Romantique, mélancolique et chaleureux?
Je dirais You Must Believe in Spring (et pas seulement parce que nous sommes en hiver).

Sinon, il y a les albums (mythiques) issus de la cession au Village Vanguard:
- Sunday at the Village Vanguard
- Waltz for Debby
Regroupés et augmentés dans le coffret: "The Complete Village Vanguard Recordings, 1961"

Et pour finir, un album en solo (les précédents cités sont en trio):
- Conversations With Myself

ça n'a rien à voir avec le Keith Jarrett du Köln Concert, cela dit.
Bonne écoute!

Merci Ameforgée. J'avais pris la liberté de me commander justement "You Must Believe In Spring" et "Bill Evans : Time To Remember", un cd assez rare de Live 1965-1972 mais ce n'est définitivement pas Keith Jarrett en général d'ailleurs et en tant que pianiste de jazz je préfère ce dernier...

PS: pour ne pas perdre mes sous que dirais-tu d'un envoi de chros d'essai sur Bill Evans et d'autres puisque vous recrutez sur FP? Merci.

PPS: les Village Recordings sont introuvables ou alors hors de prix. Quant à la qualité intrinsèque de cet objet en 3 cds (un ami possède l'ensemble de l'oeuvre de Bill Evans) ce que j'en ai écouté m'endort un peu à vrai dire...

A+ & bonne année

Comme le dit si bien Possopo, Bill Evans peut paraître parfois un peu soporifique.

Pour répondre au premier PS: avec plaisir, on est toujours en recherche de nouveaux chroniqueurs.

à bientôt et bonne année.

Sans aucun mérite perso une petite anecdote sur le tout début du concert : Jarret était effectivement super énerve (il est un peu râleur le gars quand même) a cause de cette histoire de piano et d autres trucs (il était allé dans un Resto italien complètement nul, pas dormi depuis deux jours etc)Le piano qu ils attendaient en remplacement n est jamais arrive a cause d' une grève. En Allemagne ! Manque de bol quand même. Mais je m égare.

Bref, tout le monde s assoit, Keith joue les 4 premières notes... Et la, petit silence et quelques rires feutrés audibles sur l album... Il reprenait la sonnerie de la salle qui indique aux spectateurs qu il est temps de regagner leur place. Les quatre premieres notes de cet album de légende sont celles de la sonnerie de l opéra de Cologne. Il fallait le faire...