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METALLICA
KILL 'EM ALL


Le 08 Octobre 2014 par SELLENA


Je ne comprends pas le chroniqueur Waltersmoke quand il dit :
"Et de manière générale, il manque une certaine progressivité dans les morceaux, qui en font des pavés certes en mode « in your face ! », mais terriblement lassants à force."

Qu'on aime pas Metallica c'est une chose, mais comment peut on dire que ce premier album manque de "progressivité" ?? Metallica n'a jamais prétendu jouer du rock prog que je sache, encore du moins du metal prog !!!
Reprocher ça à ce premier vinyle de 83, c'est un peu malhonnête je trouve..

Bon sinon concernant le disque en lui meme, je reste une grande fan des débuts des Mets! Tout n'est pas parfait sur Kill'em all, mais "en toute objectivité" nous avons ici affaire à un exellent skeud! J'aime beaucoup le suivant, mais sur Ride the lightning cette inoccence qui faisait tout le charme des débuts des Four Horsemen n'est plus de mise et j'ai toujours trouvé ça regrettable





GANDALF
FROM SOURCE TO SEA


Le 08 Octobre 2014 par KUROSAWA-SAN


Découvert sur Deezer, c'est vraiment pas mal du tout. Un peu atmo, un peu prog dans la construction et très planant. Apaisant et jamais ennuyeux.





ORGANISATION
TONE FLOAT


Le 08 Octobre 2014 par AIGLEBLANC


J'ai trouvé le vinyle à Marseille il y 3 ou 4 ans. Une chance en effet. Disque intéressant quoiqu'anecdotique.





MEN AT WORK
TWO HEARTS


Le 07 Octobre 2014 par EMMANUEL DIEDHIOU

Je ne connais pas l'album. Juste pour écrire que la pochette me fait penser à une photo du livret de "Wish you were here" de Pink Floyd (1975).





SEPULTURA
METAL VEINS : ALIVE AT ROCK IN RIO (AVEC TAMBOURS DU BRONX)


Le 07 Octobre 2014 par CéDRIC


L'après "Roots" a été difficile pour beaucoup de fans dont je fais partie. Je pensais que Max Cavalera était parti avec l'âme de Sepultura.
Un chroniqueur de NIME m'a mis sur la voie en écrivant que Sepultura n'était pas devenu un mauvais groupe, il aurait juste dû changer de nom. Avec cette idée en tête, c'est bien plus facile d'aborder les nouveaux albums et d'apprécier la musique. Sepultura a changé et dans le fond c'est tant mieux. Personnellement je trouve que Soulfly stagne depuis le 3ème album.
Tout ça pour dire qu'une fois encore, Sepultura surprend et que le mélange des 2 groupes est carrément explosif. On aurait pu croire à un plus grâce aux Tambours du Bronx mais c'est une fusion parfaite.
Seul point négatif pour moi, j'aurai bien aimé plus de titres de la période sans Max bizarrement... je trouve que le groupe joue souvent les mêmes morceaux en live. Mais inutile de résister, Refuse/Resist et Roots Bloody Roots avec les Tambours, ça pète.





ROCCA
ENTRE DEUX MONDES


Le 07 Octobre 2014 par LOUVOIR


Ah ROCCA! Encore un très bon artiste que l'on entend malheureusement plus. Qui vient de cette époque où l'argent n'avait pas encore gangréné le rap et ou le crédit apporté à un artiste venait directement du public, de la rue. Avec LA CLIQUA ça avait été une vraie baffe pour moi à l'époque.
Ce flow à la fois fluide et percutant, ces instrus lourdes, sombres et mélodiques, caractéristiques de ces années 90 mais révélant une vraie recherche musicale, putain ça me fout encore des frissons quand j'écoute "Les Jeunes De L'Univers"!

Mais on a aussi droit, et c'est à souligner, à des paroles intelligentes et compréhensibles : avec ROCCA, on reste dans le concret. Le bonhomme parle de ce qu'il connaît, de manière directe, sans se perdre dans des métaphores alambiquées, et sans jamais aborder un sujet sans le maîtriser parfaitement.






CLAP YOUR HANDS SAY YEAH
SOME LOUD THUNDER


Le 04 Octobre 2014 par TARATATA


Très bon album. Rien à dire tout est presque parfait. Leur album précédent était un peu surfait, mais celui-ci avait bien rattrapé le coup.





METALLICA
METALLICA


Le 04 Octobre 2014 par GUILLAUME THE ELDER

Ok, l'album est solide, et beaucoup de morceaux tirent leur épingle du jeu face à l'épreuve du temps. Néanmoins, pour beaucoup d'entre nous, en 91, lors de sa sortie, ce fut la douche froide...

Peu ou pas de saveur comparé aux 4 précédents. Le temps des 4 Thrashers qui foutent les boules au verso de "And Justice For All..." est bien révolu.

