Clairement la question qui se pose est la suivante : peut-on écouter devin sans devenir fan, groupie, adepte ou disciple ? Et la seconde question qui se pose immédiatement ensuite est : la langue française, aussi riche soit-elle, contient-elle assez d'adjectifs et de superlatifs pour décrire la chose ? Troisième question naturellement induite des deux autres : peut-on modérer les propos et minorer les ardeurs, d'un chroniqueur emballé ? La négative semble l'emporter sur l'ensemble des items... Pour moi qui découvre sans être totalement éblouie, je suis emportée, je me voudrais critique, je me retrouve curieuse, l'expérience nuageuse et épique se révèle séduisante, "lessons" et "angel" magnifiques, Kingdom totalement renversante et sur cet album ma préférée de Devin, devinez ? C'est "Divine" ! Attention effets pervers et dangereux : l'addiction et l'éloge me guettent aussi ! Question ultime alors : dois-je poursuivre ?
