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SANTANA
ABRAXAS


Le 27 Juin 2012 par LGC


Je le préfère nettement au premier. Cet album est une sorte de suite très logique de l'album précédent, c'est à dire que le style est tout à fait le même, les principes identiques, mais quelques failles de l'album Santana sont corrigés dans celui-ci, et aussi des améliorations sont ajoutées tant au point de vue compositions, que style, que qualité sonore, quant à l'interpretation vu qu'on a remis les mêmes, il risque pas d'y avoir des défauts.





RUSH
CLOCKWORK ANGELS


Le 27 Juin 2012 par MYSELF


Magistral ! Epique ! Comment un groupe déjà aussi mythique peut-il encore nous pondre un 20e album d'une telle qualité ? Sans doute l'un des meilleurs albums de Rush et sans aucun doute un des meilleurs albums de hard rock de ces 10 dernières années (oui en effet cet album est clairement un album de hard rock).





The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 26 Juin 2012 par LE MERLE MOQUEUR


À propos d'ABBEY ROAD

"... et c'est fini ! "... ... ... ...

... ... ... ... et tout recommence...

La qualité du disque va dépendre de l'esthétique musicale qui se dégagera de l'ensemble des morceaux que les BEATLES auront confectionnés dans les studios Abbey Road.

Oui ... CONFECTIONNÉS ! le mot est exacte... il s'agit de confection... du fait sur mesure... voir de la haute couture.

C'est le onzième album et la dernière collection de chansons présentée et réalisée par les maîtres-couturiers de Liverpool.

Néanmoins la réussite du disque ne dépendra pas uniquement de l'ambiance générale du vinyle , mais du choix méticuleux des chansons pour la créer...

Et ce vinyle est un QUILT , un PATCHWORK...

Il faudra tout le génie inventif du groupe pour le réaliser...

Il faudra l'assemblage , l'ajustage , le contraste sonore dû au choix délibéré de morceaux collés les uns au autres ( ce que Marcel Proust nommera dans son "... temps perdu." des "paperoles".)

Il faudra le travail méticuleux d'une équipe technique dirigée par George Martin
pour éclairer ou obscurcir les morceaux et ainsi créer des variations , des profondeurs , des éclats de lumière et même de la bonne humeur entre
les FAB FOUR qui lors des enregistrements ne seront jamais en quartette.
( Ce qui paradoxalement produira cette émulation "qui les conduira à se
surpasser")

Il faudra beaucoup de joie , de connivence et rentrer le temps des prises les rancœurs accumulées.

Oui de la couture... il y aura des montages , des raccords , des superpositions
vocales , le Moog sera popularisé... et de fil en aiguille le disque prendra forme... ce sera une pièce unique... avec des tons de rouge , de vert , de jaune , de pourpre , d'orange et de bleu... Couleurs chatoyantes... tellement british !

Le succès commercial sera au rendez-vous. Mozart avait de son vivant lui aussi rempli des salles en liesse...

Je laisse à d'autres les explications de textes , elles sont nombreuses...certaines avec des sources auxquels on peut puiser sans risque d'erreur et d'autres plus artificielles , souterraines dont les légendes s'abreuvent...

...de ma fenêtre le jour perce , bientôt je vais voir les premiers rayons de soleil...







RUSH
CLOCKWORK ANGELS


Le 25 Juin 2012 par MARCO


C'est mon premier album de Rush (je ne connaissais que les chansons "Tom Sawyer" et "Fly by night" avant cet achat) et c'est une claque magistrale. Probablement un des meilleurs disques que j'ai écouté ces dix dernières années. La production est énorme et les chansons sont à la fois impressionnantes et accrocheuses (cf les riffs monstrueux de "Caravan"). Un chef d'oeuvre!





ORELSAN
LE CHANT DES SIRèNES


Le 25 Juin 2012 par WALTER SMOKE


Ah, oui, le rap...parmi les nombreux genres musicaux, il faut avouer qu'il est encore plus rejeté et marginalisé que ses compères ! Mais bon, d'un autre côté, y'en a qui cherchent : pour rester dans notre pays, quand on voit des phénomènes comm Booba et La Fouine, qui sont les "meilleurs" représentants du rap bling-bling, avec des punchlines et des mises en scènes pathétiques, on se dit qu'il faut fuir. Oui, mais c'est comme si, dans les années 70, on blâmait le prog juste à cause d'Emerson Lake & Palmer. Et c'est là qu'intervient Orelsan, en qui on peut voir l'arrivée du rap mainstream de haute qualité - ah oui, et arrêtons de le qualifier d'Eminem, merde !

