 |
|
Moyenne établie
sur la base de
4 commentaires notés [?]
Gwendoline
C'est à Moi ça
| |
|
|
le 30 Mai 2024 par BLUEMASK
@Richard. Pour Grand Blanc, si c’est l’aspect new-wave de supermarché type ´Partenaire Particulier’ du gland qui t’a gêné aux entournures (comme avec Gwendoline’, je te conseille leur second album ´Image au mur’ assez different, plus pop, plus classiquement rock et vraiment bien ecrit. Leur 3eme album est encore ailleurs, tellement différent que c’est finalement un Petit Noir. Un groupe oublié mais qui merite mieux que la mini-hype de ´C’est à moi ça’
|
|
|
|
|
le 30 Mai 2024 par RICHARD
@Bluemask. Bonne mémoire que tu as ici. J'avais totalement oublié ce projet messin. J'avais relativement bien accroché à sa sortie aux 4 Titres même si la voix quelque peu emphatique du chanteur me bloqué quand même. 'Mémoires Vives' leur premier album m'a rapidement fait voir ailleurs. Puis pour atteindre la précision clinique, poignante et dérangeante façon 'Leurs Enfants Après Eux', je crois effectivement qu'il y a encore une belle marge de progression.
|
|
|
|
|
le 30 Mai 2024 par BLUEMASK
Il y a quelques années, Grand Blanc avait sorti un premier album de new-wave/cold wave synthétique marquant. Je retrouve dans Gwendoline cette ambition et l'esthétique, musique raide, voix blanche et un peu caricaturale du genre. Manquent juste le talent et la constance dans le talent.
Le pitch de Gwendoline, ce sont des paroles de la France des sans-dents, néanmoins mordantes et désabusées. N'est pas Nicolas Mathieu ou Henri Loevenbruk qui veut, et si certains textes sonnent justes et sont bien vus, d'autres se vautrent dans le ridicule.
Le pitch, ce sont aussi des musiques blafardes de night-club tristes. Là aussi, Gwendoline fait le grand écart en terme de qualité.
Au final, en croisant les sujets paroles et musique, parfois, le groupe touche au but, 'Rock 2000', 'Palace Meetic', 'Parce que j'ai rêvé d'être riche', parfois est franchement pitoyable, 'Héros National', incroyablement mauvaise, on se pince pour le croire. 'Pinata', la plupart du temps, navigue dans un entre-deux, entre moments de gêne et de grâce.
Un vrai 2.5.
|
|
|
|
|
le 23 Mai 2024 par LE VIEUNE
Deuxième album un poil au-dessous du premier, mais qui débute très bien avec le morceau "Conspire", animé par un clip tout aussi triste et glaçant. Pas grand-chose de changé dans l'ambiance entre des paroles désenchantées et une musique peut-être ici, tout de même, plus raidie dans sa nuance. Les angles droits des rues de Brest, où le duo s'est installé, ont dû inspirer Pierre et Michael après quelques canettes descendues et un peu de mauvaise bouffe grasse comme ces deux gars citent dans leur œuvre. J'aime bien "Rock 2000" où l'on se réchauffe dans une joie mêlée à de la mélancolie. "Clubs" semble être une digne suite de "Chèques Vacances".
|
|
|
|
|
le 22 Mai 2024 par RICHARD
Je fais des efforts, encore et encore, mais il n' y a définitivement rien à faire. Bien sûr , Jovial n'y est pour rien. Au contraire, ses lignes appâtent plutôt bien, voire très bien le chaland, mais ce disque ne me fait rien. Ces mots débités au kilomètre sur cette voix quelque peu horripilante me laissent perplexes. Faut-il être breton pour être sensible et réceptif au monde du duo au ciré ? Mes grands-parents étaient brestois, donc même pas :) Je crois que c'est la dénomination de style qui me pose en fait problème. Partout, je vois Gwendoline comme étant cold wave. A l'exception de quelques sonorités, je n'y entends strictement rien de ce style. Pas d'intégrisme de ma part, juste une perception émotionnelle de la chose. De plus, pour moi, ce style expose surtout, voire exclusivement les tourments de l'âme et non ceux de la société. Gwendoline, c'est ce que fut pour moi subjectivement Diabologum (top raccourci) à la fin du siècle dernier : des mots creux.
|
|
|
|
| |
