Attention attention, « The Great Rock and Roll Swidle » est un ramassis de conneries. Il faut regarder « L'Obscénité et la Fureur » du même Julian Temple pour se mettre à jour sur le sujet.
Il est vrais que McLaren a jeté son dévolu sur les Sex Pistols parce qu'ils correspondaient à ce qu'il pensait être rentable (si j'ai bien compris, Richard Hell l'a envoyé chier et il a pris le premier petit frère trouvé: Rotten) et qu'il les a lancés, mais la partie manipulations, marketing et pourriture est assez fumeuse. Le film lui même est l'escroquerie manipulée par McLaren, pas un documentaire correctement orienté sur le groupe.
Quand à Nevermind the Bollocks… c’est un total contresens – historique tout du moins – que de dire qu’il ne s’écoute pas en boucle, étant donné la manière dont il a été perçu à l’époque, faisant éclore bien plus de passions et vocations que le premier Velvet… C’est un disque qui fait sens au cœur d’une année bien précise, mais pas non plus pour quelques petits détails, faudrait pas déconner. Les accords, les textes, l’interprétation, et au dessus de tout, l’attitude, ça n’est pas rien. Ou sinon on aime pas le mouvement punk et on va écouter Gang Of Four, mais c’est un autre problème.