Le Chant des sirènes, donc, c'est quoi ? Eh ben, ceci n'engage que moi, mais j'estime que cela pourrait être une porte d'entrée au rap pour les amateurs de pop, car il est difficile de dire si c'est du rap mâtiné de pop ou l'inverse ! De plus, les paroles s'éloignent assez des clichés à la con comme on en trouve sur les deux dernières œuvres de La Fouine. Bon, après c'est pas l'album francophone de la décennie, à cause de morceaux de remplissage bien inutiles, comme Finir Mal et La Terre Est Ronde, mais il n'y a pas de morceaux minables quand même, n'exagérons rien.
Et puis, on a à côté de véritables tueries comme l'ouverture Raelsan, La petite marchande de porte-clefs et ses paroles peut-être proches de la réalité, ou encore le dyptique 1990/2010. Mais le véritable pinacle de cet album, c'est bien évidemment Suicide Social, qui tire sur tout le monde, sans exception (j'avoue que les attaques unilatérales, j'aime pas ça) et qui pourrait être l'une des chansons les plus fortes de la musique française, rien que ça !!!

Le Chant des Sirènes, malgré des longueurs inutiles, est à mon sens un album qui a le potentiel de toucher même les opposants au rap les plus ouverts.





ORELSAN
LE CHANT DES SIRèNES


Le 25 Juin 2012 par POL

Quelle lourdeur générale, tant dans la musique que (surtout) dans les paroles. A l'image du rap français en général.





ORELSAN
LE CHANT DES SIRèNES


Le 25 Juin 2012 par SUNJABES


De bonnes chansons (Raelsan, Suicide Sociale, Elle viendra quand même), des chansons FM pour faire mouiller les minettes (Si Seul, La Terre est ronde et ses refrains niaiseux comme dirait nos amis québécois), des délires assez lourd (Double Vie, Plus rien ne m'étonne et ce lapin crétin qui te donne envie de te cogner la tête contre les murs), d'autres plus sympathique (la très old school 1990 et la futuriste 2010 qui rappelle vaguement Jimmy Punchline).

En bref, y a un peu de tout dans cet album, du bon au mauvais.
Les instrus sont moins recherchées que sur le premier, je trouve, ses délires passent moins, il a au final peu évolué et s'est contenté d'être en mode automatique. Dommage, on sent un potentiel toujours inexploité.
Peut-être pour le prochain?





Yann TIERSEN
LE FABULEUX DESTIN D'AMéLIE POULAIN


Le 24 Juin 2012 par CLEM


BO parfaite, en parfaite adéquation avec le film. Tout un univers.





ANGE
PAR LES FILS DE MANDRIN


Le 24 Juin 2012 par MR G


Un bien bel album qui est a des années lumiere de la musique aseptisée que nous servent les médias et autres groupes sois disants rebelles! La production n 'est pas top mais peu de groupes de nos jours oseraient sortir un album de cette trempe!!! Les textes accompagnés de cette musique plutot lourde (heavy?) sont completements hallucinants!!!





Alain BASHUNG
FANTAISIE MILITAIRE


Le 23 Juin 2012 par MR G


Que dire qui n ait pas encore été dit sur ce chef d oeuvre!!! Il n y a pas vraiment de mots sinon que c est pour moi la suite logique et magique de Chatterton! Que dire sinon que c est beau et que certains morceaux sont parmi les plus beaux de la chanson francaise! Et que dire du morceau Aucun express qui est mon morceau préféré de Bashung? Merci pour ce nouveau chef d oeuvre qui se bonifie avec le temps!!!





Nicki MINAJ
PINK FRIDAY: ROMAN RELOADED


Le 22 Juin 2012 par WALTER SMOKE

Oh misère
...

Dans l'histoire des arts, il existe des périodes fastes et des périodes où ça va mal, très mal. Manque de bol, je suis un jeune qui n'a pas connu les années 70 et 80, et je vis mon existence de jeune adulte à une période musicale où tout bruit est musique. Tout, y compris ce que fait Nicki Minaj.

Pink Friday : Roman Reloaded est la quintessence même de tout ce que l'industrie musicale peut nous offrir de pire au XXIe siècle. Vulgarité totale et sans concession, choix musicaux faisant montre d'une médiocrité inouïe, et surtout des clips à qui des ajouts de scènes porno ne feraient que parachever la chose. Argh. Et puis, quel intérêt de trafiquer ainsi sa voix ? Réponse : la notion de chanteur à voix se perd, l'important, c'est que le chanteur sache vendre par le visuel et puis c'est tout. Même si l'approche commerciale était aussi de mise chez les Spice Girls par exemple, au moins pouvait-on déceler un minimum de talent, mais là, patate.

