Merci pour cette chronique Nestor qui met en lumière sombre une entité qui ne peut laisser indifférente. Rien ne change cependant pour moi concernant cet ensemble. Premier, second degré ? Grandiloquence de pacotille ? 25 ans qu'Eros et l'écho qu'il reçoit me laissent profondément perplexe. J'ai toujours pensé que seuls les thèmes abordés ont permis au duo d'avoir un peu d'intérêt car pour le reste...