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Moyenne établie
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6 commentaires notés [?]
Mano Negra
Casa Babylon
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le 15 Août 2020 par CHRIS
Je pense que cet album fait le trampoline entre la Mano Negra et la carrière solo de Manu Chao.
J ai l'impression que c'est le premier album de ce dernier, déroutant au premier abord, mais il annonce ce que fera Manu Chao en solo.
Je trouve cet album très bon, mais à part dans la discographie du groupe.
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le 10 Décembre 2016 par VIV
Album très lassant et décevant, peu d'intérêt comparé aux trois premiers de la Mano. Je ne conseille pas cet album, à part pour compléter sa collection éventuellement...
Le joyeux bazar, plein de richesses musicales et de prise de risques tous au long des autres albums est passé.
Album sans âme, contrairement aux premiers albums solo de Manu Chao qui seront quelques années après, bien plus intéressants !
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le 08 Mai 2013 par RAMON
Bah,là je m'inscris en faux par rapport à la chronique, sur cet album qui, il est vrai n'est plus totalement de la Mano (Jo s'est fait la malle, les autres ne jouent pas tous les titres) mais qu'importe...
L'épisode du train, le périple de trop en Amsud, est un désastre: les musiciens ne peuvent plus suivre le rythme effréné imposé par un Manu qui commence à sentir les limites de la démocratie,et après tout c'est le lot de plein de formations même les plus dictatoriales, donc droit de vote ou pas, l'aventure finit fatalement par arriver à son terme naturel.
L'album quant à lui est un formidable patchwork, gorgé de classiques intemporels.
L'ouverture sur Viva Zapata, mêle un chant révolutionnaire traditionnel à une mixture l'electro/house pré technoïde qui surprend par sa virulence tout en sonnant Mano,
Casa Babylon est une salsa irrésistible, The Monkey un titre monstrueux dans la lignée de King Kong Five ( c'est même son petit frère en fait ), Santa Maradona prie pour nos âmes égarées, machine Gun est un reggae bien hargneux, Bala perdida déchire et atteint son but, Mama perfecta soigne nos plaies, Drives me crazy, Hamburger fields et Love and hate sont des titres rocks efficaces qui s'inscrivent d'emblée dans nos crânes pour ne plus les quitter, enfin Sueño de solentiname, qui vient du patrimoine Cubain apporte une touche de sérénité bienvenue après une telle demonstration de puissance et d'inventivité.
L'album se clôt par un collage sonore, this is my world, qui préfigure l'orientation artistique que choisira Manu Chao.
Aussi bon que le génial Puta's Fever mais nettement plus sombre, le chant du cygne de ce goupe magnifique que fut la Mano Negra restera comme un classique du collectif qui sera resté d'une intégrité remarquable tout au long de son existence, prennant des tas de risques artistiques mais aussi économiques ou encore humains: combien d'artiste sont allés se risquer à jouer dans des parties et endroits du monde plus réputées pour leur taux de mortalité par balles, leurs enlèvements que pour leurs hôtels tout confort ?
En 1995 Manu Chao est à Belfast, le nom Mano Negra est inscrit à l'affiche d'un festival. En fait si Philippe est bien là (à la batterie!) ainsi que Thomasin (aux samples), tous les autres sont partis et on voit apparaître David (à la guitare!) ainsi que Gambit, ex French Lovers (aux vocaux uniquement) soit la future section rythmique de Radio Bemba.
Mais Manu n'est pas du genre à se contenter d'un programme officiel, alors il emmène sa troupe dans les pubs, on les retrouve aussi en vedettes d'une soirée organisée sur un terrain vague du West Belfast (quartier sous haute tension, la "paix" entre catholiques et protestants étant très récente) jonché de débris de canettes en verre, devant un public survolté.Les morceaux interprêtés seront en grande partie issus de ce Casa Baylon, qui du coup aura bénéficié d'une tournée promo défendue par un groupe qui se faisait appeler, selon les endroits Mano Negra ou Radio Bemba, mais jamais encore manu Chao & Radio Bemba.
Manu n'a jamais cessé de tourner, en fait: juste après, l'Espagne, le Maroc et l'Amérique du Sud étaient au programme.
L'album Clandestino ne sortira qu'en 1998, mais c'est une autre histoire...
