Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 784 785 786 787 788 789 790 791 792 793 794 795 ...>...>>... 1159
Comment poster un commentaire ?


PINK FLOYD
THE DIVISION BELL


Le 01 Octobre 2014 par RAMON


Quand sort "the Division Bell", sept années se sont écoulées depuis "A Momentary Lapse Of Reason", soit trois de plus qu'entre "The Final Cut" et l'album précité.
PINK FLOYD était pourtant mort entre le départ de Roger Waters en 1985 et la sortie du millésime 1987 avec les premiers concerts programmés pour son retour triomphal. Mais entre 1987 et 1994, il n'est plus mort, il tourne avidement et sort l'album Live "A Delicate Sound Of Thunder", un gros truc pour foules extatiques qui remplissent les places les plus vastes et les plus prestigieuses de la planète.
Et puis il se repose, beaucoup. Les mémoires de Nick Mason si elles sont denses à propos des années 1967-1980 deviennent nettement plus clairsemées par la suite et également moins précises.
Alors voilà, ce qui fut LE FLOYD et qui a survécu à la guerre contre son ex-mentor rend de nouveau sa copie en 1994 avec une gigantesque tournée à la clé et toujours (si possible) dans des lieux dignes de la majesté de la musique d'un l'ensemble bien plus fourni que le "Three Pieces Band" qui a posé sa bannière sur le navire amiral.
"A Momentary.." ne manquait pas de défauts, tant du point de vue de sa production que de la musique et si "The Division Bell" corrige le tir quand à son traitement sonore (les 80's sont loin), la musique laisse parfois un poil sceptique, en gros l'inspiration ne s'est pas invitée partout ici. Rien que l'entrée instrumentale nous refait le coup de "Shine on you…" mais en roue libre, puis le pourtant réussi "What Do you Want from me" rappelle évidemment "Time" avant qu'on ne retombe dans un style Gilmour en solo avec "Pole Apart". Le niveau baisse ensuite autour de compos mollassonnes mais pas désagréables non plus, on sent que Rick Wright joue vraiment sur le disque contrairement à l'album d'avant.
Et puis il y a "High Hopes" pour clore l'aventure, une superbe chanson dont la meilleure version n'est pas celle-ci mais celle qui figurait au menu de DVD Live Meltdown Concert de David Gilmour paru en 2002.
Mais voilà si l'histoire du FLOYD s'inscrit en pointillés de plus en plus épars depuis "Pulse", elle n'est pas pour autant achevée puisque "The Never Ending River" pointe le bout de son nez, 20 (!) ans après les sessions de "The Division Bell". Au su de ce qui compose ce disque, on peut légitimement entretenir des doutes quant au caractère indispensable de ce futur opus. Aux bruissements des premières révélations sur son contenu et sur sa réalisation, on ne sera guère plus rassuré.
PINK FLOYD fut jadis flamboyant et novateur, et puis le charme s'est rompu, le tout est de savoir quand. Pour certains ce sera dès le départ de Syd Barrett et puis pour d'autres avec l'après "Animals", moi j'englobe "The Wall" dans la période faste mais la chute n'en sera que plus dure et la rédemption pas totalement acquise non plus, "The Division Bell" est un disque correct mais qui se situe bien loin en terme de qualité des standards pratiqués par le grand PINK FLOYD.





YES
MAGNIFICATION


Le 01 Octobre 2014 par AIGLE BLANC


Il est fort troublant de constater un tel écart d'opinion entre deux fans de Yes. Je suis fan de la première période de Yes (de Yes album à Going for the one. Je le suis infiniment moins de la période couvrant les années 80, la pire décennie pour les groupes de Rock Progressif. En revanche, je trouve que Yes a fait un très joli come back durant les années 90 avec les 2 Keys to ascension qui rappellent la magie des débuts. The ladder poursuivait cette ascension vers les sommets. Certes, The ladder n'est pas un chef-d'oeuvre comparable à Close to the edge mais à la fin des années 90, après près de 30 de bons services, je ne connais pas beaucoup de groupes qui aient pu sortir un album aussi inspiré. Yes avait retrouvé la motivation et une certaine fraîcheur. Pour ce qui est de Magnification, je ne conteste pas la critique sur les paroles mièvres et ringardes de Jon Anderson. Je reconnais que l'osmose entre l'orchestre et le groupe de Chris Squire ne fonctionne pas aussi bien qu'il l'aurait pu (ce n'est pas pour autant une catastrophe, loin de là, c'est honnête sans plus, ça manque un peu d'audace). En revanche, ma surprise éclate lorsque je lis la critique négative sur la suite "In the presence of". Cette pièce musicale pour ma part rejoint le cercle des plus belles réussites de Yes, l'équivalent du grandiose "And you and i' pour la comparer avec un autre grand titre de 10 minutes. Comment peut-on adorer Yes et passer à côté d'une telle magie ? L'émotion me submerge à chaque écoute et l'osmose entre les musiciens est exceptionnelle. Le crescendo final, exécuté de main de maître, me conduit jusqu'à l'extase. J'étais persuadé que les fans de Yes adoraient ce titre. Je déchante, il serait temps.