Metallica est, à partir de 91, au Metal ce que McDo est à la restauration, c'est à dire une chose facile, un Groupe de Stade à grosse marge commerciale (quoi de plus horrible qu'un concert au Stade De France??).

Le désarroi fut de courte durée. L'émergence du Death et du Black Metal ces années-là ont vite fait oublier cette déconvenue.

PS : Qui a sorti un album noir et un film ?? Metallica?? NON, SPINAL TAP bien sur!!





Joe BONAMASSA
DIFFERENT SHADES OF BLUE


Le 04 Octobre 2014 par TAUPE SOUS ROCHE


Lassant. Autant chaque album que l'ensemble de la discographie. Alors d'accord il a commencé jeune et à un niveau pas mal du tout, mais tous ses albums quels qu'ils soient, on en a entendu un, on les a tous entendus.
Du rock limite sudiste ou "root", du country, du blues, et une série de plagiats à chaque album.
J'adorais avant, mais je suis étonné de la vitesse à laquelle je m'en suis lassé.





DANGER MOUSE & DANIELE LUPPI
ROME


Le 04 Octobre 2014 par A.T.N.


Chef d'oeuvre! Orchestrations, voix, ambiances, l'hommage à Ennio Morricone - impossible de penser à quelqu'un d'autre... - se veut moderne, en aucun cas un pastiche mais bien un disque à part entière, écouté régulièrement depuis sa sortie, jamais de lassitude. White, Jones, et Danger Mouse ('culé de génie...), tout le monde est au sommet.





U2
ACHTUNG BABY


Le 03 Octobre 2014 par DAVID HEWSON


Après 3 albums à la gloire des USA, il était grand temps pour U2 de trouver de nouvelles inspirations et d'apporter quelque chose de neuf en ce début de décennie. Retour en Europe avec des expérimentations electro-rock teintées de glamour (influence de Bowie évidente) et d'une auto-dérision. Enorme prise de risque qui fut pourtant couronnée de succès.

Donc fini les sonorités blues-rock, welcome to the machine. Les arrangements y sont nombreux et très efficaces. La voix de Bono se retrouve presque constamment trafiquée, ses étranges falsettos surprennent ; les effets de The Edge ne se limitent plus au delay ; la basse se transforme presque en infrabasse ; la batterie a des allures robotiques. Les textes ont aussi évolué et Bono ose même s'en prendre à son idôle de toujours, Dieu. Qui aurait pu penser à une telle transformation de la part d'un groupe de rock alors aussi conformiste que U2 ? Il lui fallait bien éviter la redite.
Au rayon des expérimentations réussies, on y trouve "Zoo Station", "Until The End Of The World", "Mysterious Ways" et "Love Is Blindness". Le U2 classique existe toujours, mais sous une autre forme : "One", "Whose Gonna Ride Your Wild Horses", "The Fly" ou encore "Ultraviolet". "Even Better Than The Real Thing" sonne trop FM mais n'est pas inintéressante. "Acrobat" possède une ambiance mélancolique qui repousse autant qu'elle attire. "Cruel" et "Tryin' To Through..." remportent haut la main la Bouse d'Or. Deux titres sans aucun relief, uniques points faibles de l'album.

Outre ces incroyables expérimentations, la production du duo magique Eno/Lanois est magistrale. Un peu trop parfois. "Achtung Baby" a aussi bien fait fuir les amoureux du U2 des 80's qu'apporté un nouveau contingent de fans. Bob Dylan, en son temps, eu aussi le droit à de virulentes critiques quand il passa du mode acoustique à l'orchestration rock. Qu'importe la tournée de mégalo qui suivit la sortie de l'album et les nombreux clichés dont le groupe abusa. Musicalement, U2 avait démontré qu'il savait bien se renouveler. La suite de leur discographie ne fut pas du même niveau, loin s'en faut.





BLACK FLAG
DAMAGED


Le 03 Octobre 2014 par EL PACHENKA


C'est dans les défunts nineties du siècle dernier que j'ai pris connaissance de Black Flag, quelques temps après le Rollins Band. Cet album-là fut le premier que je reçus (d'autres suivront), en version cassette, via une commande par correspondance chez un bon disquaire. Et que dire ? C'est du hardcore dans ce qu'il a de corrosif, de coléreux et de rentre-dedans à fort exemple avec "Depression", "Thirsty & Miserable" ou "Police Story". Henry Rollins semble avoir un larynx disposé à renfermer des braises ardentes et autant de colère/haine qu'un Johnny Rotten entendu. Damaged, l'album, c'est du musclé et il ne faut pas avoir peur de (re)prendre des coups !