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le 03 Mars 2011 par GORSICA
Bonjour,
Je trouve votre critique de l'album "Casa Babylon" complètement infondée et surtout, en lisant votre critique je m'aperçoit de votre ignorance totale face, non seulement au groupe mais surtout quand à la personnalité même du membre fondateur et créateur Manu Chao. En effet, à défaut de dire la vérité vous ne faites que mentionner votre point de vue, encore une fois en toute ignorance. Cet album est en fait le premier album solo de Manu Chao, lui seul était en studio, avec gambit, son fidèle bassiste encore aujourd'hui, et le groupe était déjà dissous. De plus, et là pour terminer sur un point totalement positif par rapport à votre point de vue, si vous prenez le temps de lire les critiques unanimes, et de l'époque, et d'aujourd'hui, "Casa Babylon" est annoncé comme étant le meilleur album du groupe. Je doute donc de votre point de vue qui fausse non seulement fausse la réalité par manque de richesse culturelle de votre part, mais également me permet de remettre en doute ce site qui, comme je le croyais naïvement, les notes données aux albums ne sont pas dues à l'ensemble de notes données, votées par l'ensemble des internautes, mais par une seule et unique personne. Et au vue de votre niveau de connaissance, je préfère aller voir ailleurs, sur d'autres sites, comme "Spirit of Metal", beaucoup plus démocratique. Sans rancune, et viva la mano!
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Par Forces Parallèles
Remettons les choses au clair. Tout d'abord, bienvenue sur Forces Parallèles : tu découvres enfin ce site affreux où les chroniqueurs notent à leurs guises des albums qu'ils chroniquent, avec pour la plupart, un point de vue (argh) subjectif. Et puis, oui, Forces Parallèles, c'est la dictature, notre antidémocratisme empêche nos lecteurs d'exprimer leurs avis par l'entremise des commentaires. Et puis n'oublions pas de signaler que, non, les moyennes de ces notes de ces mêmes commentaires ne sont pas non plus affichées. Quel site de merde, je ne te le fais pas dire, vive Spirit of Metal.
Pour ce qui est de mon manque de richesse culturelle, j'avoue que tu m'apprends quelque chose en me disant que la Mano Negra s'était dissoute avant l'enregistrement de cet album. Mais je me permets d'en douter, puisque la plupart des musiciens sont crédités au verso du disque, et que, que je sache, l'album porte la mention "MANO NEGRA" et non celle de "MANU CHAO". Mon manque de richesse culturelle me rappelle aussi que le procès entre les musiciens et Manu Chao interdit à ce dernier d'utiliser le nom de Mano Negra par la suite. Donc, logiquement, Casa Babylon est bel et bien un album de la Mano Negra.
Enfin, ma critique est totalement infondée. Mais pour qui ? Pour toi ? Tu parles de démocratie, et tu ne respectes même pas un avis contraire ? Certes, j'avoue que j'y suis allé un peu fort par endroits, mais je ne peux qu'être affligé par la qualité médiocre de cet album, comparé aux trois autres. Tu as sans doute adoré Casa Babylon, tant mieux pour toi, cela ne fait pas de toi, à mes yeux, un idiot qui n'a rien compris à la Mano Negra. Bien au contraire, tous les avis, de quelque ordre qu'ils soient, sont les bienvenus.
Sans rancune
Jovial
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le 23 Juillet 2010 par EL PACHENKA
"Casa Babylon" sort trois ans après "King Of Bongo". Entre-temps, la bande à Manu Chao se sera faite oubliée (de mon impression) avec l'arrivée du grunge et surtout avec l'effervescence d'un autre groupe made in France, Noir Désir. "Casa Babylon", c'est la Mano Negra qui a mué, évolué, qui n'est donc plus la Mano Negra que l'on connaissait d'avant. C'est comme si l'Amérique du Sud s'était accaparée le groupe qui nous paraît à l'écoute de ce quatrième album studio bien moins familier et bien plus étranger. La tournée en cargo y a été pour quelque chose. Personnellement, c'est l'album qui m'a le moins emballé bien que comportant de bon titres ("The Monkey", "Senor Matanza", "Love And Hate" ou "Sueno De Solentimane").
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