Bruce SPRINGSTEEN
BORN IN THE U.S.A.


Le 01 Octobre 2014 par NONO


Tout ce disque est géniallissimme, et ce "I'm on Fire"... madre de dios, ce "I'm on Fire" oh poutaing-cong, qu'est que c'est beau !





Mylene FARMER
ON EST TOUS DES IMBECILES


Le 01 Octobre 2014 par NONO


Mouais... enfin, c'est une chanson passable dont la force tient certes dans les paroles, mais aussi dans la mélodie, qui est très sympathique. En fait, la mélodie du refrain est la même que celle des couplets, mais avec plus d'emphase, d'arrangements, d'instrumentation...
Malheureusement coté prod, oui c'est très synthpop, mais un peu trop "gadget" à mon goût. Ca sent le bidouillage !
J'aime assez, mais je pense toutefois que ce n'est pas une grosse perte dans le répertoire de Farmer, l'autre titre, "Maman a tort", est cent fois mieux à mon avis...
Un ajout : je suis étonné de constater que ce titre n'a pas marché, car, me souvenant bien du début de l'année 1985, on entendait assez souvent ce titre à la radio aux alentours de janvier-février 85. Disons que ça a été un "petit succès", mais pas à la hauteur des attentes sans doute...





FLEETWOOD MAC
RUMOURS


Le 30 Septembre 2014 par IEN


La perfection ! Ce n'est pas juste quelques tubes accompagnés de morceaux de remplissage ; cet album est une succession de titres tous aussi excellents les uns que les autres.
J'ai toujours aimé les groupes possédant plusieurs chanteurs, la je suis comblé, malgré une préférence pour Christine Mc Vie.
Et cette basse sur "The Chain"...





BJÖRK
POST


Le 30 Septembre 2014 par KUROSAWA-SAN


Des 3 albums que je connais (les 3 premiers), celui-ci m'apparait comme le meilleur car peut être plus sombre et martial que les autres. Dommage qu'elle ait arreté de faire cette musique ensuite...





GLENMOR
VIVRE


Le 29 Septembre 2014 par MITCH


Est-ce l'album que l'on pourrait conseiller pour aborder GLENMOR ? Peut-être pas. Certains morceaux en effet semblent plus faibles, surtout au niveau musical, tel "Où va...", et ce malgré un texte intéressant, et quelques autres comme cela.
J'avais préféré le précédent, "Hommage...", qui m'avait semblé plus fignolé. D'après F. Bernard, GLENMOR privilégiait la scène au disque, et la qualité de certains morceaux s'en ressent, sur disque : ils auraient mérité d'être davantage travaillés, et ça sent parfois un peu trop la "première prise", à mon humble avis.
J'ai par contre... ha, les goûts et les couleurs !!! - été séduit par l'épique "Klemm Breizh-Izel", son harmonica rafraîchissant et les passages breton-français interprétés respectivement par Emile et Katel(l) -avec 2 ll ? - ... un peu à la Gainsbourg-Bardot (Bonny and Clyde ?), d'ailleurs. Ce duo apporte un peu de variété à un ensemble parfois un peu trop monolithique et, quitte à me répéter, pas assez fignolé. Il manque sans doute quelques arrangements, comme sur le premier album, l'orchestre de F. Rauber... Mais, il s'agit là du premier album post-Barclay, si je ne me trompe... GLENMOR est-il désormais triquard, car, entre autres, interdit de radio. Les moyens financiers ne sont plus sans doute tout à fait les mêmes.
Quoiqu'il en soit, il faut connaître cet album, qui contient malgré tout un véritable joyau, "Le temps des choses", et d'autres chansons très bonnes ("Viviana", Prière d'un robinson... entre autres !)





The POLICE
OUTLANDOS D’AMOUR


Le 29 Septembre 2014 par GURTU


Nono:"Ses membres n'ont jamais été de grands muzicos pour autant."

Je me demande si je dois rire ou pleurer en lisant ça!

Andy Summers a juste sorti 2 albums avec Robert Fripp,qui est bien connu pour ne s'accompagner que de quiches et Stewart Copeland a tourné avec Stanley Clarke ,un des précurseurs du jazz rock.

