Le 08 Août 2014 par LE SCALP

Débutant sur une guitare REMienne avec "The Golden Age", Midnight Oil aborde les années 2000 avec une couleur musicalement chaude et douce. Chacune des compositions souffle une certaine chaleur, plus automnale qu'estivale. Dans "Say Your Prayers", titre bien pêchu, la basse de Bones Hillman enveloppe et porte dans des rouleaux rythmiques qu'on peut entendre également dans "Underwater". Un brin de nostalgie se pointe quand passe "Mosquito March" amenant à penser à "Sometimes". Depuis 1996, Midnight Oil a su donc se rattraper après un début des 90's en perte de vitesse et nous laisse avec ce tout dernier album qui fait partie des meilleurs de sa discographie. A comparer dans son ensemble, l'émouvant Capricornia est sans doute plus à ranger du côté de Breathe que du dernier pic tempétueux qu'est Redneck Wonderland.

Le Scalp (El Pachenka)

Le 08 Août 2014 par RED ONE

@ RAMON :

Merci encore mon cher Ramon pour ce looooong commentaire que j'ai eu plaisir à lire !

Bah ouais, malgré plein de bons morceaux, je trouve ce dernier Uriah Heep assez mou et parfois un peu ennuyeux, et je dis ça sachant que j'avais vraiment apprécié "Into The Wild" en 2011. Je le juge donc comparativement à ce dernier.
Je connais un peu le reste de la discographie je te rassure, mais il me reste encore beaucoup de choses à défricher, Uriah Heep c'est un monument qui prends son temps pour s'apprivoiser...

Pour comparer avec ma note du dernier Judas Priest, oui, je le trouve "légèrement" supérieur à Outsider : bien que Redeemer Of Souls soit effectivement l'un des plus mauvais Judas à ce jour, il m'a quand même moins ennuyé que ce nouvel Uriah Heep, et puis au final je trouvais Outsider un cran en dessous d'Into The Wild. D'où mon 2,5/5, arrondi à 2 pour marquer la différence.

Désolé mais bon, tous les goûts sont dans la nature, n'est-il pas ?...

Le 08 Août 2014 par THORWALD

J''ai eu l'énome chance d'assister avant-hier au show des DICTATORS à Rennes, forcément avec ROSS THE BOSS himself ! C'était merveilleux. C'est quelque chose de rester à 50 cm d'un des plus grands guitaristes de tous les temps et de le voir jouer, transpirer, martyriser sa Gibson pendant 1h 30 ! Quel homme extraordinaire, quelle humanité ! Le perspective de faire de nouveau un truc avec MANOWAR est très peu probable m'a confié Ross, ce qui me surprend peu connaissant l'ego désormais intersidéral de DeMaio. En attendant, nous avons les DICTATORS et leur punk-rock légendaire qui sont en train de raser des villes à travers l'Europe à l'occasion de leur tournée 2014 !

Légendaire, cet album l'est particulièrement. On se déhanche sur "Baby Let's Twist" , On se délecte du riff Heavy de "Minesota Strip", on serre le poing sur "I Stand Tall" quand ce n'est pas une terrible "Slow Death" ou une tuerie de concert comme "Faster and Louder" qui vous saisissent à la gorge, toutes classieuses qu'elle sont. Cet album simple comme choux est débordant de sensibilité et de ce feeling inestimable - qui manque tellement à MANOWAR aujourd'hui - que nous apporte le grand Ross The Boss. Egalement, on sent pleinement les racines urbaines du groupe, ce qui renforce encore sont identité. Et quel Frontman, ce Handsome Dick Manitoba ! Si un jour j'ai la chance de retourner à New York, je saurai où boire une bière !

Un énorme merci à Erwin qui m'a permis via ses chros et son admiration pour Ross de me faire découvrir ce groupe génial sans quoi j'aurais loupé leur show qui se tenait à 10 min en bus de chez moi !

ROSS RULES !