Et puis, je ne pose pas en chantre de la morale - sinon, que viennent foutre mes albums de Bathory chez moi ? - ni en vieux con nostalgique, mais franchement, faut aussi penser à nos gosses qui peuvent prendre exemple sur eux, et si j'avais une fille, je lui collerais le premier album d'Alizée entre les esgourdes plutôt que ça !!!

Bref, un cauchemar pour les oreilles, prévoyez quelque chose de radical pour contrer des effets post-écoute, perso, j'ai dû enchainer Talk Talk, Alizée et Freddie Mercury en solo pour oublier.

Note réelle : 0/5, parce cela insulterait d'autres mauvais albums





Nicki MINAJ
PINK FRIDAY: ROMAN RELOADED


Le 22 Juin 2012 par RED ONE


Contrairement à ce qu'on pourrait penser lorsqu'on lit le line-up, je n'ai en AUCUN cas participé à l'enregistrement de cet album, eh eh ... (et d'ailleurs je ne me suis en AUCUN cas inspiré du producteur Redone pour mon propre pseudonyme de chroniqueur ...)

Plus sérieusement, oui, cet album est une pure bouse bien moisie. Le précédent effort était déjà bien crasseux, mais là on atteint des sommets de merdasse et de caca auditif. Je ne comprends pas ce qui a pu attirer MADONNA chez Nicki Minaj pour l'avoir invitée à venir chanter sur MDNA ...





The SOFT MACHINE
THIRD


Le 21 Juin 2012 par LE MERLE MOQUEUR


À propos du THIRD de SOFT MACHINE

Il était temps de rendre un nouvel hommage à ce disque intemporel.

Tout semble débuter par une pâte informe et incolore de laquelle
perce non sans mal l'ébauche d'une silhouette , d'un relief musical.

FACELIFT ,
Il faut attendre quelques minutes pour assister à une métamorphose de sons qui seront martelés par la batterie de Robert Wyatt ( il me semble par instant saisir des filaments de KING-CRIMSON puis des intonations de flûte de "JETHRO-TUL...") mais très vite le génie propre du groupe est là ...
... solide ... et la MACHINE nous envahie par son intelligence , sa culture , sa recherche décomplexée (nous sommes dans la pleine époque de la musique sérielle et atonale)
son plaisir de jouer... et la voilà qui nous dépose en douceur sur une planète inconnue avant de nous entrainer dans une dynamique fine et réglée au cordeau...

de SLIGHTLY ALL THE TIME
la répétition voulue et incantatoire dans la deuxième partie nous débarque , alors que l'hypnose s'installait , sur une plage baignée de lumière tombante où nous redevenons pour un instant libre de nos mouvements et nos impressions ...
Nouveau paysage de cette nouvelle planète mais déjà la MACHINE repart de plus belle dans une rythmique rigoureuse... avec un sax désaxé... pour finalement disparaître dans un écroulement complet de tous les instruments.

MOON IN JUNE ,
un chantre , un barde durant une dizaine de minutes nous invite à une célébration sans nom , puis de nouveau l'insaisissable Machine nous propulse vers d'autres horizons , dans un accompagnement vocal désabusé mais paradoxalement confiant...
la nuit tombe sur le troisième morceau et des ombres étranges se profilent de toutes parts dans une danse ralentie , hallucinatoire...

L'émergence d'un monde nocturne nous plonge dans un déjà-vu ancestral ...

OUT-BLOODY-RAGEOUS ,
morceau d'une subtilité et discernement rare , nous voilà embarqués de nouveau à l'origine d'un domaine musical insolite , la beauté arrive par vagues répétitives , incessantes , un baume de sonorités presque magiques , un bain salvateur qui dans la deuxième partie du morceau nous propulse dans une course jazz-rock poursuite toute en souplesse ...

puis cette œuvre aboutit en apothéose... déferlement de gouttelettes d'eau porteuses des germes la vie... une composition digne des plus grands musiciens contemporains que sont Terry Riley , Steve Reich , Morton Feldman ,

mais

c'est du SOFT MACHINE , du très grand SOFT MACHINE...





PRINCE
DIRTY MIND


Le 20 Juin 2012 par SEIJITSU


Je ne pensais pas que Oncle Viande appréciait Prince !

