Voilà typiquement le genre d'album porté à bout de bras par trois ou quatre chansons magiques qui masquent mal la banalité du reste.
Le vrai coup de génie de CAT STEVENS, c'est d'avoir mis ces chansons en début de disque, et c'est vrai que l'on prend une sacrée claque. Rien à dire, c'est très fort. Mais ensuite, quelle monotonie ! Dans la seconde moitié, je ne sauve à la limite que "Father and Sons", et encore.
Il y a des choses bien meilleures, moins inégales, à écouter dans la discographie de cet artiste, notamment son tout premier album Matthew and Son, sorti en 1967. Une petite merveille.
Mais bon, malgré tout : quelle voix, tout de même...