Le 08 Août 2014 par RAMON

- AAARRRGGGGHHHH !!!!
- Que se passe-t-il mon bon ?
- Il y a que RED ONE vient tout juste de MASSACRER le tout dernier URIAH HEEP paru !
- Tu exagères un poil mon ami, lis sa conclusion:"URIAH HEEP ne déroge cependant pas à sa tradition et nous livre un album de hard rock à l'ancienne, qui se révèle plutôt plaisant "
- Et la note ? Deux malheureuses étoiles ! Si ça c'est pas une mauvaise note, c'est quoi une mauvaise note ? Et le "on s'ennuierait presque" comme présentation, c'est sans doute fait pour attirer le chaland ça ?!?
- Bon sa note réelle est de 2,5, sinon pour la formule tout est dans le "presque".
- Dire que le dernier PRIEST, pourtant bien mou du genou obtient un 3 !
- C'est vrai que "Redeemers..."est carrément mollasson mais c'est le droit le plus inaltérable de ce vénérable chroniqueur de le préférer à ce "The Outsider".
ET puis ce disque n'est pas un chef d'oeuvre absolu, pas plus qu'il n'est une pierre majeure de la disco du HEEP.
- Moi je trouve au contraire que le groupe est carrément en forme, ça envoie d'un bout à l'autre !
- C'est vrai que c'est roboratif cette musique, ça fait plez comme disent les djeuns.
- Autre chose, selon moi LE BASSISTE HISTORIQUE c'est Gary Thain sans oublier que Bolder s'est fait la malle chez WISHBONE ASH entre 1981 et 1983 !
- Là tu chipotes ! D'autant que Trevor Bolder est sans doute le bassiste qui a le mieux représenté stylistiquement l'univers du groupe avec Gary Thain, sans même parler de sa longévité avec la bande à Mick Box ! Et soit honnête tu les connais les albums enregistrés avec Bolder ? D'ailleurs passé l'époque Byron, tu connais quoi du HEEP ?
- Bah,je connais mal l'époque Lawton c'est sûr, j'ai repris avec "Conquest qui est pas mal et passé "raging Silence", j'ai lâché l'affaire…après trois disques de Hard FM, j'ai arrêté les frais, mais par contre j'ai les Live qui sont vraiment chouettes !
- Trois ? Tu oublies Abominog !
- Nan celui là, il est bien !
- Ben tu sais quoi, tu n'as qu'à envoyer un commentaire, comme ça ça rééquilibrera les choses !
- Pas bête: Je me lance.

Hop !

Cher RED ONE (je dis cher car à force de te lire, ça crée des liens), Je trouve sincèrement qu' URIAH HEEP pète la forme sur son dernier opus en date qui selon moi se situe dans la droite lignée de ses albums mid seventies que sont "Wonderworld" et "Return To Fantasy", soit des disques sous estimés mais dont je ne me lasse pas, lesquels s'ils n'atteignent pas les hauteurs d'un "Salisbury", d'un "Demons and Wizards" ou d'un "Magician Birthday" sont quand même des concentrés de bonheur pour mes tympans de mélomane endurci.
La comparaison avec IRON MAIDEN pour deux titres ( "Rock The foundation" et l'excellent "Can't Take That Away") me semble avoir plutôt lieu d'être dans le sens opposé, car ceux-ci qui sonnent comme des classiques du groupe auraient pu être enregistrés en 1975 et je dirai même plus que par moment c'était MAIDEN qui sonnait comme le HEEP.
Bon je n'entends pas plus le côté Punk sur "Looking At You" mais je ne suis pas aussi pointu que toi sur ce style, donc pourquoi pas.
Voilà c'est l'entame de cet album, laquelle pour sympathique qu'elle soit s'avère être la moins intéressante. J'entends par entame les trois premiers morceaux même si "One Minute" se révèle être un single très efficace puisqu'il m'a donné l'envie d'acheter le disque, envie que jamais aucun titre des précédents albums (et peut-être à tort) ne m'avait donné, pourtant j'ADOOOORE le "Live in Armenia " de 2011 qui en contient quelques uns.
Mais à partir de "The Outsider" (Ce serait ti pas du Speed Metal ce machin ?), je fonds, je craque, je nage dans la ouate, je m'ébaubis connement comme un fan ahuri et je régresse en adolescence jusqu'au moment où je découvre "Magician Birthday" chez un pote qui me le file parce que lui, il ne l'écoute jamais.
Alors le "clone de seconde zone" me parle bien mieux que tout un tas de cadors dont certains figurent pourtant dans mon Panthéon musical depuis longtemps.
De "Rock The Foundation" à "Say Goodbye", en passant par "Can't Take That Away" (ma préférée) je retrouve tous les ingrédients qui m'ont jadis séduit: le son de l'orgue, les soli à la wah wah, les choeurs épiques (Et QUEEN dit merci au clone), les mélodies et la voix qui les porte car Bernie Shaw et la meilleure chose qui soit arrivée à URIAH HEEP depuis le départ de Lord Byron de la bande.
Bon "Is Anybody Gonna Help ME" voire "Looking At You" sont certes un peu en dessous du reste et se situeraient plus dans la lignée des trois premières chansons niveau qualité, néanmoins ça reste bon quand même.
Alors d'accord le "Now What ?! du Pourpre est un cran au dessus et le "13" du SABB lui est peut être un rien supérieur (quoique), en revanche sur les planches URIAH HEEP dépasse DEEP PURPLE, ne serait-ce que pour la performance vocale des chanteurs respectifs et si ce groupe n'a pas l'aura scénique (ni les moyens) du trio maléfique Ozzy/Tommy/Geezer, sa bonne humeur communicative, nous fait passer un sacré bon moment et ça donne un sommet comme le "Live In Armenia" qui enfonce "Gathering In Their Masses" alors que ce dernier est maquillé comme une goule de blockbuster.
En résumé, je ne boude pas mon plaisir avec ce disque et espère vivement revoir le groupe prochainement après son passage à l'Olympia en 2009 en ouverture de BLUE ÖYSTER CULT à l'occasion d'une soirée très réussie.
Amen

