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Kansas
Monolith
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le 20 Avril 2020 par LONG JOHN SILVER

@ JEANBETTY

"Vu la rareté de qualité produite de nos jours, cela ne peut pas être si sévèrement noté."

Ah mais si ! Cela se peut. Cependant, il ne faut surtout pas hésiter à réagir -comme tu viens de le faire- afin de donner son avis, car le chroniqueur -aussi passionné et érudit soit-il- ne fait que délivrer un avis subjectif qui vaut ce qu'il vaut. Aussi proposer via la rubrique commentaire un autre point de vue devient parfaitement salutaire. Merci donc pour ce commentaire qui met en lumière un album et un groupe qui selon moi mérite qu'on s'y attarde. Au passage tu me vois ravis d'apprendre que tu viens de découvrir ce site où sont déposées plus de 15000 chroniques et chroniques express ainsi que pas mal d'éditos. N'hésite pas à réagir, voire à t'indigner (ou pas), nous aimons le débat et la pluralité des points de vue.
Bien à toi.
LJS

le 20 Avril 2020 par MAGNU


Il es encore très potable, ce "Monolith" c'est vrai. Bien mieux que la suite en tout cas !

le 19 Avril 2020 par JEANBETTY


Bonjour, je viens de découvrir votre site, pas trop intuitif, mais qui permet de motiver la curiosité. Kansas, le groupe que j’ai découvert, à l’époque, avec Point of know return, le début de l’adolescence. J’ai adoré ce mélange de Hard/FM, qui mettait au même titre que les autres instruments, le violon, et Dust in the wind. Deux chanteurs complémentaires, et aussi agréables et talentueux, dans ce registre plutôt rock, the compositeur, Kerry Livgren, la rythmique basse batterie, au top, et le deuxième guitariste, riche en personnalités le groupe. Je me suis retrouver, sans le savoir, au milieu de la carrière du groupe, avec Steve Walsh, un des piliers de la dynamique en cours. J’ai acheté, dans la foulée, leur premier opus, où la recherche de leur style s’ébauchait, puis le second song of America, qui commençait à marquer un goût pour le rock symphonique. Rupture avec Masque, le troisième, hétérogène dans les styles musicaux, mais avec des perles d’émotions et de rage, et Leftoverture, la référence des charts pour le groupe, que j’ai finalement trouvé trop son FM, mais quel talent. Ils étaient au sommet, et Two for the show, le live, en découle obligatoirement. Le groupe a besoin de souffler, cela se ressent, composition solo pour les leaders, et la pression religieuse, marketing, et choix musicaux commencent à fêler le moule. Monolith arrive en pleine déconfiture de ce style musical, ainsi que des divergences musicales affichées des deux leaders. Je me retrouve avec ce vinyl, au son propre, plus proche et intimiste, dans les compos, mais qui retrouve le style hétérogène de Masque, bizarre. Mais que dire, de cette expérience qui se dégage, des deux chanteurs qui rivalisent d’efficacité, de chaque musicien a sa place et professionnel dans la prestation. Ce disque n’est que le reflet de l’époque musicale et de l’ambiance du groupe, toujours aussi riche, et agréable d’écoute, mais bien moins structuré que leurs derniers albums. C’est le commencement de la fin de cette époque, une autre galette Audio Visions, plus commerciale dans le format, morceaux plus ramassés et plus courts, et clap de fin pour cette période du groupe, avec la formation la plus créatrice. Monolith, mal aimé, mais terriblement attachant. Il serait sorti, avant les deux plus grands succès commerciaux du groupe, son parcours aurait été bien différent, mais ceux-ci aurait pu être une autre histoire. Votre critique reste plutôt fidèle pour chaque morceaux, mais dans ce style musical, et vu la rareté de qualité produite de nos jours, cela ne peut pas être si sévèrement noté.













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