The Jam, comme les Kinks avant lui, n’est pas un groupe d’albums mais un groupe de singles avec peu d’albums vraiment essentiels. Et donc, comme les Kinks, c’est un bon candidat à compilation. Celle-ci fait référence. C’est, je crois, un des disques de chevet de Noel/Liam Gallagher, et je ne sais pas si c’est vraiment positif.
Je trouve l’intéret presque plus sociologique que musical : comment, en 5 ans, un groupe est-il passé de sous-Clash un peu laborieux sans grand intérêt à groupe de soul blanche tendue et de grande classe ? Mysterieux, et le mystère s’explique sur cette compil qui voit le groupe progresser de titre en titre. Le début est un peu pénible, la fin grandiose, le milieu bon.