L'évident problème avec cet album, c'est d'être sorti dans la foulée de " The Queen is dead "
Avec des si, on referait le monde, mais j'aime à penser que le futur son de The Smiths était ici et que c'est celui-ci qui aurait été développé plus tard...sans cette maudite séparation.
Une musique toujours à haute teneur mélancolique mais plus audacieuse, plus aventureuse. On retrouve la touche Marr mais il y a un petit quelque chose en plus. Difficilement explicable mais facilement ressenti.
La plume du Mozz est toujours aussi précise et réussit à rendre le particulier universel.
Puis se séparer sur le définitif et splendide " I Won't Share You ", comme cadeau d'adieu et chant du cygne, c'est beau.