Merci Marco pour cette chronique qui m'a donné envie de me plonger (c'est le cas de le dire) dans ce disque en tous points remarquable. Quand tu écris "Le timbre et les harmonies font parfois penser à Trevor Horn voire Jon Anderson au sein de YES, la folie et les aiguës permanentes en moins", c'est exactement ce à quoi j'ai pensé en écoutant le titre éponyme, pensant que c'était Trevor Horn, plus d'ailleurs que celle de Jon Anderson, qui était la voix principale.
Très heureux de cette découverte.