En fait je vais juste sourire devant un tel manque de connaissances musicales...





U2
THE JOSHUA TREE


Le 29 Septembre 2014 par POWERBEAUF

Hé, ho ! Je n'ai pas encore 38 ans ! Non mais !
Allez, continuez à faire du bon boulot, les gars ! Bien cordialement

Powerbeauf





U2
THE JOSHUA TREE


Le 29 Septembre 2014 par POWERBEAUF

@ NOORS

Mais, de rien... En ce qui concerne mes "banales évidences", prends une minute pour relire ton premier commentaire : si j'ai pris la peine de les rappeler, c'est parce que ton premier post montre qu'elles n'en étaient pas pour toi... Si tu t'es mal exprimé, alors la prochaine fois, prends le temps de réfléchir à ce que tu écris et relis-toi avant de cliquer sur "envoyer". Inutile de se vexer, ni de me "remercier" pour le conseil.

Sinon, je ne sais pas si U2 "sort vainqueur à l'épreuve du temps car il continue à jouer dans des stades". C'est bien possible. Si c'est le cas, ce n'est pas immérité et "The Joshua Tree" y est évidemment pour beaucoup. Pour autant, ils ne sont pas les seuls à faire partie de ce club très fermé : parmi les ténors de la fin des '80s, MADONNA, BRUCE SPRINGSTEEN, DEPECHE MODE, GENESIS (et peut-être PHIL COLLINS en solo, s'il se décidait à le faire), BON JOVI, BOSTON, "l' AXL ROSE BAND" (et j'en oublie sans doute quelques autres) le font toujours. Cela fait peu, en effet. Mais même dans la variété internationale, les artistes capables de remplir des stades n'ont jamais été nombreux.

Pour devancer les chroniqueurs du site ;), si tu veux poursuivre la discussion, le forum est tout indiqué.


Par Forces Parallèles

Merci Powerbeauf !
Si les quadras se mettent à troller maintenant !!!
Chers camarades sachons raison garder, même lorsque le sujet est essentiel à la survie des fans de Paul et David...
Tous sur le forum !
Bien à vous





U2
THE JOSHUA TREE


Le 29 Septembre 2014 par NOORS


@ POWERBEAUF

Merci pour la leçon mais je ne parle évidemment pas de metal 80's sur Forces Parallèles quand je parle de U2 et de cet album en particulier.
Toute mon argumentation se fait en comparaison avec des groupes de pop rock, comparables sur ce segment de musique, cela tombe sous le sens.
Et évidemment, il y eut de bonnes choses, (heureusement). Ce que je dis aussi (!). Heureusement que tu nous l'apprends. Bref, merci pour tes banales évidences.
Mais c'est mon avis, U2 sort vainqueur à l'épreuve du temps, et surtout avec cet album. De ceux que tu me cites, et qui sont encore vivants, qui remplit encore des stades ?

Désolé pour l'orthographe des noms propres, mais... tu connais ta grammaire. Et en plus je ne les aime vraiment pas.

Ah oui, évidemment tu as raison, pour le metal, les 80's furent une époque bénie. Merci de nous l'avoir appris à tous. Vraiment merci.





PORCUPINE TREE
THE INCIDENT


Le 29 Septembre 2014 par CLANSMAN57


Je me suis réécouté les PORCUPINE TREE récemment et je me souvenais avoir laissé un commentaire sur The Incident.

J'ai dû être sous l'effet de la nouveauté lors de la composition de ce dernier... car je ne suis vraiment plus d'accord avec moi-même.

Ce disque est le plus mauvais du groupe. D'un ennui terrible.
Les 14 titres sont censés être les parties d'un seul morceau de 55 minutes... sans aucune cohérence.

"Kneel and Disconnect" est jolie avec son piano-voix et ses harmonies vocales, mais malheureusement trop courte.

On n'a absolument rien d'intéressant jusqu'à la bonne mais pas exceptionnelle "Time Flies".
Jamais entendu une intro de disque aussi faiblarde et le premier véritable morceau n'arrange rien...

On pourra encore sauver les couplets de "Drawing the Line", malheureusement gâchée par un refrain des plus horribles... Etonnant de la part de Steven Wilson.

Donc on a "Time Flies" qui est bien, mais qui ne nous fait pas planer comme d'habitude.
Puis de "Octane Twisted" jusqu'à la fin, ça passe.

"Octane Twisted", "The Séance" et "Circle of Manias" forment enfin un tout cohérent, avec une belle mélodie, une ambiance mélancolique, des riffs metal et techniques.

