"Life, Liberty… " et "Wanted Man", ça envoie du bois, le groove apporté par Wilk propulse toussa au poil. Des gauchos révolutionnaires ? C'est risqué mais ça laisse de sacrées empreintes une fois que c'est passé. Y'a qu'à lire les noms qui sont cités en référence dans la chronique, et quelque part c'est tout le mal qu'on leur souhaite. Hasta siempre !