Belle chronique, même si je peux difficilement trouver chez Arvo PÄRT une idée qui pourrait surpasser "Tabula Rasa", le morceau, et en particulier son second/plus long mouvement, "Silentium", émotionnellement parlant.
Le minimalisme musical à son apogée, qui plus est en "Grande Musique". Ce morceau d'une beauté pure et triste m'arrache larmes et entrailles, au point que je redoute toujours de l'écouter...