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The Corrs
Borrowed Heaven
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le 14 Juillet 2022 par MARCO STIVELL

Grands mercis à toi d'avoir relancé l'envie de me refaire l'intégrale studio des albums des CORRS, surtout maintenant qu'il y a sept albums et non plus seulement cinq.
Pendant une autre forme d'écriture intensive, ça aide bien, je dois dire.

Il y a eu d'abord Forgiven Not Forgotten, l'éclosion, la découverte et un album que je réécoute avec de plus en plus de plaisir. Quelle fougue, quelle beauté dans les refrains pas forcément tous chantés, quelle jeunesse exceptionnelle pour l'époque en 1995 (entre coolitude et identité historique par leur culture natale) au milieu des rappeurs, des "rave-eurs", des cheveux gras et jeans troués, des chanteuses pop-eurodance loin d'être aussi raffinées !
Ensuite, Talk on Corners en 97, des tubes incroyables mais hélas aussi des sons trop froids, boîtes à rythmes etc. qui déteignent sur les titres moins connus en particulier.
In Blue en 2000, à la conquête du marché américain, et autant "Radio" est génial, autant "Mutt" Lange fait des merveilles avec l'énorme "Breathless", autant je peux être indulgent avec "Irresistible" et d'autres, autant ce disque souffre des maux du précédent en pire du côté de la production, et baisse dans l'inspiration.
Petit saut vers le cinquième album, Home, hommage à l'Irlande mieux ancré, très joli par certains aspects, même s'il aurait pu être encore meilleur, moins léché.
Plus tard, beaucoup plus tard, les albums plus "adultes", White Light (2015) qui reprend les choses là où elles étaient restées dix années plus tôt, un excellent disque de retour avec quelques thèmes moins adolescents (quarantaine d'âge dépassée pour les soeurs Sharon & Andrea oblige) ; Jupiter Calling (2017) enfin, très beau, plus exigeant, avec la finesse dont manquait Home parfois. Deux disques qui n'ont pas eu le succès mérité. Pas assez d'Auto-Tune, de rap, de zouk etc. sans doute.

Et puis, au beau milieu de tout cela, il y a comme tu l'as très bien décrit ce disque incroyable, le grand oublié de l'histoire, y compris par moi-même ces dernière années, alors que je le citais encore parmi mes favoris !
Borrowed Heaven (2004), j'y reviens en me disant : waouh, des tubes ! "Angel", "Summer Sunshine", le slow "Long Night" beau à pleurer. Des titres bien cool comme "Humdrum" (qui ouvrait la tournée subséquente), "Hideway", "Even If", "Babe Be Brave". Se prendre une bonne patate dans la figure avec le son du refrain énervé de "Confidence for Quiet", comme l'avait déjà fait "Summer Sunshine", de quoi valoir les moments similaires du premier album près de dix années plus tôt. Les CORRS revenaient alors à un son organique et cela faisait le plus grand bien !
Ah et puis quand on vient de faire "Goodbye", un morceau si épique en studio qu'on a l'impression d'être déjà dans une fin de concert, avec tous les frissons possibles et l'envie que ça s'arrête pas, sauf qu'on l'a calé en milieu-début d'album, comment est-ce qu'on peut relancer, qu'est-ce qu'on peut bien proposer ensuite ? "Time Enough for Tears", complètement différent, sans nul autre pareille dans la discographie, et autrement gracieux.

Ah la la, quel groupe !

le 03 Juillet 2022 par MR TINKERTRAIN


Cet album, c'est un peu comme la suprême bombasse plantureuse juste devant moi à la queue du foodtruck à la plage. Oui, en plus, elle est en bikini. Ça donne envie de l'aborder car il fait chaud et qu'on s'emmerde. C'est chose faite, et là je me rends compte que en plus d'être mignonne tout plein, elle a une voix très sexy. Après notre conversation, elle se met à chanter des airs pop. Et elle chante bien en plus. Je la regarde partir et m'attarde sur le tatouage celte au creux de ses reins. C'est à mon tour... et je ne sais plus quoi choisir.













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