Note: 3,782159064/5

Le 08 Août 2014 par MR TINKERTRAIN

Je suis d'accord avec tous les commentaires. Même avec Jovial quand il dit que c'est un bon album de varietoche. Perso, j'ai emprunté ce disque à ma médiathèque car n'ayant pu la voir en concert avec A.Stivell et Sharon Corr (Colmar 2012, énorme). C'est très plaisant à l'écoute, elle a une belle voix la coquine, mais pas de quoi transcender c'est pas du Gathering non plus! Je reverais d'un groupe français de progressif celte avec son type de voix, du genre Iona par exemple. Aller Nolwenn, un (gros) effort...

Le 08 Août 2014 par CéDRIC

Après un excellent a farewell to kings le trio canadien nous sort hemispheres un album aussi excellent que son prédécesseur. Je classe non seulement cet album parmi les meilleurs du groupe mais aussi parmi mes préférés avec permanent waves et moving pictures.

Le 08 Août 2014 par GUILLAUME THE ELDER

"Dans la vie, il faut savoir prendre des risques"... Je ne sais plus qui a dit cela, mais, c'est vrai, KISS n'aurait peut-être pas du sortir ce film!!

Je l'ai vu en 92 ou 93 au temps où j'étais abonné à la KISS ARMY (j'étais jeune!!). Visionner ça avec 15 ans de recul fut un moment de franche rigolade ; certains plans sont pas trop mal (le moment avec les flics où Gene rugit comme un lion, la scène autour de la piscine). Oui, c'est plutôt maigre, et les passages avec les monstres d'Abner dans les souterrains sont vraiment ennuyeux...

Ceux qui ont vécu ça en direct ont moins ri, en particulier aux US : une Kissmania envahissante (comics, cartes, chewings gum Kiss...), des concerts avec des enfants de 10 piges maquillés accompagnés de maman et tatie... "Kiss Meets the Phantom" a été la goutte de trop pour les fans de la première heure.

Le seul point positif est à mon goût la bande-son : pas les sempiternels grands tubes des années passées mais beaucoup de matériel des Solos Albums ; ça donne un peu de fraicheur à un film que l'on peut sans regret ranger entre Scoubidou et Spectroman.

KISS Téricos!
KISS Toricos!
KISS Candalosos!
KISS CONTRA LOS FANTASMAS

Ah oui, j'ai oublié de vous avouer une chose : j'ai l'affiche du film, la version argentine! Ca reste entre nous bien sur...

Le 08 Août 2014 par LE SCALP

Un album mou du genou mais on peut comprendre, à lire l'état de santé dans lequel était le grand rouquin qu'est Josh Homme. Des morceaux pop assez lourds. Cependant, je ne me sens pas vraiment preneur et d'ailleurs, le groupe a commencé à gonfler après "Lullabies To Paralyse". Pour le successeur de ...Like Clockwork, il faut espérer que QOTSA pétera le feu, ce qui semble manqué dans ce disque désanchanté et finalement barbant.

Le 07 Août 2014 par LE SCALP

Non et définitivement non! Il existe seulement deux ou trois titres que je peux sauver du deuxième album des beaux gosses norvégiens. Ces sons des synthétiseurs, même teintés d'onirisme à l'image d'une belle pochette, ce n'est plus possible. de ce disque sortent du lot donc, "Scoundrel Days" mais surtout "I've Been Losing You" et "Manhattan Skyline". "Cry Wolf" est horrible, l'un des pire titre que A-ha a pu extraire.