Sinon je suis totalement d'accord avec lui, c'est un très bon album qui augure du meilleur. Ce qui fait la force de Prince ce sont ses synthétiseurs, très ancrés dans leur époque mais qui ont pourtant su conserver tout leur charme. Ainsi que sa voix singulière, qui ne fait pas l'unanimité évidemment.

Je réserve toutefois de meilleurs notes aux autres albums que je connais de lui, dont le fameux "Sign' O The Times"





PRINCE
DIRTY MIND


Le 20 Juin 2012 par ONCLE VIANDE

Le premier classique de Prince. Massif, minimal, encore mal dégrossi et c'est son charme. Alors que la new wave célèbre de nouvelles valeurs, Prince modernise la black music avec génie. Production dure, rythmes martiaux et paroles salaces pour une musique burnée jusqu'aux amygdales. Le nain de Minneapolis n'a pas le talent mélodique de Stevie Wonder mais rivalise en éclectisme. La guitare et les chœurs apportent l'élément organique. Le feeling soul est bien là. Au final, ça glisse comme une lettre dans la boîte. Restons chastes.

Hey Marco, tu comptes aller jusqu'à "Sign' O The Times" au moins ?





Neil YOUNG
AMERICANA


Le 20 Juin 2012 par URSULA 419


Comparer Fork In the Road et Le Noise est un mauvais calcul, Le Noise bien que perturbant est probablement un des meilleurs essais depuis longtemps du Loner. Fork in the Road est un album à la ramasse qui part dans tous les sens sans grand intéret. Quant à ce Americana, je suis d'accord, c'est un peu bof bof, ils s'amusent bien c'est l'essentiel...





TEDESCHI TRUCKS BAND
EVERYBODY'S TALKING


Le 19 Juin 2012 par ERWIN

Derek est un guitariste juste phénoménal. c'est l'évidence. Il est le meilleur des gratteux qu'a vu passer le ABB, ce n'est pas peu dire...





The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 18 Juin 2012 par WALTER SMOKE


Commentaire d'Abbey Road, version 2.0 (parce que le premier commentaire, avec le recul, était trop méchant et surtout pas argumenté) :

Alors, Abbey Road ? Oui, c'est l'album du siècle, diront certains, il est inattaquable diront d'autres. Certes, certes. Mais franchement, j'ai encore plus de mal à comprendre l'engouement des gens pour cet album que pour Sgt Pepper ! Encore l'album blanc était si gros qu'on pouvait statistiquement trouver au moins un morceau qui pourrait nous faire plaisir, et là, pour Abbey Road, eh bien...patate.

Enfin, pas tant que ça, y'a quand même Come Together, assez énorme, je l'avoue !!! Mais on a deux problèmes : d'abord, 3 minutes et 41 secondes, c'est trop long, on aurait dû le raccourcir, dommage; ensuite, c'est le seul morceau correct de la face A, puisque Something et Octopus' Garden ne sont pas pour ainsi dire des chansons réellement réussies, la première ne se laissant écouter que pour ses cordes - ou son mellotron, j'arrive pas à faire la différence - et la deuxième est niaise et désolante; quant à Oh ! Darling, elle fait partie d'un genre musical que je maitrise tellement mal que je refuse de donner mon jugement.
Par contre, on a bien deux grosses déceptions. La première, Maxwell's Silver Hammer, comment dire...pour le moog, j'approuve, mais vu son utilisation, ça laisse à désirer, et l'argument "c'était les débuts" me laisse dubitatif, mais bon, à la base la chanson reste pourrie - désolé de le dire aussi crûment; quant à I Want You (She’s So Heavy), ben c'est sympa de faire un truc aussi long, mais là, nos scarabées auraient tout donné dans le chant les deux premières minutes pour laisser parler leurs instruments, là je signerais, sauf que là...atroce. Les Doors avaient réussi l'exercice avec Light My Fire deux ans plus tôt, ainsi que King Crimson en cette même année 1969.

