Je n’adhère pas à la démarche.
Stivell s’en est mordu les doigts, se trouvant obligé d’effectuer fissa un « Back to Breizh ».
Ce que j’aime, dans la musique celte, c’est son enracinement.
Or, de Prigent à Corbell, certains artistes s’orientent vers une sorte de « world music » insipide visant à sans doute à plaire au plus grand nombre.
Quitte à devenir de moins en moins celte et de plus en plus « portnawak ».
Je trouve cette démarche trop commerciale et opportuniste : bienvenue au "global village".