Le 06 Août 2014 par RAMON

Mouais, mouais, mouais…
Sans revenir sur les réserves émises par Le OUISTITI quant à la tonalité de la chronique d'un disque du Georgios et sur les allusions réitérées sur sa sexualité, je me permets toutefois de faire remarquer que pour l'occasion et cela sur deux titres de ce EP, il succède à un Freddie qui était bisexuel (et non pas uniquement homo ce que la plupart des gens ignorent, d'ailleurs il a légué sa fortune à la femme de sa vie avec laquelle il ne vivait plus depuis longtemps au moment de son décès, mais passons); lequel Freddy avait coutume de porter des tenues de scène très équivoques (des collants notamment) ou de porter des tutus, et même de se déguiser en femme dans au moins un clip.
Le nom même du groupe (QUEEN of course) outre sa signification réelle (la Reine donc) servait également à désigner un homosexuel dans le langage populaire anglais des années 7O (et même sans doute depuis longtemps), donc le public présent, étant composé de fans de QUEEN ne pouvait décemment pas être surpris par l'apparition d'un George MICHAEL, homo déclaré, tout d'orange vêtu tant il était habitué aux frasques vestimentaires de son héros disparu.
Quant à la chanson en elle même (Somebody to Love), il s'agit là d'un mix de Pop de la meilleure engeance et de Gospel, appuyée principalement sur ses refrains par des accords de quinte saturés, on est donc bien loin du gros Hard qui tâche, sans même aller jusqu'à convoquer SLAYER & C°.
Alors oui, la prestation de GM est à couper le souffle (et pourtant je ne suis absolument pas fan de sa musique), mais il n'interprète pas non plus les "Now I'm Here", "Tie your Mother Down", "Get Down Make Love", "Keep Yourself Alive" et j'en passe et des "Sheer Heart Attack".
(Ces titres n'ont pas tous été inscrit au programme de la soirée)
Aurait-il pu trouver y touver ses marques ?
Possible, après tout il venait juste de prouver qu'il était un immense chanteur sur ce coup là.
Sinon, plus personne ne se souvient de la prestation de Lisa STANSFIELD (d'ailleurs qui se souvient d'elle tout court ?) pour le duo anecdotique qu'elle forme sur un des titres les moins convaincants de la soirée (et de QUEEN aussi).
Après, il faut reconnaître que les reprises de "Killer" et de "Papa was a Rolling Stone", captées par ailleurs sont elles aussi excellentes, ce qui est à porter au crédit du vocaliste, lequel décidément vaut bien mieux que le chanteur des niaiseries qu'il composait du temps de WHAM.
En fait, comme je l'ai écrit, je suis hermétique aux compositions de George MICHAEL, même si le côté "PRINCEsque" de FAITH n'est pas dénué de qualité, la production de ses albums me rebute toujours autant mais là, il balance des reprises en Live et ça change pas mal les choses pour mes oreilles délicates.

Le 06 Août 2014 par BUBBA

Pas écouté ce disque donc pas de note mais je me souviens bien du concert et c'est vrai que la performance de George sur Somebody to Love est absolument titanesque. A croire que la chanson a été écrite pour lui. Une grosse claque

Le 05 Août 2014 par KUROSAWA-SAN

Cet avis est purement subjectif et se base uniquement sur le single radio qui donne plus la nausée qu'il ne donne envie d'écouter l'album... En moi même: "Tiens bizarre cette chanson qui passe sur ma radio préférée! Je crois connaître cette voix très agréable. Ce timbre là, on dirait Chris Martin. Mais non je dois me tromper car musicalement, ce n'est que de la soupe ignoble et infâme. C'est comme la musique de la pub du dernier SammoSung avec touche Bio Ass et écran Digi-Lactel. Ca fait futuriste et puis... quoi... ca fait... merdique et sans intérêt. Oui c'est ça. Merdique. Coldplay est mort, vive le néant.