Face B, maintenant ? Ben là, on est accueilli par Here Comes The Sun, chanson réussie dans l'ensemble, et je rends compte que je devais avoir de la merde dans les oreilles quand je l'ai écouté la première fois, on regrettera cependant des chœurs altérant la qualité de la chanson, dommage, vraiment. Puis Because, où l'on retombe dans les travers de la chanson mauvaise, avec toutefois la reprise d'un riff de I Want You, intéressant. Mais pas grand-chose de plus à dire. You Never Give Me Your Money, franchement, est la chanson de l'album qui m'a forcé au facepalm : en effet, la première minute est magique - attention vous me lisez en train de faire l'éloge d'une création des Beatles !!! - et puis, ça s'écrase lamentablement, houlala !
Et là, on arrive au plat de résistance, le fameux medley !!!! Ouais, sauf que...You Never Give Me Your Money en est le début, et n'annonce pas de facto ce qui va se passer. Et il se passe quoi ? Ben un tas de morceaux qui concourent au titre de plage la plus inutile, depuis Sun King jusqu'à The End, pouah ! Bon, après, ce sont des morceaux inachevés, donc c'est une circonstance atténuante, je vous l'accorde, et puis ça montre au moins que les quatre virtuoses de Liverpool ne pondaient pas leurs succès de manière systématique ! Et Her Majesty, premier morceau caché de l'histoire de la musique, on ne retiendra que ça.

Abbey Road, au final c'est quoi ? Bof, une grosse occasion manquée de faire un album vraiment génial, avec de bonnes idées gâchées par certaines compos foireuses. Mais avec le temps, on les trouve, ces bons éléments.
Note réelle : 2,5/5

Morale de l'histoire : il faut savoir donner une seconde chance.

PS : ce commentaire n'a pas pris en compte les conditions d’enregistrement, j'ai voulu privilégier le côté musical de l'affaire. Après si ça biaise mon opinion, j'en suis le premier désolé.





STRAY CATS
STRAY CATS (RUNAWAY BOYS)


Le 18 Juin 2012 par TONTON CLEM


En 1981, les STRAY CATS sortent leur premier album éponyme, l'un des plus cultes des années 80. C'est vrai qu'à cette époque en Angleterre, c'est la New-wave qui fait sensation avec des groupes comme DEPECHE MODE, SIMPLE MINDS ou TEARS FOR FEARS qui marqueront de leur sceau cette période dorée. Alors, que vient foutre un Américain fan d'ELVIS et de Gene VINCENT avec sa Gretch et sa banane blonde dans le Londres des 80's ? En effet, Brian Setzer et ses deux comparses se sont éloignés de leur terre new-yorkaise pour imposer leur Rock 'n' roll vintage sur le territoire anglais.

Ce "Stray Cats" est bourré de classiques. La guitare vrombissante de Setzer domine l'album de bout en bout, que ce soit sur "Runaway Boys" avec son intro jouissive (contrebasse en cascade par Lee Rocker qui porte bien son nom et batterie détonante par Slim Jim Phantom au nom plus... bizarre), le remuant "Storm The Embassy" qui traite d'un sujet assez inhabituel, l'hymne très "American Graffiti" qu'est "Rock This Town" avec son refrain culte de chez culte, ça respire le Rock 'n' roll des fifties, les belles bagnoles, les jolies filles, les milkshakes au Diner entre potes...

Les Chats de Gouttière imposent leur style sur des titres géniaux tels que la reprise magistrale de COCHRANE "Jeanie, Jeanie, Jeanie", "Stray Cat Strut" avec ses chœurs (et miaulements !) chaleureux, l'excitant "Ubangi Stomp" avec ses "wouhouwouhou !!!" qui cassent la baraque... On notera également un "Crawl Up And Die" martial à souhait grâce à la rythmique de Slim Jim Phantom et un "My One Desire" où Setzer s'amuse à jouer les crooners pour notre plus grand plaisir. Même "Wild Saxophone" passe bien, bien que j'ai toujours l'impression que Setzer chante à pleine voix face à une foule de 3 ou 4 personnes...

"Stray Cats" made in STRAY CATS (ici, c'est comme pour le "Black Album" des METS, je me contenterai de l'appellation éponyme) sera un grand succès partout en Europe. Le trio enchaînera les disques et les reformations par la suite, mais il n'atteindra jamais l'énergie et la puissance engendrées par cette galette incontournable. Qu'est-ce-que j'ai pu l'écouter, ce disque à la pin-up sur le pick-up ! Un chef d'oeuvre de musique Rockabilly qui rend aussi hommage aux plus grands de ce genre.

Miaou.

Morceaux favoris : "Runaway Boys", "Ubangi Stomp", "Jeanie, Jeanie, Jeanie", "Rock This Town", "Stray Cat Strut", "My One Desire".





Kate BUSH
THE DREAMING


Le 16 Juin 2012 par FRANCK


Le meilleur album de la fée, le plus sombre, le plus enigmatique aussi.. Une musique inclassable.
Alors comme ça, c'est de la New Wave ? Là je rigole un peu..







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