Juin 2014 par MADARKA


Ian Anderson désirait publier un disque se rapprochant du heavy metal (pour faire écho à cette vieille histoire de Grammy Awards avec Metallica !), et cela donne finalement «Homo erraticus », où l'on perçoit effectivement un (relatif) durcissement de ton, avec une quasi absence de passages acoustiques. Solide dans sa construction et son développement narratif, mieux joué et réalisé que TAAB 2, ce nouvel opus d'Anderson ne propose cependant rien de bien neuf. Sympathique mais dispensable.





MIDNIGHT OIL
BREATHE


Le 23 Juin 2014 par MADARKA


Joli flop commercial à sa sortie, Breathe signera la fin du succès international de Midnight Oil. Réalisé par le canadien Malcom Burn (qui a participé également à l'interprétation et à l'écriture), il est surtout marqué par le désengagement - momentané - du batteur et co-compositeur principal Rob Hirst. En résulte un disque mou, sans grand relief et empreint d'une coloration "nord-américaine" faisant désormais passer la musique des Oils pour une sorte de pop rock générique, sans réelle imagination. On est loin des expérimentations audacieuses du début des années 80, ou encore des tubes de la période Diesel and dust/Blue sky mining. Quelques beaux moments néanmoins, à chercher parmi les plages les plus intimistes du disque.





Mike OLDFIELD
CRISES


Le 22 Juin 2014 par SGT JAKKU


Crises souffre de son statut de "grand classique des années 80", le genre de disque que l'on déniche facilement dans les foires aux puces tant il s'en est vendu en 1983 surtout grâce à Moonlight Shadow, tube ultra diffusée à la radio. Et comme aujourd'hui, il est souvent de bon ton chez les critiques de casser ce type d'album, trop "mainstream" et à la production trop ancrée dans son époque, Crises se paie aujourd'hui une bien mauvaise réputation...

Certes, on peut lui reprocher son aspect calculé et son manqued'authenticité mais on aurait tort d'ignorer la talent qu'il faut réunir derrière pour commettre ce genre d'exploit musical : réaliser un album calibré avec une certaine exigence artistique sans trahir ses origines musicales.
Non seulement ce n'est pas à la portée de tous mais on n'y arrive pas à tous les coups (Mike le démontrera par la suite).

Le huitième projet de Mike Olfield est le résultat des quelques années de recherche du compositeur qui souhaitait ardemment réaliser un album aussi brillant, tubesque et complexe que Arrival du groupe Abba qui l'avait fortement
impressionné dans les années 70. Il y eut quelques tentatives plus ou moins réussies avec l'album Platinum et quelques titres sortis sur les suivants.
Mais avec Crises, Mike atteint enfin son objectif tout en conservant son style progressif, ses envies guitaristiques et électroniques. Crises est de ce point de vue une réussite totale. Il n'y a qu'à écouter la face b pour se rendre compte à quel point c'est la classe internationale : morceaux pop ultra bien écrits, efficaces et inspirés, pas de déchets, pas de temps mort, les titres s'enchaînent rapidement, plusieurs styles sont abordés et l’homogénéité est maintenue grâce à une production fine, solide et typée. Mission accomplie pour Mike !

Parlons maintenant du gros morceau, Crises, qui donnera son nom à l'album ainsi que son concept visuel et textuel.
Là aussi, Mike synthétise, se débarrasse du superflu pour ne garder que l'essentiel. Ainsi, la pièce longue de 21 minutes est organisée en 4 parties bien distinctes, chacune possédant des thèmes forts et efficaces. Mention spéciale pour la troisième partie : Mike a rarement composé un thème aussi beau que celui-ci. C'est tout simplement magnifique.

N'oublions que Crises représente aussi une prouesse technique. En 83, cet album avait un son incroyable, mélangeant astucieusement le monde de l'analogique, de l'acoustique et celui du digital avec l'utilisation classieuse du Fairlight. Bref, mis à part quelques sonorités très 80's, c'est une production puissante qui vieillit bien et peut encore aujourd'hui impressionner l'auditeur attentif (le final de Crises et sa superposition monstrueuse de batteries).

