Sur cet album, je trouve que le monstre se réveille. De Diabolus In Musica à Christ Illusion, seuls quelques bons morceaux sortent du lot. Alors qu'ici tout l'album s'écoute avec plaisir et sonne (enfin) comme un véritable album de SLAYER. On sent que le monstre reprend du poil de la bête et qu'il est toujours capable de bouffer la concurrence qu'il a lui-même inspirée. Personnellement il aurait dû s'arrêter là pour finir en montrant les dents la bave aux lèvres, la fourrure dorsale hérissée, toutes griffes dehors... Enfin peut-être que la créature n'est pas morte sur Repentless...