@LE OUISTITI. Ce que vous soulignez est intéressant car vous évoquez l'une des causes (nombreuses) du rejet, voire de la détestation d'Indochine : ses textes.
Pour le fan (avec recul) que je suis, je peux comprendre aisément ce sentiment. J'apprécie le plus souvent les mots de Sirkis plus pour leur musicalité, leur rythme (c'est assez difficile à expliquer en fait) que pour leur sens souvent assez sibyllin. Ses textes les plus intéressants s'étendent sans conteste de 3 (1985) à Dancetaria (1999). Avant, c'est assez naïf (c'est leur charme) et après, c'est dans le meilleur des cas plat, redondant pour ne pas dire en roue libre. Je pense aussi que le fait que ce soit notre langue maternelle joue aussi. On est sans doute plus sévère quant aux sens, tournures et autres constructions.
Par contre, je n'arrive pas à voir à quel moment Sirkis chante cet extrait sur "College Boy" puisqu'il dit "Oui j'ai le droit/De te faire ça quand tu te réveilleras/Le droit d'ouvrir tes jambes/
Quand tu te réveilleras/
Une version alternative ? :)