Le plus exotique, peut-être, des albums d'Indochine ? Le son n'est pas top mais donne cette impression de lointain, d'être à l'autre bout, tout là-bas, dans cet extrême orient de rêve et d'aventure. C'est comme de ressortir une bonne vieille BD pulp voire un comics d'antan.
Les deux premiers albums d'Indochine semblent très proches niveau ambiance, mais on pressent un horizon sonore qui s'étendra davantage sur l'album, 3.
Deuxième album de la trilogie exotique d'Indochine, un peu en dessous des deux autres, Le Péril Jaune, relève tout de même quand on écoute du petit plaisir innocent, loin des jugements élitistes parfois d'un pointillisme exaspérant.