Le 17 Mars 2015 par MR LARSEN

C'est un peu mon album de chevet celui-ci, que je prends toujours plaisir à réécouter même 15 ans après. Loin des soupes commerciales qu'ils ont pu sortir ces dernières années, Parachutes est un album intimiste où le groupe se dévoile pudiquement. D'accord, Radiohead n'est jamais très loin, mais cet album renferme de sacrés chansons méconnues qui valent le détour : "Don't panic", "Spies", "Sparks" ou encore "Everything's not lost". Si on omet des titres plus faibles comme "High Speed" ou "We never change", Parachutes est sans doute l'un des meilleurs albums de leur discographie. L'un des plus authentiques et vrai en tout cas.

Le 17 Mars 2015 par RICHTER

Un peu difficile de mettre un 3 étoiles à ce disque pour les raisons suivantes:

- Un tournant dans la discographie de Maiden, avec un chanteur aux qualités vocales ET de scènes absolument hors des sentiers battus. Maiden, avec Martin Birch et Dickinson trouve enfin leur heavy metal!

- Sur 8 pistes, en étant objectif, on trouve :

1) 3 pépites intemporelles (The number, Run to the hills et Hallowed Be Thy Name) qui aujourd'hui encore, alors qu'elles ont été entendues des milliards de fois, font le bonheur des amateurs de Maiden et de Metal au sens large.

2) 3 excellentes pistes que sont The Prisoner, 22 Acacia, et surtout Children Of The Damned.

Et il est vrai 2 fillers, moyennes....

Résultat, 4/5 car pour le 5 étoiles il manque un peu d'homogénéité en qualité. Mas quel titre que Hallowed Be Thy Name!!!

Le 17 Mars 2015 par TERRY

Le meilleur de Lennon en solo (meilleur que "Imagine"), un des meilleurs albums solo d'un ex-Beatles avec "Ram", "Band On The Run", "London Town", "Venus And Mars", "Flowers In The Dirt", "All Things Must Pass", "Ringo", "Imagine" (quand même), "Walls & Bridges", "Double Fantasy" et "Chaos And Creation In The Backyard". Oui, je sais, ça fait beaucoup, mais par rapport au nombre d'albums qu'ils ont fait, pas tant que ça.
Un album très sombre, introspectif, austère (ça lui sera d'ailleurs reproché, et l'album suivant, "Imagine", tout aussi introspectif, sera, pour la production, et selon les propres termes de Lennon, 'chocolaté'), qui sera accompagné d'un album solo de Yoko, avec une pochette similaire, tant recto que verso, et qu'il vaut mieux oublier...

Le 17 Mars 2015 par ZZ

Le "home" au vocoder au début de l'album vient de "home sweet home" de Kraftwerk, dans l'album Radioactivity

Le 16 Mars 2015 par AIGLE BLANC

Très remarquable chronique, gorgée d'émotion, habitée par la passion de John Long Silver pour John Lennon. Quel bel hommage !

Le 16 Mars 2015 par TERRY

Un très bon opus, nettement meilleur que l'ensemble de leurs albums des années 80, sauf, évidemment, "Back In Black" (et "Flick Of The Switch" est plutôt sous-estimé). J'ai pendant longtemps adoré cet opus, ce n'est plus le cas, mais je l'aime quand même toujours bien. "Thunderstruck" est un hit, "Are you ready" est géniale.

Troisième fois que je poste ce commentaire, les deux autres n'ayant pas été validés. J'ignore pourquoi, mais cette troisième fois sera la dernière, et si ce n'est toujours pas validé, FP se perdra un visiteur en ce qui me concerne.

	Par Forces Parallèles Terry, comme indiqué dans le carnet de bord nous avons eu un souci technique qui a généré la perte des commentaires sur la journée d'hier. Ce souci est maintenant résolu, et nous sommes heureux de te compter parmi nos lecteurs :-) Gegers et l'équipe.

