Vlà le premier album avec de vrais barbiches, même Beard en a une à cette époque !
Cette livraison ne dépareille pas dans la riche discographie du "little band from texas". On reste dans le "lone star state", le Deguello étant l'air joué en prélude à l'assaut final signifiant "pas de quartiers " sur l'ordre du général Santa Anna à "Fort Alamo" , ouais celui là ou notre héros à tous Davy Crockett bin il est mort...
Je suis pas d'accord avec le Marginal, la musique que joue aujourd'hui le Top est entièrement roots-cf le dernier album boogie en diable comme le prouve l'inoxydable "Two ways to play" qui porte bien son nom- , le jeu de gratte de Billy est blues, avec un son moderne ou pas, who cares ? Cette pseudo discussion sur le fait qu'avec Eliminator le Top ait vendu son âme au diable devrait cesser une bonne fois pour toutes. De toutes façons c'est Robert Johnsson le fautif, c'est lui qui a vendu son ame au diable... Le Blues entier est maudit! Non ?
Cela dit "Cheap sunglasses" porte déjà la marque "Eliminator" Cyber boogie. L'opus est gorgé de classiques "Dust my broom", "She loves my automobile" dans laquelle on atteint un seuil intellectuel remarquable. J'adore le "I'm bad I'm nationwide" , tellement cool.
Tout cela est fort sympathique. De toutes façons , à part 'El loco" et "Rhythmeen" la disco des texans est "perfect".