4 étoiles + 1 (pour la référence)





Murray HEAD
VOICES


Le 03 Octobre 2014 par DE PASSAGE


" magnifique album" et je suis d'accord avec la conclusion de l'article '' un travail d'orfèvre ". depuis la sortie de l'album en 1981 je l'écoute régulièrement je ne m'en lasse pas ! les compositions de Murray Head sont superbes .





METALLICA
KILL 'EM ALL


Le 03 Octobre 2014 par RIKKIT


Punk, NWOBH , energie, dawa, groove, et surtout Rock, cet album me fiche une pêche d'enfer. Moins mature que Ride the Lightning, c'est pour ça fougue que je le préfère. Un excellent moment de Rock n' Roll pour le coup.





METALLICA
MASTER OF PUPPETS


Le 03 Octobre 2014 par RIKKIT


Y a des trucs biens, mais à part être une copie carbonne de son grand frère en moins bien, cet album m'excite pas vraiment. Master est énorme, Welcome Home aussi, mais le reste est très moyen. Kill Em' All et Ride me procurent plus du plaisir (surtout le premier qui déchire vraiment beaucoup). D'une manière genérale, j'ai jamais trop compris l'engouement autour de ce groupe qui a maintenant autant de charisme qu'un poireau. Il a peut être sa place dans l'histoire du Metal et surtout du Thrash, mais sérieusement, Metallica, à part avoir vendu beaucoup avec leur éponyme moisi, je capte pas le génie.

2,5/5 parce que en restant sérieux, c'est un album plaisant à écouter.






U2
THE JOSHUA TREE


Le 02 Octobre 2014 par DAVID HEWSON


"The Joshua Tree" est considéré, à juste titre, comme l'album le plus abouti du quatuor irlandais. U2 arrive autant à maturité qu'au sommet de son art. Pour les sublimer, deux producteurs de génie : Brian Eno et Daniel Lanois. Il existe un making of de l'album que l'on peut trouver sur youtube. Après l'avoir vu, vous comprendrez aisément que le son, l'esprit U2, c'est avant tout grâce à The Edge. Mais je ne vous apprends rien quelque part. Bono a beau être le leader charismatique de U2 et un chanteur hors-pair (tant qu'il ne fait pas de l'auto-parodie), la base vient de The Edge.

U2 débarque en force aux States tout en continuant à occuper le reste du monde. Rien que les trois premiers morceaux imposent le respect et se passent d'une énième décortication. Après les singles, u2 varie les plaisirs à la demande, alternant gros riffs rock ("Bullet The Blue Sky, "Exit"), ballades folk-rock arôme 'grandes plaines américaines' ("Running To Stand Still", "Red Hill Mining Town", "Trip Through Your Wires") et rock héroïque inspiré ("In God's Country", "One Tree Hill"). L'album se termine sur une ballade, qui tranche complètement avec la vénération des USA, rendant hommage aux victimes de la 'guerre sale' (1976 et 1983) en Argentine.

La maitrise de l'album est totale. Certains lui reprocheront un aspect trop lisse, d'autres qu'il n'y a rien après les singles. Tous les grands albums ont été critiqué. L'album a été assez encensé, aussi bien par le grand public que par de nombreux artistes, pour que ce ne soit qu'une immense opération marketing à l'origine du succès. C'est tout simplement un album culte de l'histoire du rock, qu'on le veuille ou non.





U2
THE UNFORGETTABLE FIRE


Le 02 Octobre 2014 par DAVID HEWSON


Album de transition pour U2. Le groupe tente ici clairement une percée au pays de l'Oncle Sam. Sauf qu'il ne suffit pas de parler de Martin Luther King ou du 4 juillet pour que ça fonctionne. U2 est en panne d'inspiration. Il est effectivement difficile d'y trouver de l'intérêt en dehors de "Pride", "Wire" et "Bad". A croire que, comme sur "War", tous les efforts ont presque été uniquement consenti sur les singles. "A Sort Of Homecoming" avait du potentiel mais le morceau se traine en longueur. Le groupe touche presque le fond sur "Elvis Presley & America", titre de plus de 6 minutes dans lequel il ne se passe rien. Pour enfoncer le clou, le chant forcé de Bono devient vite insupportable.

Soyons honnête, "The Unforgettable Fire" n'est pas l'album le plus mauvais du groupe, vu ce qu'il pondra comme albums boursouflés et prétentieux à partir de "Zooropa". Mais seulement 3 titres au top sur 10, ça laisse vraiment sur la faim.





PINK FLOYD
THE DIVISION BELL


Le 01 Octobre 2014 par RAMON

Oups..."The Endless River", pas "The Never Ending River", satané Bob DYLAN avec son "Never Ending Tour", comme quoi l'aventure et l'histoire ne s'arrêtent jamais !





