"La chanson de Prévert" prend, à juste titre, toute la lumière mais cet album renferme d'autres petits bijoux. A-t-on jamais entendu plus délicieusement cynique que "En relisant ta lettre" où une femme éplorée se voit renvoyer à la figure ses fautes d'orthographe ! "Viva Villa" est épatante tout comme "Les femmes, c'est du Chinois". Tout n'est malheureusement pas du même tonneau, mais l'ensemble se tient agréablement.