Ainsi, définir Crises comme le "Breakfast in America" de Mike Oldfield, le "So" voire le "Rumours"de sa discographie est vrai tant ces albums ont en commun les mêmes caractéristiques : succès commercial au rendez-vous et grande qualité artistique.

Par la suite, Mike tentera de réitérer ce coup de maître sans jamais arriver à atteindre le niveau de Crises : Discovery un poil moins bien, Islands encore moins bien, Earth Moving définitivement moins bien, Tubular III,etc... ainsi va la vie.





GENESIS
FROM GENESIS TO REVELATION


Le 22 Juin 2014 par SGT JAKKU


From Genesis...est l'objet de collection à posséder pour tout fan de Genesis qui se respecte. Pour les autres, il n'est bien sûr pas très utile de s'y attarder.

Parlons du disque : il oscille entre le mauvais, assurément, l'anecdotique aussi et la surprise, car certains titres valent franchement le coup. A l'écoute des Where The Sour Turns To Sweet, In The Beginning, In The Wilderness, One Day, Window, In Limbo et A Place To Call My Own, on est frappés de constater que déjà, le groupe se défendait très bien mélodiquement. Le talent est là, pas la musique mais pour du pop/rock 60's, c'est honnête. Ce qui fait de From Genesis...un objet intéressant malgré tout.

Pour cette seule raison, il mérite un 3 (un 2 aurait certes été plus juste sans cette particularité).





The BEATLES
SGT. PEPPER'S LONELY HEARTS CLUB BAND


Le 22 Juin 2014 par IAMTHETRUEHALO


Culte, assurément. Après de la à parler du meilleur album ever...
Honnêtement je trouve ce disque trop fouillé, bordélique... il comporte de bons morceaux mais ils sont noyés dans le flot d'arrangements ou artifices live rendant le tout lourd, indigerable. Il est vrai que le rock psychédélique et la musique des années 60 me laissent bien froid en général, il était donc normal que je ne puisse rentrer dans le délire de cet album. Je ne nie pas l'influence immense de cet album, des BEATLES et du psychédélisme dans la musique mais je ne peux les apprécier totalement tels quels. Modernisés et mariés avec d'autres genres ils feront merveille (Surrender des CHEMICAL BROTHERS, OASIS, MGMT, j'en passe énormément) mais pris séparément ils m'insufflent rapidement de l'ennui, n'en déplaise aux puristes. Trop de drogues, de délire musical, d'onirisme surréaliste douteux... le point "over the top" de la pop.





FLEETWOOD MAC
BARE TREES


Le 21 Juin 2014 par TERRY


Juste grandiose. Une collection de chansons admirables, aussi bien celles de Welch et Kirwan que de Christine McVie. Ma préférence va ici à "Sentimental Lady", "Dust", "Homeward Bound" et "Child Of Mine", plus le sublime instru "Sunny Side Of Heaven". Album trop méconnu. Pochette, de plus, superbe !





DAFT PUNK
GET LUCKY


Le 21 Juin 2014 par EL PACHENKA


"Get Lucky" c'est funk et donc c'est cool! Genre de chanson qui casse les couilles comme tant d'autres, décor sonore émané de stations FM ennuyeuses lors de journées qui le sont toutes autant!





Chris REA
THE RETURN OF THE Fabulous HOFNER BLUE NOTES - 1


Le 21 Juin 2014 par FRANCK


Je vous remercie de rendre enfin justice à la discographie de cet immense artiste . En tant que fan d'une part des shadows et ensuite de Chris bien évidemment je vénère cet album où Chris fait étalage de son génie j'ose le mot.





Mike OLDFIELD
Q.E.2


Le 21 Juin 2014 par SGT JAKKU


Souvent considéré comme un album de transition qui annonce Five Miles Out, QE2 est rarement cité par les fans or il y a des pépites. Le meilleur du disque tient sur les deux premiers morceaux. Taurus I allie la musique celtique, le rock et l'électro avec une aisance, une innovation et une classe remarquables. La montée finale avec le vocoder est imparable. Sheba, quant à lui, expérimente une forme originale : la chanson instrumentale dont les paroles relevant presque de l’onomatopée nous rappelle les chansons des Cocteau Twins des années plus tard.
QE2 est aussi un album de reprises. Mike, grand fan de l'album Arrival des Abba, produit une version magique et sublime du titre éponyme. Il réarrange, façon Oldfield, Wonderful Land et rend ainsi hommage aux Shadows, groupe qu'il adulait, enfant.
Quant aux titres de QE2, s'ils sont moins marquants, ils n'en demeurent pas moins excellents et cohérents, entre musique traditionnelle, rock et avant-gardisme.
En somme, QE2 est un album important, de transition certes mais génial et à milles lieues des productions sans inspiration du compositeur dans les années fin 90 et 2000.