Le 16 Mars 2015 par LA GRIOTTE

J'aimerais quand même bien savoir quel est cet arbre ! Sinon, les chansons que je préfère sont là, Mother en tête...

Le 15 Mars 2015 par TRAZV

Hohoho l'horreur, nommer ça de la même façon que "The Peel Session" hohoho le sacrilège.
En plus les chansons sont encore pire que sur l'album.
Denigrant et pissant sur apple depuis toujours je suis évidement pas passé par itune$ pour l'écouter.
Mais quand on pense au concept de ce truc là ça fait peur.

Le 14 Mars 2015 par TOXIMINAL

Il est clair qu'une nouvelle page de l'histoire du groupe se tourne avec la sortie de cet album. On retrouve un METALLICA qui s'est calmé, le tempo ralentit et il y a plus de ballades qu'avant, le groupe devient plus commercial et accessible avec notamment une prod' au top pour l'époque, mais ce disque reste tout bonnement excellent !
Des tueries il y en a, le cultissime "Enter Sandman" ou le puissant "Sad But True", pour moi "Unforgiven" constitue le point d'orgue de l'album, un titre à la fois puissant, mélodique et magnifique où Hetfield trouve son chant pour les prochaines années.
Néanmoins, la fin de l'album (les 3 derniers titres) est un peu plus faiblarde et prive l'album du cinq étoiles.
Un virage nettement plus commercial, mais c'est toujours de la très bonne musique, le dernier bon album de METALLICA avant un paquet d'années...

Morceaux préférés : "Enter Sandman", "Unforgiven", "Wherever I May Roam".

Le 14 Mars 2015 par HAHAHA

Si c'est "tribute" c'est pas des Beatles alors pourquoi les mettre dans les beatles ? ...

	Par Forces Parallèles Mon cher Raoul, c'est un tribute, il est donc classé comme tel, ainsi que ses petits camarades... Erwin

Le 14 Mars 2015 par H.M.

Et "Les carnets de la vigie" ?
Stanislas est ce qui est arrivé de mieux à la pop française depuis Polnareff et Gainsbourg. 3 albums, 3 grands disques ( Top Hat, connaît pas ). Ce gars a un goût très sûr pour les arrangements, il fait évoluer son style gentiment, par petites touches et il y a toujours suffisamment de tension dans sa musique pour que les passages ou les morceaux plus lents restent accrocheurs au lieu d'ennuyer.

Le 13 Mars 2015 par GREY SIGH

J'étais curieux du 5/5 du coup je me suis laissé tenter. Même en mettant tous mes pré-conçus de côté ("rapide ascension médiatique d'un artiste = caca pourri, cf. SHAKA PONK, SKIP THE USE,etc..."), j'ai entendu de la soupe pop matinée de touches électroniques avec un chat irritable et insipide. Ce n'est pas dégueulasse non plus, ni inécoutable, hein ! Chaleur Humaine a remporté les Victoires de la Musique 2015 avec CALOGERO en plus, donc c'est que ça ne peut pas être si immonde. Cela me laisse juste totalement de marbre... Je n'ai pas trouvé la musique propre à la danse (comme la nana qui se trémousse l'air faussement inspiré dans les clips). CHRISTINE AND THE QUEENS, plus qu'une escroquerie, une énigme !

Le 12 Mars 2015 par METALINGUS

Un DVD qui achèvera de me convaincre que BLACK SABBATH avec Tony Martin, c'est très moyen. En effet, en plus de se faire passer pour un clône de Dio, Martin n'a aucun charisme sur scène. Complètement incapable de mettre la foule sous sa botte....

La scène est également très sombre. Il est parfois difficile de distinguer les membres du groupe sur scène. La set-list est par contre très intéressante puisque quelques chansons (sabbath bloody sabbath, the wizard,etc.) sont rarement jouées en live.

La qualité de l'image laisse aussi à désirer. Bref, un show à réserver aux fans pur et dur du groupe qui veulent un aperçu du groupe dans les années 90.

Le 12 Mars 2015 par CLANSMAN57

J'ai du mal à comprendre les critiques négatives au sujet de Foxtrot.
On peut lire un peu partout sur la toile que c'est l'un des meilleurs albums du groupe, voire du genre, mais les internautes ne semblent pas tous suivre cet avis. Pourquoi pas après tout...

Pour ma part, je le trouve juste magistral !
On change à nouveau de décor par rapport à l'excellent prédécesseur, un nouveau voyage nous est offert, super!

Encore une fois,pas un mauvais titre et encore moins le morceau "Supper's Ready" en 7 actes qui est le morceau de bravoure de Foxtrot !
Un voyage à elle toute seule et les 7 mouvements se tiennent très bien entre eux !

Du très bel ouvrage comme on n'en entendra certainement plus...

Le 12 Mars 2015 par CLANSMAN57

J'ai eu un peu de mal au départ avec celui-ci, tout simplement car je ne retrouvais pas l'ambiance bucolique et médiévale du précédent, que j'avais adoré !

Une fois passée cette déception et acclimaté au nouveau décor planté par le groupe, à savoir des contes satiriques qu'on imagine à l'époque victorienne comme souligné plus bas, c'est que du bonheur !
Heureusement d'ailleurs qu'ils changent d'atmosphère,c'est d'autant plus intéressant.

Chaque titre est merveilleux,que ce soit les trois grandes pièces ou les plus courtes.

"The Fountain of Salmacis" possède un je ne sais quoi de réellement magique.
Il se passe quelque chose lorsqu'on l'écoute, on est comme transporté ailleurs.
Et quoi de meilleur pour conclure un album ?

GENESIS fait assurément partie des plus grands groupes de rock progressif !

Le 11 Mars 2015 par AIGLE BLANC

Ouf !!! J'ai eu peur. Pour un peu, Angelo aurait agrémenté son énième best of d'une collaboration inédite avec son confrère Klaus Schulze. Comment ça c'est une hérésie !!!
Tout est possible dans la vie... et encore plus dans les pérégrinations de nos artistes.
Qui eût cru par exemple que dame Lisa Gerrard (Dead Can Dance) serait allé trouver Klaus Schulze pour lui demander de chanter pour lui ?
Ah, les voi(e)x artistiques sont impénétrables.

Le 10 Mars 2015 par KID66

Un très bon disque, déjà en rupture avec le passé théâtral et les couleurs pastels des grandioses Nursery Cryme et Foxtrot. Son aspect déséquilibré me dérange cependant un peu, avec 4 titres d'une qualité exceptionnelle et le reste plus dispensable...

"Dancing With The Moonlit Knight" avec sa structure, ses ruptures de rythme et ses plans enchaînés est la pièce la plus alambiquée de GENESIS, la plus "prog" au sens superficiel du terme. J'y vois l'une des plus grandes oeuvres du groupe. "Firth Of Fifth" est évidemment magnifique, notamment dans ses parties instrumentales (ce piano vibrant...) et "The Cinema Show" est l'heure de gloire de Tony Banks, dont la performance est inoubliable. Le quatrième titre à retenir serait pour moi "After The Ordeal", instrumental splendide.

Les autres ne sont pas mauvais mais tranchent avec le reste à la fois dans la forme, le fond et la qualité. "The Battle Of Epping Forest" présente de bons moments mais semble en dessous et trop décalé du reste, par rapport à son grand frère "Get'Em Out By Friday" qui s'intégrait bien dans Foxtrot. "More Fool Me" est une jolie ballade de soirée d'été et "I Know What I Like" un faux tube un peu moyen.

L'inégalité du disque amoindrit son potentiel et c'est dommage, mais il est vrai qu'il ne faut pas oublier qu'à plusieurs moments il touche des sommets quasiment inatteignables...

Le 10 Mars 2015 par ZVLORG

L'album parfait, celui qui a fait de Genesis un géant à jamais ! Selling England By The Pounds est comme beaucoup d'albums progressifs de toute époque construit autour d'une poignée de grosses pièces (ici 4), parsemées de morceaux plus courts et aérant à merveille le contenu.
Ces 4 pièces sont Dancing With The Moonlit Knight, Firth Of Fifth, The Battle Of Epping Forest et The Cinema Show, et chacune est extraordinaire! Dancing With The Moonlit Knight s'inscrit dans la continuité des titres aggressifs tels The Knive, The Return Of The Giant Hogweed ou Get 'Em Out By Friday, porté par une batterie fracassante et des thèmes puissants, sans oublier sa finesse! Steve Hackett nous gratifie ici d'un solo enflammé digne des shredders des années 80, clairsemé d'arpèges magnifiques! Quant à Firth Of Fifth, l'histoire en a fait le classique ultime du grand Genesis, et on comprend tout de suite pourquoi! Ce titre est l'un des meilleurs jamais écrits par le groupe, déjà majestueux dans sa partie chantée, et complètement cosmique dans sa partie instrumentale! Les claviers de Tony Banks plantent une ambiance épique tandis que Steve Hackett nous achève avec un solo d'une beauté à en pleurer pendant des heures! The Battle Of Epping Forest est souvent moins appréciée, et pourtant, cette pièce est fabuleuse, Peter Gabriel nous offre une prestation incroyable, variant les tons et les accents pour nous plonger au mieux dans cette ambiance décalée et pleine de second degré, tandis que Tony Banks et ses synthés apportent un ambiance radicalement moderne! Enfin, The Cinema Show et sa longue mise en bouche rêveuse se rapproche plus du style feutré des albums comme Trick Of The Tail, avant de hausser le ton dans un concert de claviers et d’enchaînements rythmiques ahurissants où Phil Collins épate par sa maîtrise technique! Le morceau se fond ensuite avec Aisle Of Plenty, qui reprend l'introduction de Dancing With The Moonlit Knight, la boucle est bouclée (comme Pink Floyd le fera avec Animals).
Ces 4 monstres constituent réellement le corps de l'album et auraient presque suffi pour en faire un monument de son époque, mais les morceaux intercalaires sont également de grande qualité et prouvent que bien avant son revirement des années 80, le groupe était capable de faire de la bonne pop artistique, en témoigne I Know What I Like et More Fool Me. Enfin, l'instrumental After The Ordeal permet d'apprécier le pur génie du groupe dans la création de mélodies radieuses et sombres, un vrai moment de plaisir que seul le rock progressif peut offrir!

Selling England By The Pound marque l'apogée du Genesis version Peter Gabriel, chaque musicien est au sommet et contribue à la cohérence de cet album pourtant très varié. Certains le trouvent trop long, et pourtant difficile de repérer ce qui est en trop ou aurait mérité d'être retiré. Comme l'article le souligne, il s'agit du dernier album où le grand Genesis au complet affiche une telle cohésion, avant que Peter Gabriel ne gravite seul sur sa planète, ce qui n'empêchera pas le groupe de pondre un ultime chef d'oeuvre avec son fantasque chanteur l'année suivante, le radicalement différent The Lamb Lies Down On Broadway.
5/5, et avec des chaleureuses félicitations, un de mes albums de prog préférés!

Le 09 Mars 2015 par ESKAPEESKAPE

Bon, nous allons faire court et efficace: j'adore cet album!
Guns & Roses s'est renouvelé et s'est bonifié même s'il a cédé à la mode des looongs albums.
Si Chineese Democracy n'avait que 10/11 titres on frolerait les 6/5
+++++

Le 09 Mars 2015 par ZVLORG

Invisible Touch, l'album qui a signé la mort définitive de Genesis!
En grand amateur de rock progressif, il ne fait aucun doute que la période 70-77 est celle que je préfère, mais je dois reconnaitre que le prog aux structures plus directs et les jolies ballades (hors les affreux Follow You Follow Me et Misunderstanding) de And Then There Were Three et Duke m'ont fait forte impression et j'assimile volontiers ces deux albums à la grande période de Genesis. Déjà avec Abacab on commençait à plonger dans une pop synthé aux relents new wave mal digérés (et pourtant j'aime beaucoup la new wave), l'éponyme en dehors des très bons Mama et Home By The Sea ne proposait pas grand chose (Illegal Alien, uuuurk), et voilà qu'arrive l'apocalyptique Invisible Touch...