Le 05 Août 2014 par STONEG

Je trouve cette chronique un brin dithyrambique. Pourtant je dois ajouter que j'ai adoré cet album, ce qui ne m'empêche pas d'avoir des réserves.
D'abord parce qu'il s'agit du premier "bon" album de Beyoncé, les autres oscillant entre r'n'b indigeste et ballades sirupeuses, celui-ci réussit à éviter cet écueil, mais contient des défauts propres à Beyoncé.
D'abord la présence insupportable de Jay-Z qui vient gâcher un bon titre comme "Drunk in love". Ainsi que les paroles, qui sont très égocentriques ("Pretty Hurts", hum...). Malgré tout, la production est plutôt exceptionnelle, et le tout est très bon. "XO", "Rocket", "heaven" (simple mais magnifique) font désormais partie des meilleurs morceaux de Beyoncé. Espérons qu'elle cesse d'être la maquerelle de l'autre (quand est-ce qu'il décidera de la fermer ?), mais au vu de l'actualité de Beyoncé, ça semble être (presque) chose faite.
4/5

Le 04 Août 2014 par RAMON

@BABAR LE LOUBARD (chouette pseudo)
Je suis allé voir 7 fois le groupe avec Fish sur scène entre 1984 et 1987 et je puis assurer qu'à chaque fois les prestations en Live étaient impeccables, donc je ne pense pas que celui-ci ait été retouché.
Concernant la chronique, je suis d'accord, ce disque laisse sur sa faim du fait de son côté "Best of Live" bricolé à partir de captations sur différentes tournées, ce qui ôte la chaleur qui émanait des performances du groupe et c'est bien dommage car ce MARILLION là était vraiment emballant.
Maintenant je souhaite rebondir sur la présence de Cori Josias en lieu et place de Tessa Niles par rapport à la chronique du (fort moyen) "Live from Loreleï":
Je ne crois pas que le groupe ait choisi la première nommée au détriment de la seconde par rapport à ses atouts physiques (après tout Tessa Niles est fort bien faite de sa personne ) mais bien parce que miss Niles était une choriste "over bookée" et il suffit de lire son CV pour s'en rendre compte et d'ailleurs celle-ci a beaucoup tourné à cette époque avec Eric Clapton (mais pas que) en dehors de son activité en studio.

Le 03 Août 2014 par AZER

Il est certain que ce nouvel effort est bien moins pourri que les 3 précédents, tellement honteux que m'en ramentevoir me donne des hauts-le-cœur. Le chant clair foire pas mal, et il y a évidemment remplissage éhonté (pur exemple : Until It's Gone) mais globalement c'est tout de même acceptable.
Une bonne nouvelle donc, vu que je n'attendais plus rien du groupe, bien à rebours.

Le 02 Août 2014 par BABAR LE LOUBARD

Allé, au passage, j'en profite pour mettre une note et donner mon avis sur le disque, même si l’essentiel a été écrit par Jovial:

Le principal intérêt de ce live est effectivement le son: Tous les morceaux ont ici gagné en puissance et beauté par rapport à leurs versions studio.

On a droit, grâce au CD2, à un Misplaced Childhood "mis à jour" et quasi parfait: aucune coupure (aaah cet enchainement entre Heart of Lothian et Waterhole), un Fish transcendé, des clavier mieux sentis et moins kitchs qu'en studio, un public présent comme il faut... Bref une version largement supérieur à l'original, qui de base, plaçait déjà la barre bien haute.

Quand au CD1, même si le son est lui aussi excellent et que le groupe est au sommet de sa forme (ya t'il eu retouche en studio?!), la set list discutable et les coupures entre les morceaux (faudra franchement m'expliquer l’intérêt de faire ça sur un live) font manquer à ce Thieving Magpies le statut de live mythique...

En fait le mieux est de voir ce disque comme un Misplaced Childhood "Director's cut" avec une bonne compil' live en bonus...

Le 01 Août 2014 par LE MERLE MOQUEUR

Errata :
Pan ur le bec du Merle Moqueur, Alex a entièrement raison, mais le terme soldats allemands n'est pas entièrement approprié... Les historiens d'en débattre. Il s'agit comme le signale très justement Al des Corps Francs qui ne rechignaient pas à casser du communiste. L'homme qui fit la sale besogne est mort en 1970, Waldemar Pabst, il suivit à la lettre les ordres du social démocrate Gustav Noske, dénommé plus tard par les allemands le "Chien Sanguinaire".

PS : Cela ne retire en rien le coté sulfureux du Berlin de Lou Reed, je crois que les Corps Francs qui finirent pour la plupart chez les SA et les SS auraient bien aimer l'exécuter... Les premiers à remplirent les camps de concentration, furent les communistes, les homosexuels et les handicapés... tous allemands... après vinrent "les autres".