CHIC
TAKE IT OFF


Le 20 Juin 2014 par TOTO LE 22


Je dirai un gros "+1" pour cette chronique, en effet, seulement Chic n'a jamais été réelement un groupe de disco, et puis quand on entends Good Times un autre grand classique du groupe, ça sonne plus funk de disco, pourtant ils ont fait autant de succès avec l'album Risque que pendant la période C'est Chic avec I Want Your Love etc.
Ce qui est réelement disco chez Chic c'est leur premier album avec Dance Dance Dance, après on entends de plus en plus de funk et de moins en moins d'aspect Disco.
Un groupe qui a eu sa période disco mais à l'inverse a fait plus de succès pendant la période funk 80's, c'est Shalamar.





JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 19 Juin 2014 par MR TINKERTRAIN


C'est con je vais me faire laminer car je ne mets pas 5 a ce disque. Et pourtant je suis d'accord avec tout ce qui a été dit. A une exception près: cet album n'est pas l'essence du Heavy Metal, ça c'est carrément lui donner trop d'importance... et puis pour l'avoir écouté des dizaines de fois, certains titres sont redondants. D'ailleurs je ne l'écoute quasiment plus. A l'époque, c'était certainement une tuerie. Moi je préférais et préfère nettement écouter un Iced Earth des 90's avec une ambiance beaucoup plus forte je trouve, et des riffs carrément déments aussi. Mais les goûts et les couleurs... Bref, Judas est très grand sur ce skeud mais à remettre dans le contexte métallique de la prod globale.





OASIS
DEFINITELY MAYBE


Le 19 Juin 2014 par AZER


Album génial, tout simplement. Le son des guitares est très plaisant, la voix de Liam originale et agréable, les compositions de Noel incroyables. L'alchimie parfaite réunie sur un album (impressionnant d'ailleurs quand on voit à quel point les membres du groupe étaient (sont?) stupides, sauf peut-être Noel, moins que les autres).

Highlights : Rock´n'roll Star, Live Forever, Supersonic, Cigarettes And Alcohol (mais toutes les compos sont géniales !)





Mike OLDFIELD
INCANTATIONS


Le 19 Juin 2014 par SGT JAKKU


Deux ans avant Incantations, sortait un des plus grands chefs-d-oeuvre de Steve Reich : Music for 18 musicians. L'influence de cette oeuvre sur le quatrième disque de Mike est indéniable tant nous retrouvons cette volonté obsessionnelle chez ce dernier d'exploiter, d'étirer et répéter les trois thèmes principaux de l'album.

Incantations, projet osé et grandiose comme le sera Amarok des années plus tard, représente l'aboutissement des travaux et expérimentations effectués sur les trois œuvres précédentes. Car après Incantations, Mike utilisera des formes d'expression moins cycliques, moins répétitives, plus immédiates. Il n'est pas faux de penser que cet album marque la fin d'une période chez le compositeur.





FLEETWOOD MAC
FUTURE GAMES


Le 16 Juin 2014 par TERRY


Un des meilleurs albums du groupe et sans doute le meilleur de la période Bob Welch (RIP, il est mort l'an dernier), même si "Bare Trees" et "Heroes Are Hard To Find" recèlent eux aussi de grands moments ("Mystery To Me" aussi, mais moins, et "Penguin" est, lui, le maillon faible de la période Welch).
Album immense (la chanson-titre...).





The BLACK KEYS
TURN BLUE


Le 16 Juin 2014 par TERRY


Leur meilleur depuis...le précédent (qui était immense). J'adore littéralement !







Commentaires :  1 ...<<...<... 794 795 796 797 798 799 800 801 802 803 804 805 ...>...>>... 1159






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod