Le 22 Février 2015 par TERRY

Immense, tout simplement.

Le 22 Février 2015 par MONSIEUR P.

Si j'ai bien compris la transformation de Placebo depuis Meds, et l'âge de maturité, je doit bien avouer que la folie et les expérimentation d'antan me manque.

Placebo est est devenue une sorte de groupe quelconque. C'est certain, ça reste de la bonne musique, mais du Placebo des débuts il ne reste aujourd'hui plus aucune trace.

Placebo est en train de devenir vieux, désabusé, chiant et intello...

Le 22 Février 2015 par MONSIEUR P.

Franchement j'ai eu beaucoup de mal avec celui là.

Meds est véritablement une "cassure" dans la discographie du groupe et propose une approche musicale quasi inattendu. Ici, placebo ne laisse aucune place aux expérimentation, l'approche est purement britpop & powerpop et rappelle les groupe comme Suede, mais tout en gardant l'identité Placebo.

Dans un premier temps, l'écoute fût vraiment rebutante. Il à vraiment fallu que je me sorte de la tête l'idée que Placebo allait faire systématiquement comme sur leur quatre premiers albums. Fini les mélodie outrancière adolescente, ici c'est c'est juste de la power pop qui se veux "mature".

Molko ne couine plus à outrance, c'est travaillé, homogène, et ça ne se laisse pas apprivoié à la première écoute. La transition vers l'âge adulte semble réussie.

Le 22 Février 2015 par STéPHANE

Qualifier ce disque ? Un manifeste !
Folk et "chanson" dans le style, Punk (avant l'heure) dans l'esprit : ça souffle en Bretagne, un vent à décorner les bœufs (et les beaufs !)...
"Glenmor La Tempête" !!!

Le 22 Février 2015 par STéPHANE

Il y a de vrais bijoux de sensibilité sur ce disque ! Il faut le connaître pour se faire une idée, mais c'est du bon !

Le 22 Février 2015 par MONSIEUR P.

Bizarre...

cet album est souvent critiqué, mais pour ma part hormis le fait que j'estime qu'il lui manque un "petit quelque chose" pour être vraiment bon, je trouve cet album très sympa et qu'il est un digne représentant de la grande époque du groupe.

Le 21 Février 2015 par LONG JOHN SILVER

Superbe chronique. On s'y croirait. Bravo.

Le 20 Février 2015 par EDGE

Mea culpa, après avoir lu la chronique de The Scream et relu la phrase sur Joy Division au début de celle-ci, je m'aperçois qu'une nuance m'avait échappé. J'ai apprécié les idées mises en avant et je suis globalement assez d'accord avec ce qui a été écrit. Poppy Day est certes dénué d'humour mais il est un vibrant hommage à tous ceux qui sont tombés sur les champs de bataille et il y a une adéquation parfaite entre le texte et la musique : toutes les huit secondes, il y a un énorme coup de massue qui retentit par dessus la batterie comme pour signifier qu'un autre compagnon de route qui s'en est allé. Ce poème de McCrae mis en musique est poignant, c'est un peu leur Let England Shake. Réflexion faite, Join Hands aurait pu être un disque supérieur à The Scream si en lieu et place de The Lord's Prayer, ils avaient mis The Staircase (mystery) et Pulled To Bits (la face-b du simple Playground Twist)... mais on ne peut pas refaire l'histoire !

Le 20 Février 2015 par ARP2600

Je suis le premier à minimiser l'importance de Joy Division, un groupe que je trouve très surfait (surtout la voix pitoyable de Ian Curtis). Avez-vous lu ma chronique de The Scream ? Il me semble que mon opinion sur l'influence de SATB par rapport à celle de JD est évidente, n'est-ce pas.
Le reste est une question de mots... cold wave, ce n'est rien de très précis, new wave et post punk sont des termes plus larges et plus appropriés au vu des individualités des groupes. Mais si on veut vraiment parler de cold wave, JD est le type même de ce style, qu'ils ont forcément également développé en concert en 78/79 également...

Le 20 Février 2015 par TERRY

Un Lavilliers vraiment peu connu, aucun hit, mais je l'adore, rien que pour "Capitaine des sables", "Exil", la reprise de la "Préface" du vieux lion et "Chiens de guerre".
Tout n'est pas parfait, mais c'est meilleur que le précédent...et le suivant !

Le 20 Février 2015 par HUGO

"7 ans… un instantané à l’échelle des temps géologiques. L’éternité pour les quatre petits gars de Liverpool."

Cette conclusion est magique *_*
Très bonne double chronique sinon, ça me donnerait presque envie de les acheter (ce qui ne servirait à rien j'ai déjà tous les morceaux via les albums studios + Past Masters / One)
Voilà voilà, c'était le commentaire le plus utile de l'année, merci de l'avoir lu.

Le 20 Février 2015 par CéDRIC

Probablement un des meilleurs lives du groupe avec A Show of Hands. Ici on retrouve Rush au sommet de sa forme. Les musiciens nous montrent de quoi ils sont capables : écoutez les merveilles que sont la Villa Strangiato, Yyz, Red Barchetta et Xanadu.

Le 20 Février 2015 par EDGE

Sous-entendre un seul instant que cet album a été influencé par Joy Division est une erreur dans la chronologie des événements car en février 1979, toutes les chansons cold wave les plus significatives de Join Hands avaient déjà été jouées par le groupe lors d'une John Peel session, ceci donc bien avant la sortie et même l'enregistrement de Unknown Pleasures (cette Peel session de février'79 est sortie depuis sur le coffret At The BBC). Musicalement, il y aurait sans doute un parallèle à faire entre le jeu de basse de Steven Severin sur Poppy Day, avec une opposition entre des notes graves et des notes aiguës, et celui que Peter Hook a proposé à la même période. De même si l'on écoute la Peel Session version de Placebo Effect de février'79, on est marqué par la production et le son spacieux sur la batterie : le son de cymbale a été enregistré séparément avec un delay écrasant tout sur son passage et ce son glacé sur la cymbale ne provenait d'une synthdrum (du nom de la fameuse cymbale électronique que Kraftwerk avait utilisé sur Radio Activity et que Joy Division utilisera aussi dès 1979 tout comme Cure sur Play for Today un an plus tard). Joy Division n'a donc nullement été le premier groupe cold wave, il s'agit d'une idée reçue mais il s'est produit à la place une émulation entre les groupes Wire, Siouxsie and the Banshees et Joy Division. Sur le premier album de Siouxsie and the Banshees, le titre d'ouverture Pure etait déjà cold wave avec des voix venant au loin et des signaux qui indiquaient une distance entre les instruments. Sur Join Hands, le groupe a poussé plus loin sa recherche sur le son et comme il l'a été si justement dit dans la chronique ci-dessus, ce disque aurait mérité une excellente note voire un 5 sur 5 s'il n'y avait pas eu à la fin du disque cette improvisation de 14 minutes, enregistrée en une seule prise en studio à cause d'une deadline à respecter. Retenons que les 6 premiers titres de Join Hands, sont eux sulfureux, avec un travail très riche sur les guitares. Mother est un morceau atypique réussi, dans le genre lullaby dans un film de Mike Powell. Cet album est un jalon important dans l'histoire du post punk, je ne connais aucun disque qui propose une face-a aussi riche que celle-ci.

Le 19 Février 2015 par A.T.N.

SFF/PL est Le Plus Grand Single de la Galaxie, parfaitement! C'est le seul 45 tours que j'ai chez moi. Ces 2 faces A sont totalement insurpassables. Cette pop est enchanteresse, Long John Silver tu as les mots qu'il faut pour ces quelques petites années de magie musicale! Je crois que c'est Pacôme Thiellement qui écrivait "là où les grands groupes nous ont apporté du plaisir, les Beatles nous ont apporté du bonheur". C'est exactement ça.

Par principe je déteste les compilations mais celle-ci est une exception, c'est un morceau d'histoire, de notre histoire, it's the soundtrack of our lives.

6 étoiles, 7 étoiles...

Le 19 Février 2015 par COSSARD

Wind and Wuthering est un album qui me laisse perplexe pour ma part. A la fois il présente de très bonnes choses (Eleventh Earl Of Mar, One for the Vine, All In A Mouse's Night) mais quand c'est moins bon c'est vraiment (trop) moins bon (la fin de in That Quiet Earth' où les musiciens se semblent pas trop savoir où ils veulent en venir). Le gros plantage reste pour moi Your Own Special Way dont le refrain est particulièrement kitschissime, dommage car la mélodie des couplets m'était plutôt agréable.
Dans l'ensemble, je trouve que ça manque quand même de hargne et de caractère tout ça ! Ce qui fait que, malgré un son excellent et de très bonnes choses, je n'arrive pas à retrouver de moments mémorables qui marquent profondément.

Le 19 Février 2015 par TERRY

Une compilation immense (je parle des deux best-ofs réunis) et mon volet préféré des deux. Grandiose. Et bien plus généreux que le 'rouge' !
Avec le "Decade" de Neil Young, la meilleure compilation best-of d'époque qui soit. Enfin, selon moi.

Le 19 Février 2015 par KID66

On sent effectivement beaucoup de passion dans la chronique de Marco. Exercice périlleux que celui de rédiger une chronique sur son album préféré ! En tout cas je suis bien content que ce vilain 2/5 ait été mis de côté (hé hé).

Le jumeau nocturne d'A Trick Of The Tail est une petite merveille romantique, rêveuse et nostalgique... Et curieusement légèrement plus prog de que son aîné. "Eleventh Earl Of Mar", "One For The Vine" (le passage central est effectivement dantesque), "Unquiet Slumbers"/"... In That Quiet Earth" (avec une guitare d'une puissance déconcertante) sont absolument grandioses et parmi les plus grande création du GENESIS des 70's. "All In A Mouse's Night" est un conte loufoque très plaisant, s'évadant sur un final des plus réussis.

Le seul bémol serait ce "Tour Own Special Way" qui selon les écoutes parvient à se faire apprécier ou détester. Rien de honteux, juste un peu mièvre. Par contre "Afterglow" est une conclusion lumineuse et très juste. Superbe.
Et enfin, "Blood On The Rooftops" est à mon sens l'un des plus beaux titres de GENESIS toutes périodes confondues.

Le meilleur reste Nursery Cryme à mes yeux, mais ce Wind & Wuthering figure dans mon carré d'as des anglais. 4,5/5.

Le 19 Février 2015 par FRED1987

Effectivement, c'est un excellent album ! Rien de mieux pour commencer une journée que d'écouter In the name of tragedy ! Par la suite, Motorhead nous a aussi livré de très bons albums tels que Kiss of death et The world is yours !

Le 18 Février 2015 par LONG JOHN SILVER

Une superbe chronique qui donne envie. même si ce disque n'est pas mon préféré.
Par contre j'ai toujours adoré "Afterglow", ce qui est commun... il n'empêche, quelle beauté !

Le 17 Février 2015 par NY JETS

Tout ceci est misérable, on est bien d'accord. Mais le pire du pire, c'est que le producteur n'est autre que le fils de Jean-Jacques. Donc aval du père forcément....C'est l'arnaque du siècle.
0/5. Jean-Jacques, dis moi que tu n'y es pour rien.....