"I Drive the Hearse" est jolie, mais au bout de 2 minutes, elle m'ennuie... Je ne saurais expliquer pourquoi.

Le second disque, détaché du concept, est plus intéressant, mais pas exceptionnel non plus.

Très décevant !





DEEP PURPLE
PERFECT STRANGERS LIVE


Le 28 Septembre 2014 par RED ONE

@ ALEX :

Oui, je m'en suis souvenu après coup. Je corrigerai cette légère erreur prochainement...





DEEP PURPLE
PERFECT STRANGERS LIVE


Le 27 Septembre 2014 par ALEX

Nota : Le Difficult to Cure de RAINBOW est à la base un instrumental. Il s'agit de l'Hymne à la Joie de BEETHOVEN (fin de sa 9ème Symphonie) joué façon Hard Rock, à la base par RAINBOW.





Kendji GIRAC
KENDJI GIRAC


Le 27 Septembre 2014 par KIWICHOU


Première année que je regarde the Voice d'une oreille discrète, appâtée par un Mika plutôt agréable dans son rôle de juge. Mais quel dommage que TF1 soit regardée en majorité par des jeunes femmes (filles ?) qui n'ont "écouté" que la beauté de ce jeune homme.
D'autres tellement plus talentueux (Elodie Martelet par exemple) auraient bien mérité une telle couverture médiatique.

Rien à garder dans cet album, tout à jeter. Pas une once d'originalité pour un piètre chanteur...

PS : le 1/5 s'explique par le fait que 0/5 n'existe malheureusement pas.





YES
RELAYER


Le 27 Septembre 2014 par GUILLAUME THE ELDER


Relayer est mon meilleur YES.

Difficile de mettre au Top un album sans Rick Wakeman mais c'est pleinement justifié avec le fou "Gates Of Delirium" qui, avec les années, est le morceau de YES que j'écoute le plus. Ce titre porte bien son nom, un admirable délire de bout en bout, multiphasique et tout en maîtrise ; aucun temps mort, les chapitres doux sont loin d'être ennuyeux, au contraire, ils sont d'une beauté rare.

La face B est de qualité sans atteindre toutefois la Magie de la A.





U2
WAR


Le 26 Septembre 2014 par DAVID HEWSON


A l'aube de la sortie très médiatique du 14ème album studio de U2, se refaire une complète du groupe irlandais s'impose. Si les deux premiers albums souffrent d'un manque de caractère, de maturité, il y avait tout de même quelques bonnes idées et beaucoup de fraîcheur.

Pour War, le Bono's Band va bénéficier de Steve Lillywhite (un pote à Brian Eno) à la production. Sur une moitié d'album, U2 aligne deux véritables obus rock qui ont encore une grande portée explosive aujourd'hui encore. Bono devient une véritable icône, autant pour ses prestations scéniques que pour ses engagements humanitaires, The Edge possède désormais sa signature musicale (delay et saturation bien crade) en plus d'apporter de belles harmonies vocales et la rythmique basse-batterie de Clayton et Mullen devient un modèle du genre. L'autre moitié de l'album alterne étrangement morceaux rythmés mais insipides, à l'exception de "40". Peut-être qu'ils ont manqué de temps pour développer les morceaux.

Finalement, un EP aurait suffit à mettre tout le monde d'accord. Un classique du rock : oui. Un album culte : non.





U2
THE JOSHUA TREE


Le 26 Septembre 2014 par MR TINKERTRAIN


Honte à moi j'ai oublié de citer cet album, concentré de rock avec certaines compos universelles (les bougres) comme référence 80's. Et peut-être aussi comme une référence rock ultime, au même titre que Dark Side of the Moon ou Grace de Jeff Buckley (et tant d'autres). Par ailleurs je trouve que Bullet the Blue Sky c'est du metal, j'adore.





FOREIGNER
4


Le 26 Septembre 2014 par MR TINKERTRAIN


Pour moi, ce skeud représente ce qu'il y a de mieux en Rock 80's point barre (avec un Rush je crois). Avec 1 ou 2 titres passables, l'album est une tuerie sans nom, avec en citrouille sur le gâteau le solo de sax le plus énorme du monde.





AFX
ANALORD 01


Le 26 Septembre 2014 par LAPD COLOMBO


J'ignore aussi pourquoi RDJ a décidé de sortir les analords qu'en vinyle, mais en tout cas j'ai du mal à m'imaginer tout ça en CD, le son du CD colle pas au charme que possède cette série d'EP.







Commentaires :  1 ...<<...<... 784 785 786 787 788 789 790 791 792 793 794 795 ...>...>>... 1159






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod