Oui, cet album est d'autant plus recommandable que juste après sa sortie, la Néo-Zélandaise et New-yorkaise d'adoption avait dit qu'elle ferait une pause...pause qui semble plus que durer. Tamaryn, au boulot !!!
Je l'aime bien "Cranekiss", car même si elle abandonne le doux shoegaze (?...c'est possible) de ses deux premiers albums, sa touche même dans une veine pop froide mélancolique et rêveuse est des plus plaisantes.
J'y entends parfois des réminiscences de Slowdive (" I Wont't Be Found "), voire même de Kate Bush comme sur "Sugar Fix".
Le fameux concept du rêve éveillé propre à cette scène fonctionne pleinement et ce n'est vraiment pas fait pour me déplaire.