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Oingo Boingo
Boi-ngo
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le 30 Octobre 2018 par BAKER

Spoiler : oui, j'aime ce disque ! (mais pas dans son intégralité). Il faut dire que c'est un des premiers CD que j'ai eu dans ma vie, je pense que ça compte quoi qu'on en dise.

Je suis en fait surtout impatient d'écrire celle du dernier album qui est si particulier !

Merci en tous cas pour cette belle fidélité :)

le 30 Octobre 2018 par LEO

Cher BAKER, il me tarde de lire ta future chronique de l'album Dark At The End Of The Tunnel qui, je m'avance peut-être un peu, doit être globalement positive... mais je vais un peu vite en besogne. So wait & see ! .-)

le 30 Octobre 2018 par BAKER

Cher Leo (qui risque de ne pas du tout être d'accord avec la chronique de Dark At The End ;) )

La pochette n'est pas de mon fait mais j'ai signalé l'erreur et la correction ne devrait pas tarder.
Tout comme celle du titre qui n'est pas exactement le bon, et là, c'est entièrement de ma faute !

le 30 Octobre 2018 par LEO


En préambule, je te signale BAKER que tu t'es trompé de pochette ! (sans doute une faute d'inattention ou une erreur de manipulation).
Celle en noir et blanc que tu as posté est la couverture de l'album Boingo paru en 1994 et non celle de Boi-Ngo enregistré fin 1986 et sorti en 1987 avec la photo du groupe en couleur dont tu as fait la chronique.
Ce sixième album d'OINGO BOINGO reprend grosso modo les choses là où son prédécesseur les avait laissé.
À savoir qu'après le peu palpitant So-Lo et le mitigé Dead Man's Party, la formation est un peu dans une impasse artistique en ce qui me concerne.
En tout premier lieu, je n'aime pas du tout la sonorité de la batterie ultra rigide et artificielle, qui me fait plus penser à une boite à rythmes qu'autre chose... celà plombe vraiment les morceaux qui à la base sont déjà tous un peu calqués sur le même moule.
Pourtant l'album démarrait vraiment bien avec l'hypnotique et captivant "Home Again" qui dose habilement claviers, guitares, basse et cuivres ainsi qu'un chant tout à fait convaincant en dépit du caractère monolithique de la compo.
"Where Do All My Friends Go" et "Elevator Man" qui suivent, me plaisent également malgré leur groove inflexible et robotique. le hic, c'est que tout l'album possède des morceaux du même acabit et que celà frise l'overdose sur la longueur, d'autant que cette fois les mélodies ne sont pas franchement mémorisables et mémorables !
"New Generation" est du déjà-entendu et est bien trop long pour ce qu'il est.
Le poppy et gentillet "We Close Our Eyes" est plus mélodique mais il a du mal à capter mon attention avec ses sonorités synthétiques disgracieuses, typiques des mid-eighties.
Le ska-pop "Not My Slave" ne me branche pas particulièrement avec son aspect formaté.
Bizarrement "My Life" me fait vaguement songer à du Hall & Oates de la même époque ! un titre ma foi pas désagréable mais pas transcendant pour autant.
Le plus dynamique "Outrageous" aurait pu être bien mieux s'il avait été produit quatre ou cinq ans auparavant. dans ce contexte, il n'échappe malheureusement pas à ce son que je déteste et que l'on retrouve sur tout le disque (et dans la majorité des albums parus à cette époque).
"Pain" fait dans le genre robot-funk mais l'accent est bien plus mis sur l'aspect robotique que funky à vrai dire ! le son de violon qui semble être produit par un synthé (puisque rien dans les crédits ne fait mention de cet instrument) me rappelle un peu les Woodentops de l'album Wooden Foot Cops On The Highway (qui eux avaient bien une violoniste parmi leurs membres).
Etrangement, on peut trouver un titre bonus intitulé "Mama" (rien avoir avec Genesis !) sur la version en série limitée parue aux States sous forme de coffret renfermant tous les morceaux de l'album en cinq singles (dont "Mama" en face B de "Pain"). cet étrange pop-rock mid-tempo plutôt intéressant (mais peut-être en léger décalage stylistique avec le reste du 33t) sera réenregistré (en direct en studio, mais sans public) pour la compilation Boingo Alive: Celebration Of A Decade 1979-1988.
Verdict: le groupe fait du surplace avec Boi-Ngo. si je le préfère sans problème à So-Lo, il est tout juste l'égal de Dead Man's Party sans pour autant se hisser à son niveau (très moyen de mon point de vue).
Il va sans dire que ces trois dernières livraisons sont très loin de valoir les sommets des trois premiers albums !!!













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