Ooh! Dans "Sweet home Chicago", Robert situe cette ville en Californie, ce qui est assez marrant, finalement. Les Bluesmen de cette époque n'avaient pas ou peu fréquenté l'école, ils descendaient en ligne directe des derniers esclaves. C'est aussi ce genre d'erreurs qui fait le charme du blues, voire son côté "culte".
A propos, pourrait-on avoir une chronique de "Missisipi" John Hurt, qui n'est pas un bluesman, mais plutôt un 'songster": ce type, redécouvert dans les 60's, était absolument génial!!