Le 01 Août 2014 par LE OUISTITI

Je n'ai pas l'habitude de critiquer la forme d'une chronique, m'en tenant plutôt au fond, c'est-à-dire à l'album.

Mais j'ai vraiment du mal avec certains termes utilisés pour définir George Michael:

"la plus célèbre anglo chypriotte du show biz"
"notre mignonne petite princesse méditerranéenne"
"Comme toujours avec notre grande folle"

Alors oui la chronique est élogieuse, mais qu'elle soit positive ou négative ne change rien... Est-il pertinent d'user et d'abuser de références lourdes à son homosexualité?
Je perçois bien que cela se veuille drôle, caustique, complice etc., mais réellement ça me dérange aux entournures car c'est trop appuyé. En quoi ces blagues vaseuses appuient-elles le propos et la critique, Elton John et Rob Halford recevraient-ils un égal traitement?
Tabasser un artiste sur ses piètres qualités de chanteur, sa musique de merde ou son marketing souffreteux, ok, mais insister aussi lourdement sur ses orientations sexuelles, WTF?

Je qualifie pas cette chronique d'homophobe pour autant, mais elle se révèle profondément maladroite, dommage car le disque, l'artiste et le chroniqueur (mon cher Erwin) sont tous également respectables.

	Par Forces Parallèles N'ayant pas la même vision que toi des choses, je ne répondrai donc pas à tes critiques, je les accepte simplement car elles sont légitimes. Nous avions eu quelques échanges suite à la publication de ma première kro sur George. Je m'attendais donc à des réactions. Seule précision que je souhaite ajouter : OUI ! J'aurai insité sur Elton John et ses perruques ridicules de la même manière, et Rob Halford aurait eu droit à son tutu rose beaucoup plus "Hard" que pour George, mais Marco Stivell et Red One ont super bien fait le boulot, donc rien à dire... Je me gausse d'Elvis sans arrêt dans les kro, personne ne trouve à y redire... Il semble donc que l'homosexualité soit un concept plus difficile à mettre en boite... OK... Pas pour moi ! Cependant, nous aurons tout loisir de continuer cette discussion puisque toute la disco de Georginna débarque dans les jours qui viennent. Merci de ta fidélité et désolé de mon ton moqueur, il n'est pas méchant, bien au contraire...Attend de lire ce que j'ai à dire sur "Five live", ça résume bien la situation ! Bien à toi

Le 31 Juillet 2014 par NOORS

Hello l'équipe. Je suis plus souvent sur nightfall in metal earth. mais depuis peu je suis aussi l'actu de forces parallèles.
Selon moi, Rhythmeen s'inscrit évidemment (on le sait avec le recul) dans un nouveau triptyque dont il est le premier opus.
Le premier, Eliminator, Afterburner, puis recycler avait été novateur. Ils avaient quitté un son rock sudiste old school (phase I de ZZ Top) avec un tournant entamé par Deguello, pour aboutir sur une super production en trois volets, avec un gros son novateur, plein de synthé, d'arrangement, de paillettes et le succès qu'on connait (ZZ TOP phase II).

Puis il y eu un autre tournant pour un autre triptyque annoncé par Antenna cette fois (comme Deguello en son temps). La phase III de ZZ top.
Le premier skeud en est donc Rythmen. On change, mais pas tout. Car on revient sur les fondamentaux. Le son reste lourd. La prod bonne. Mais on abandonne les fioritures du précédent triptyque pour revenir sue l’essentiel : le rock pseudo sudiste old school (même s'ils s'en défendent depuis toujours et malgré qu'il n'y qu'un grateux chez les ZZ TOP) qui sent le ranch et la poussière, mais modernisé, avec un son puissant cette fois.

Alors forcément, le coté pop et paillettes n'y est plus. c'est pas glamour et un peu moins commercial. C'est plus rude, plus cow boy. Cela peut ne pas plaire aux fans de pop. Mais plaira sans aucun doute aux fans de hard rock, de rock et de blues.
Et c'est pas mal du tout. je l'ai écouté en boucle pendant quelques semaines.
Merci encore aux chroniqueurs pour votre taf.

Le 31 Juillet 2014 par SHAMROCK FIRM

Le maison Dreyfus aurait pu respecter la pochette originale avec la typographie celtique (Jim Fiztpatrick) qui faisait un tout dans le visuel. Je trouve que c'est un manque de respect pour l'artiste.