Comme cela a été dit plus bas, cet album incarne bien le naufrage des grands des années 70 durant les années 80, au même titre qu'Afterburner de ZZ Top, Hot Space de Queen ou Turbo de Judas Priest (dans des styles différents). Certes, tout n'est pas mauvais, Tonight Tonight Tonight est un bon morceau, bien qu'assez linéaire, Land Of Confusion rentre dedans et on ne peut que céder à tant d'attraits, Domino est un morceau prog nettement moins brillant qu'auparavant mais sa structure complexe associée à du matériel moderne est intéressante, et puis il y a The Brazilian, qui s'il avait été joué à la batterie et non à la boite à rythme aurait été une bonne version 86 du "vrai" Genesis (ce thème principal épique montre bien que le talent ne s'était pas évaporé!).

Mais Invisible Touch contient tant d'horreurs que ses quelques points forts ne peuvent l'empêcher d'être un album décevant, à comencer par l'horrible morceau-titre: jamais, jamais jamais Genesis n'aurait dû pondre une telle abomination, lamentable amas de mélodies simplettes et de refrains gnan-gnan à vomir. Il est vrai que la pop a toujours été une composante importante de la musique de Genesis, même aux heures les plus progresives, mais là on sort du cadre de la pop artistique de Duchess, Trick Of The Tail ou même Abacab le morceau par exemple et on plonge la tête la première dans la variétoche des années 80 bien moisie! Anything She Does n'est pas loin de récolter la palme du pire morceau de l'album non plus, ce titre réussit l'exploit de faire encore pire qu'Illegal Alien dans ce registre tube facile à avaler et à refrains à chanter à tue-tête, un vrai cauchemar... Quant aux deux ballades In Too Deep et Throwing It All Away, elles sont tout aussi indignes de la musique du groupe, à des années lumière des poignants Many Too Many, Ripples ou Heathaze. Pour reprendre la blague de Ramon plus bas, Throwing It All Away illustre bien le sentiment qu'on ressent à l'écoute de tels morceaux, à jeter...

Mettre de la pop dans son vin progressif, cela peut se comprendre et l'évolution était sans doute nécessaire, mais si certains s'en sont plutôt bien tirés (Yes période Trevor Rabin, sans naviguer dans l'excellence non plus), d'autres ont touché le fond au milieu de cette décennie 80, et Genesis fait sans doute partie des pires exemples. Groupe de compositeurs émérites et de musiciens talentueux, capables d'en mettre plein la vue à grands coups de thèmes épiques et de mélodies belles à en pleurer, Genesis a perdu petit à petit de sa superbe à partir d'Abacab pour devenir cette vulgaire machine à tube sans profondeur ni saveur, laissant les fans de la première heure (ceux qu'on aime ridiculiser et traiter d'extrémistes) dans le plus profond désarroi. Les quelques morceaux réussis de l'album ne font d'ailleurs qu'augmenter la frustration, ces morceaux prouvant bien que le talent était toujours présent, mais seulement occulté par le désir de plaire au plus grand nombre. Soyons positifs et ne retenons que l'essentiel, Genesis a été l'un des plus grands groupes de l'histoire pendant 10 ans (1970-1980), a offert au monde 9 albums de grande qualité, dont quelques-uns excellentissimes (Selling, The Lamb et Wind & Wuthering) et a durablement marqué l'histoire, une gloire qui ne mérite pas d'être ternie.
1.5/5