Tout à fait. L’embryon de Soft Machine est même antérieur aux Wilde Flowers puisque Wyatt, Ratledge et Hopper se connaissent depuis 1961. Bien plus qu’une « école » ou qu’un style (aux critères souvent subjectifs), Canterbury est avant tout une nébuleuse de groupes…et une famille.
Pour ce qui est de la généalogie « pure et dure », je la réservais pour « Jet propelled photographs », vrai-faux premier album, au contenu plutôt redondant, mais qui présente l’intérêt de compter encore la présence de Daevid Allen.
Pour « volume one », je mets davantage l’accent sur le parallèle Soft/Floyd, et rappelle que les deux groupes firent les beaux jours (ou plutôt les belles nuits) de l’UFO.