Le 30 Juillet 2014 par DDLSEM

Bof... ce Sky Moves Sideways sous forme de Shine On You Crazy Diamond (partie 1 au début, partie 2 à la fin de l'album), évidement je m'attendais pas à du PF c'est pas ça, le style est pas le même, n’empêche que tout l'album est mou, je me demandais lors de la premier écoute quand est ce que je vais stopper le disque, et je continue malgré ça à écouter espérant tomber sur des passages intéressant, entre ces quart d'heure de lenteur, ce Dislocate Days merdique par rapport à la version live sortit quelques années après (dans Coma Divine), bref rien d'intéressant là dedans.

Le 29 Juillet 2014 par TERRY

Un sommet absolu, intégral, total, un disque parfait, d'une tristesse à faire pleurer dans sa bière (les titres 2 à 6, une suite imparable), des paroles géniales, des mélodies inoubliables, une interprétation éblouissante, une production monumentale... Une enveloppe à basilique...
IMMENSE.
J'adore même la pochette, pourtant un beau petit bordel dans son genre (Sphinx à tête de femme, ménorah, perroquet, boxeurs sur clés, gratte-ciel, limousine avec un vrai bouchon de radiateur, au sens littéral, sur le capot, fleurs, femmes, image 'années folles', photos du chanteur et du producteur, etc) !

Le 29 Juillet 2014 par AL

C'est vrai, même si les corps francs ayant, avec succès, lutté contre les Spartakistes constitueront un vivier pour le futur parti National Socialiste et les S.A.

Le 28 Juillet 2014 par ALEX

Petite précision intégriste suite au commentaire précédent : ce ne sont pas les nazis qui ont exécuté Rosa Luxemburg, mais des soldats allemands qui se battaient contre les révolutionnaires. Parler du parti Nazi en 1919 est un gros anachronisme, puisqu'il ne sera fondé qu'en 1920, à Münich (et Luxemburg a été tuée à Berlin).

	Par Forces Parallèles Ceci aura échappé à notre sagacité malgré le nombre d'historiens spécialistes de l'Allemagne ou de cette époque parmi nous... Bravo à toi Alex !

Le 28 Juillet 2014 par AL

Pour ma part, cet album est très bon.
La prod' : roots, très grasse, profonde : c'est comme cela que doit sonner le Metal.
Les compos' : c'est classique, c'est bon, solide et inspiré mais sans esbroufe. Cela sonne assez 70'-début des années 80, c'est sensible, épique, à la MANILLA ROAD ou autres combos du même tonneau.
Un album plus posé, Halford n'en fait pas des tonnes (ne peut plus ?), mais cela n'est pas plus mal, j'ai toujours détesté le concept du Metal God. les soli et échanges entre guitares me font penser à IRON MAIDEN (et c'est un compliment !).
Bref, le meilleur album de Heavy Metal que j'écoute depuis un bon bout de temps.

Le 27 Juillet 2014 par TONY

"Nostradamus" avait beaucoup déstabilisé les fans du Priest mais à mon sens c'était un disque réussi avec de vraies prises de risque et de sacrées pépites (la chanson titre par exemple). Tout juste pouvait-on lui reprocher sa longueur excessive...
"Redeemer" à l'inverse est un album classique, voire prévisible. Beaucoup de titres rappellent leurs prédécesseurs ("Redeemer of souls" rappelle "Hell patrol", "March of the damned" évoque "Metal God"...) mais on sent clairement que le groupe fatigue et en particulier Rob Halford et Glenn Tipton. Le premier évolue désormais dans un registre grave qui lui sied bien mais qui manque parfois d'énergie ("March of the damned") tandis le second se montre plus sage qu'auparavant en matière de riffs et de solos.
Le petit nouveau, Richie Faulkner, s'en sort bien (il signe quelques riffs sympathiques, comme celui de "March of the damned") mais l'agressivité et la folie de KK Downing manquent cruellement.
Au final un album pas surprenant pour un sou (le groupe a semble t-il écouté les fans qui ont détesté "Nostradamus"), un peu mou du genou mais agréable pour peu qu'on ne s'attende pas à "Painkiller", "Screaming for vengeance" ou même "British Steel". Je dirais qu'une bonne moitié de l'album vaut le coup, ce qui n'est pas si mal.

PS: Pour moi "Halls of Valhalla" est le sommet de l'album. C'est le seul titre où Rob Halford pousse sa voix dans ses derniers retranchements et Richie Faulkner livre un solo d'anthologie!

Le 27 Juillet 2014 par MR G

Absolument incroyable qu un groupe comme Priest ponde un album aussi fade, c est vraiment très mauvais par moment! Sur l album, il y a 3 morceaux que j aime beaucoup et qui rendent amer car cela prouve que l album aurait pu etre beaucoup mieux, ce qui n est pas dure en meme temps vu la chiasse! Il y en a un autre qui est bon sur le CD bonus mais les autres titres sont infames, pénibles et caricaturaux! Halford n a plus de voix, et s essaie quand meme a chanter dans les hauteurs et ca rend certaines chansons quasiment inécoutables! Le premier mauvais Judas Priest , mais quelle chute! K.K. Downing doit bien rigoler!

Le 26 Juillet 2014 par IAMTHETRUEHALO

Le chanteur sur Playground Love, c'est Thomas Mars, chanteur de PHŒNIX et accessoirement mari de Sofia Coppola. Sinon cette B.O. est géniale, sans l'ombre d'un doute. Il est rare que musique et film allient tous deux cohérence et qualité pareille.

Le 25 Juillet 2014 par NONO

Comme quoi, les gouts et les couleurs, ça ne se discute pas ! Là où la grande majorité se prosterne devant l'album "Synchronicity" et dédaigne (c'est peu dire) celui-là, moi c'est exactement le contraire qui se passe! J'ai toujours eu énormément de plaisir à écouter Zenyatta Mondatta, car pour moi cet album est la parfaite charnière entre la période spontanée du début et "l'assagissement commercial" formaté "tubes" d'après, Synchronicity en étant le parfait exemple. A part "Shadows in the rain" qui m'ennuie fermement, j'aime tout ici (même l'habituellement détesté "Behind my camel", je ne le trouve pas désagréable cet instrumental). Et le coté expérimental de cet album fonctionne à merveille.

Le 25 Juillet 2014 par NONO

Oui, enfin.... qu'un disque soit une "fontaine à tubes" ne signifie pas forcément qu'il soit vraiment bon ! Personnellement je trouve que ce disque est un parfait cas d'école:ici les "tubes" ne sont pas tous bons, et par ailleurs certains titres non-tubes, eux, sont excellents. La décennie 80 est une période où on ne pensait qu'en "tubes" (!), heureusement que les choses ont évolué.
Concrètement, dans cet album, j'adore particulièrement "I don't wanna know" et "Long long way to go", qui ne sont pas des titres célèbres. Quant aux tubes, j'aime bien "Dont lose my number" et "Take me home". Mais "One more night" me saoûle au plus haut point (l'emblème de la rengaine "soft", qu'affectionne la ménagère de moins de cinquante ans, encore plus si c'est diffusé dans un supermarché entre deux annonces de caissière...), et "Sussudio" m'est une toture pur mes fragiles oreilles, la quintessence de ce que ces années ont produit de pire.
Donc pour moi, "No jacket required" contient QUELQUES bonnes chansons, mais c'est quand même album surestimé à mon goût. Le suivant, "But seriously", sera bien plus intéressant musicalement... et textuellement !

Le 25 Juillet 2014 par RIKKIT

J'ai beaucoup aimé cet album sans prétention aucune. Alors, ça sent le réchauffé, mais en soi c'est le concept même de la chose. Franchement, un album délicieux, "So British", feutré comme il faut. Vraiment, à savourer lors de la période des fêtes.

Le 24 Juillet 2014 par LAN

Référenciel et indispensable !!

Le 23 Juillet 2014 par MR TINKERTRAIN

A l'époque, quand j'ai découvert le disque, j'ai été bluffé par tant de maitrise et j'ai tout de suite accroché à la mélodie. En effet, je suis plutôt partisan d'un jazz moderne, un peu electro à la Truffaz. Mais ce disque a un charme assez particulier et n'est pas redondant du tout. Chef d'oeuvre.

Le 22 Juillet 2014 par LE MERLE MOQUEUR

Berlin, Lou Reed...

Combien de silhouettes se sont égarées dans les bars sordides mais envoutants de Kreuzberg ou dans ceux de Moabit que les berlinois nomment encore des eckkneipe (bars du coin de rue) qui transpiraient l'histoire et la mélancolie ou ceux de Neukölln qui sentaient le soufre et le sexe... Combien d'ombres nocturnes perdues dans l'air givré du petit matin et qui prenait des teintes d'ocre les jours d'hiver se retrouvaient devant le mur et les mains tétanisées par le froid le suivait pour rentrer dans leur pièce qu'envahissaient la moisissure et les champignons hallucinogènes. Combien de garçons et de filles qui s'étaient liés durant quelques heures avaient des envies de vomir dans les premières lueurs de l'aube et partaient hagards et saouls de fatigue pour s'écrouler sur les berges du Landwehrkanal à deux pas de l'endroit ou les miliciens nazis avaient avec éclats de rire et jurons balancé la dépouille de Rosa Luxembourg...

Oui Berlin charriait dans son cercle infini des Lou Reed multiples... et son album monumental "Berlin" est aussi leur mémoire...

Le 21 Juillet 2014 par MR TINKERTRAIN

Je n'ai pas écouté l'album, je n'écouterais jamais d'Alizée de toute façon mais le single entendu à la radio fait froid dans le dos... Une remarque tout de même: il m'est arrivé d'entendre dans mon supermarché du Porcupine Tree et dans mon hypermarché du Dream theater, ceux qui connaissent devraient halluciner. Preuve que les stagiaires font du bon boulot! Bref, excellente chronique qui nous a bien fait marrer moi et ma femme!

Le 18 Juillet 2014 par THIERRY RAOULT

extrait de la chronique = "J'ai Retrouvé Mon Flingue !". Là, par contre, c'est plutôt mou du genou.

Tous les goûts sont dans la nature. Pour ma part, c'est le MEILLEUR titre du disque, et un des meilleurs sur l'ensemble de la discographie.
Paroles le texte est très bon.
Musique c'est très rock, très guitare!

Dommage que Renaud n'ait pas joué ce titre en live.

Le 18 Juillet 2014 par RAMON

"Souvenirs, souvenirs…"
Je me ballade dans un quartier de Paris où les cinémas abondent, et comme d'habitude, je regarde les affiches et les photos qui illustrent les films joués en salles, quand je m'attarde sur une galerie de personnages fantastiques et peinturlurés dont l'un semble prendre son envol au milieu de ce qui pourrait être un cloître…Ce personnage, c'est Gene Simmons, que je découvrirai quelques temps après et le film s'appelle "KISS contre les fantômes".
C'est resté gravé.
Le pire, c'est que je ne sais même pas si cette image existe réellement dans le film !
Mais ce fut ma première rencontre avec KISS et je ne suis pas allé voir le film.
J'ai attendu Kissology II.

Alors oui, ce film est totalement, complètement, absolument ARCHI-NUL, mais d'une force…
C'est simple n'importe quel gugusse à l'époque, découvrant une caméra super huit dans ses souliers le jour de Noël, n'aurait pas fait pire.
je remercie TOMTOM, pour avoir rappelé le pitch et le scénario du film, (quelle abnégation au passage, ce n'est pas donné à tous !), sorti en salles françaises sous le nom de "Kiss contre les fantômes".
Petite précision par rapport au mobile: il me semble qu' Abner Devereaux se venge parce que le patron du parc veut le virer, mais voilà toute la vie d'Abner est dédiée à ses attractions devenues ringardes !
…

Ca indique clairement un point de vue, si on choisi cet angle d'analyse.
Bah ouais, je sais il faut bien trouver quelque chose à dire sur le sujet (lequel en plus n'est pas musical).
KISS ne mêle pas la politique ni le social à son théâtre, n'entame aucune réflexion un tant soit peu philosophique en dehors de son culte pour la fête et quelques uns de ses ingrédients comme le sexe, l'alcool est le rock'n'roll, et comme souvent dans ce cas là, KISS est une entité bien réactionnaire,et il le démontre ici sur pas mal d'aspects.
Au moins, l'hydre à deux tête (Gene et Paul) ne se cache pas.
D'ailleurs, si "KISS Meets…" est nul, c'est qu'il n'a pas du tout marché…c'est du moins l'avis de Gene et ses critères sont simples: c'est bon, ça se vend, c'est mauvais, ça se vend pas.
Ici, nous écopons aussi d'un sommet de kitscheries dépassant allègrement les hauteurs Hymalayéennes, faisant passer les séries allemandes pour des mangas, étalant un mauvais goût jamais pris en défaut.
On a pu faire pas mal de comparaisons entre KISS et Alice COOPER, mais là où Alice met en scène Le grotesque, KISS EST Le grotesque, c'est pourquoi une fois ce parti pris adopté, j'aime bien la plupart de ses albums, mais là, les gars ont clairement oublié ce que les BEATLES ont apportés dans chacun de leurs films aussi bancals soient-ils, ce petit truc en plus qui est l'ordre de la magie (pourtant présente en concert, du moins le plus souvent) et le problème est que ça se voit.
KISS laisse donc son âme d'enfant dans un parc d'attraction, mais l'enfant que j'étais a découvert KISS aux abords de ce parc, comme quoi le marketing US est d'une efficacité implacable finalement.

Le 18 Juillet 2014 par CéDRIC

cet excellent album est un mélange réussi de blues de rock and roll et de country pour vous convaincre jetez vos deux oreilles sur les classiques travelin band, lookin out my back door, up around the bend et ramble tamble

LE MEILLEUR ALBUM DU GROUPE

Le 17 Juillet 2014 par ANNEKE GIERSBERGEN

C'est très bon malgré une revendication pop assumée sur ce disque. Un peu de variété ne fait pas de mal me direz vous, surtout quand c'est si bien chanté et que le voyage est présent. C'est un peu ce qui caractérise les disques de Cecile, le voyage, a l'instar d'un Iona plus Rock. Néanmoins je préfère nettement la BO d'Arietty, sans doute car je suis une grande gamine, et aussi parce qu'il y a plus de belles mélodies.

Le 17 Juillet 2014 par KUROSAWA-SAN

J'ai découvert ce groupe sans être passé par la case Curve, mais plutot par les cases Jazz, Metal, Prog... Et je dois dire que So7B est le genre de groupe que j'affectionne particulièrement sans l'écouter tout le temps. Un peu comme la clope qu'on fume en cachette, très bon sur le moment. Les raisons sont simples, c'est Pop, c'est electro, c'est très bien composé et produit. Les voix féminines contribuent aussi à mon plaisir, étant amateur de Gathering et autre Beady Belle. Rafraichissant.