Ce disque est une merveille, tout y est beau à pleurer. Les morceaux, bien entendu, Christophe est l'un des plus grands mélodistes post-empire romain, l’interprétation, subtile, touchante, fragile, la prise de son chaude de ce piano réverbéré.
Si l'on voulait pinailler, on pourrait dire que les 2 reprises, de Brassens et du médiocre Bashung sont pour l'une un peu hors cadre et pour l'autre en deçà du niveau déployé, mais on ne pinaille pas avec un si beau disque nocturne.