Un chef-d'oeuvre de plus, qui se vendra aussi bien que des biographies de Hitler en Israël, mais s'impose de plus en plus à chaque écoute (et comme il ne dure que 28 minutes, des écoutes, on peut s'en faire souvent). Le morceau 'chanté' par Ari, fils de Nico (et de Delon, qui ne le reconnaîtra jamais, mais physiquement, la ressemblance était plus que frappante), "Le Petit chevalier", est curieux, touchant, mais anecdotique (bien qu'il mette un petit peu mal à l'aise : quand il dit "je viens te visiter", on pense à un vampire s'apprêtant à rendre visite à sa proie, ou à un fantôme attendant son heure). Le reste de l'album, en anglais ou en allemand, est à tomber ("The Falconer", "Mütterlein").