SUPERTRAMP : BREAKFAST IN AMERICA (1979)


					DVD Archives Nouveautés Sélections Carnet de bord Editos Editos Chroniques







Recherche avancée Liste groupes

Moyenne établie
sur la base de
10 commentaires notés [?]

Supertramp
Breakfast In America

Page 1 | 2 |

le 24 Mars 2015 par THIERRY RAOULT

Je ne mets pas 5/5 à Breakfast.
C'est vrai, cet album est rempli de tubes (4).

Personnellement, j'ai accroché à Supertramp en entendant "Goodbye Stranger" à la radio. Les couplets et le refrain sont magnifiques, les deux leaders se partagent le chant, et surtout, quel solo de guitare au final.

A mon goût, il y a 4 grands titres: "Gone Hollywood", "Goodbye Stranger", "Take the long way home" et "Child of Vision". C'est beaucoup, 4 sur 10.

Il y a bons 4 bons titres: "Logical Song" (je ne la trouve toujours pas extraordinaire), "Oh Darling" (sympa), "Lord is it Mine", "Just Another Nervous Wreck" (c'était la face B du 45t "Goodbye Stranger").

Il reste 2 titres faibles: "Breakfast in America" (je ne l'ai jamais supporté, je ne sais pas pourquoi, peut-être parce que j'ai souvent entendu que Roger Hodgson l'a composée dans sa jeunesse, et du coup je la trouve enfantine) et "Casual Conversations" (titre banal).

Conclusion, j'attribue un 4/5.

---
Remarque: voyez le nombre de grands albums sortis en 1979
The Wall, Highway to Hell, Reggatta de Blanc, L'élite, Lovedrive, One Step Beyond, London Calling

le 15 Janvier 2011 par BENNETT

Il y a des albums qu'on aime un temps et des albums qui ne vous quittent jamais, pour moi Breakfast in America fait partie de la seconde catégorie. Un réservoir à tubes sans la connotation "commercial et formaté" qui a rythmé mon existence depuis toujours et que j'écoute avec la même fraicheur à chaque fois.

Comment expliquer cela ? Je ne saurais pas franchement vous le dire, tant mes raisons d'aimer cet album sont diverses. La construction du disque est vraiment remarquable et ne laisse jamais entrevoir l'ombre d'une faiblesse tant dans les compositions (où l'on sent la scission des désirs de Davies et Hogdson qui sera consommée dans leur disque suivant) que dans leur enchainement en particulier les quatre premiers titres qui représentent ce que Supertramp à apporté de mieux au rock progressif ou plus vastement à la pop. Cela a été maintes fois répété mais Breakfast in America est bel et bien un disque important de l'histoire de la musique qui ne vieillit jamais, au contraire les claviers "Supertrampiens" (vive les néologismes) ont un charme fou et donnent une patte reconnaissable au groupe, un détail pour beaucoup, mais d'une importance capitale pour jauger de la personnalité artistique et la singularité d'un groupe.

Merci tout simplement à ce disque d'exister et de m'avoir fait découvrir un groupe magique, ainsi qu'un genre musical qui ne cesse de me fasciner : le rock progressif. Et dire que j'étais même pas encore né quand tout ça cartonnait, comme quoi il n'est jamais trop tard.....

le 14 Avril 2010 par ASYMPTOTE_PARABOLIK

Je deteste cet album ! Je supporte pas la voix manière Bee Gees de Roger Hodson, mais là elle est y est tout le temps.
Je préfère nettement la voix de l'autre chanteur principal, Rick Davies, qui fait nettement plus sérieux dans le style.
Ceci dit j'aime bien Roger Hodson aussi mais pas sur Breakfeast (à part la plage titulaire peut être).

le 09 Mai 2009 par FRANCK

Magnifique ce disque en effet.
La critique barbare se targuera bien sûr de le descendre de par son côté trop commercial. On reconnaît bien là les écrivaillons soixante-huitards qui ne supportent jamais que leur groupe chouchou ne fasse pas la même chose sur le plan musical et ce, durant toute une carrière !
Sortez le dimanche messieurs, faut vivre avec son temps !

le 24 Janvier 2008 par GROGRO

Tout est dit. Breakfast In America fait partie de ces disques intemporels qui ne prendront jamais la moindre ride, et qui restent aussi pertinents qu'au premier jour. Child Of Vision est l'un de ces moments de grâce qui vous transcendent à chaque écoute. Parmi les 5 disques les plus importants de l'histoire de la pop, rien de moins.