PINK FLOYD
THE DIVISION BELL


Le 01 Octobre 2014 par RAMON


Quand sort "the Division Bell", sept années se sont écoulées depuis "A Momentary Lapse Of Reason", soit trois de plus qu'entre "The Final Cut" et l'album précité.
PINK FLOYD était pourtant mort entre le départ de Roger Waters en 1985 et la sortie du millésime 1987 avec les premiers concerts programmés pour son retour triomphal. Mais entre 1987 et 1994, il n'est plus mort, il tourne avidement et sort l'album Live "A Delicate Sound Of Thunder", un gros truc pour foules extatiques qui remplissent les places les plus vastes et les plus prestigieuses de la planète.
Et puis il se repose, beaucoup. Les mémoires de Nick Mason si elles sont denses à propos des années 1967-1980 deviennent nettement plus clairsemées par la suite et également moins précises.
Alors voilà, ce qui fut LE FLOYD et qui a survécu à la guerre contre son ex-mentor rend de nouveau sa copie en 1994 avec une gigantesque tournée à la clé et toujours (si possible) dans des lieux dignes de la majesté de la musique d'un l'ensemble bien plus fourni que le "Three Pieces Band" qui a posé sa bannière sur le navire amiral.
"A Momentary.." ne manquait pas de défauts, tant du point de vue de sa production que de la musique et si "The Division Bell" corrige le tir quand à son traitement sonore (les 80's sont loin), la musique laisse parfois un poil sceptique, en gros l'inspiration ne s'est pas invitée partout ici. Rien que l'entrée instrumentale nous refait le coup de "Shine on you…" mais en roue libre, puis le pourtant réussi "What Do you Want from me" rappelle évidemment "Time" avant qu'on ne retombe dans un style Gilmour en solo avec "Pole Apart". Le niveau baisse ensuite autour de compos mollassonnes mais pas désagréables non plus, on sent que Rick Wright joue vraiment sur le disque contrairement à l'album d'avant.
Et puis il y a "High Hopes" pour clore l'aventure, une superbe chanson dont la meilleure version n'est pas celle-ci mais celle qui figurait au menu de DVD Live Meltdown Concert de David Gilmour paru en 2002.
Mais voilà si l'histoire du FLOYD s'inscrit en pointillés de plus en plus épars depuis "Pulse", elle n'est pas pour autant achevée puisque "The Never Ending River" pointe le bout de son nez, 20 (!) ans après les sessions de "The Division Bell". Au su de ce qui compose ce disque, on peut légitimement entretenir des doutes quant au caractère indispensable de ce futur opus. Aux bruissements des premières révélations sur son contenu et sur sa réalisation, on ne sera guère plus rassuré.
PINK FLOYD fut jadis flamboyant et novateur, et puis le charme s'est rompu, le tout est de savoir quand. Pour certains ce sera dès le départ de Syd Barrett et puis pour d'autres avec l'après "Animals", moi j'englobe "The Wall" dans la période faste mais la chute n'en sera que plus dure et la rédemption pas totalement acquise non plus, "The Division Bell" est un disque correct mais qui se situe bien loin en terme de qualité des standards pratiqués par le grand PINK FLOYD.





YES
MAGNIFICATION


Le 01 Octobre 2014 par AIGLE BLANC


Il est fort troublant de constater un tel écart d'opinion entre deux fans de Yes. Je suis fan de la première période de Yes (de Yes album à Going for the one. Je le suis infiniment moins de la période couvrant les années 80, la pire décennie pour les groupes de Rock Progressif. En revanche, je trouve que Yes a fait un très joli come back durant les années 90 avec les 2 Keys to ascension qui rappellent la magie des débuts. The ladder poursuivait cette ascension vers les sommets. Certes, The ladder n'est pas un chef-d'oeuvre comparable à Close to the edge mais à la fin des années 90, après près de 30 de bons services, je ne connais pas beaucoup de groupes qui aient pu sortir un album aussi inspiré. Yes avait retrouvé la motivation et une certaine fraîcheur. Pour ce qui est de Magnification, je ne conteste pas la critique sur les paroles mièvres et ringardes de Jon Anderson. Je reconnais que l'osmose entre l'orchestre et le groupe de Chris Squire ne fonctionne pas aussi bien qu'il l'aurait pu (ce n'est pas pour autant une catastrophe, loin de là, c'est honnête sans plus, ça manque un peu d'audace). En revanche, ma surprise éclate lorsque je lis la critique négative sur la suite "In the presence of". Cette pièce musicale pour ma part rejoint le cercle des plus belles réussites de Yes, l'équivalent du grandiose "And you and i' pour la comparer avec un autre grand titre de 10 minutes. Comment peut-on adorer Yes et passer à côté d'une telle magie ? L'émotion me submerge à chaque écoute et l'osmose entre les musiciens est exceptionnelle. Le crescendo final, exécuté de main de maître, me conduit jusqu'à l'extase. J'étais persuadé que les fans de Yes adoraient ce titre. Je déchante, il serait temps.







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