Parfois, vous me faites rires, avec vos commentaires. Y'a combien de punk dans votre "All Mod Cons" M. Weller? 35% ? Ah ben pour l'AOC ça va pas être possible. Voudriez pas rajouter un peu de Stooges dedans? Oui, je sais bien que ça dénaturetrai votre son, mais ça ferait plaisir à ceux qui achètent des disques parce que c'est pur Punk. Vous savez, les gens se comportent comme des moutons souvent. Ben oui, les punks aussi. Je sais, c'est moche. Vous changez rien. Ok. Je vous colle un 65% Mods alors, ça se vend plus des masses de nous jours, mais avec un peu de bol vous profiterez d'un revival, vous savez, les gens sont cons. All Mod Cons, ça pourrait fédérer.
Ce que je veux dire, maladroitement j'avoue, c'est que vous êtes un peu nazes les gars. Surtout les exégètes qui dissertent sans donner envie d'écouter ce bijou à un David qui y viendra peut-être un jour le moment venu. Et je te le souhaite David. Parce que cet album est l'oeuvre d'un très jeune groupe qui glandouillait dans une Angleterre grise, puante, où les prolos n'avaient pas d'autre choix que d'abandonner la lutte ou crever de faim. Trois jeunes musiciens qui voulaient s'éclater. Et décrire ce que c'était qu'être un jeune Anglais. Essaie "Dowwn in the Tube Station" at Midnight" avec les paroles sur les genoux, et dis-moi que ce n'est pas ce qu'on ressent, punk, quand on a les skins au cul.
