@nono. C'est bien ce qui est marquant dans cette décennie tant décriée. Cette large ouverture sonore. C'est ce que je soulignais dans ma chronique de 'The Head On The Door' justement. On pouvait trouver dans une même émission (type Champs Elysées, Patrick Sabatier) Sandra puis Depeche Mode, les Rita Mitsouko avec les Sparks, puis Simon et les Modanais (j'avoue, je me suis fait plaisir) de suite après. Il faut naturellement vivre avec son temps, je n'en ai aucune nostalgie (quoique) mais c'est sans conteste l'un des paradoxes actuels : l'accès à la musique n'a jamais été aussi facile et l'offre (en surface) semble si peu diversifiée.