Ian Anderson désirait publier un disque se rapprochant du heavy metal (pour faire écho à cette vieille histoire de Grammy Awards avec Metallica !), et cela donne finalement «Homo erraticus », où l'on perçoit effectivement un (relatif) durcissement de ton, avec une quasi absence de passages acoustiques. Solide dans sa construction et son développement narratif, mieux joué et réalisé que TAAB 2, ce nouvel opus d'Anderson ne propose cependant rien de bien neuf. Sympathique mais dispensable.